Le Sherman M4 Duplex Drive(DD ) fut une arme secrète qui fut mise au point dans le cadre du futur débarquement par les Anglais et les USA
Ce char Duplex Drive (ou "D) a étéé construit sur la base du char M4 Sherman Cet engin qui fut l’une des "armes secrètes" américano-britanniques Mais c’est après l’opération Jubilé sur Dieppe que ce dispositif fut mis au point par Nicholas Strausser qui invente le dispositif de flottaison avec bâche en effet durant l’opération il a été mis en lumière la vulnérabilité des les péniches de débarquement de chars Aussi il a germer l’idée de lancer des chars flottants plus au large, là ou les navires seraient à l abri des tirs des batteries cotières. Les Alliés jugèrent que son développement était nécessaire au projet de la future 'invasion amphibie de l'Europe aussi les Britanniques mirent au point utilisèrent pour la première fois des chars Valentine dans leurs exercices d'entraînement Comme la plupart de leurs projets de véhicules blindés spéciaux ont été affectés à la 79e Division blindée britannique sous le commandement du général de division P.C.S. Hobart,
Aussi il était naturel de lui confier la tâche de développer toute une gamme de véhicules d'assaut spéciaux
Hobart fut donc le moteur de ce projet, insistant pour que les Valentines soient remplacées par des chars américains Sherman, qui étaient en dotation auprès des troupes américaines et britanniques Lors d'une démonstration devant le général Eisenhower lors des exercices d'entraînement précédant l’opération Overlord, celle ci fut si bonne que des ordres ont été donnés pour équiper davantage d'unités en Sherman DD Mais l’industrie britannique ne pouvait fournir ce matériel dans le temps imparti aussi les usines américaines prirent le relais pour fournir en temps et heures les matériels pour qu’ils puissent prendre par au Débarquement en Normandie Les équipages du Corps blindé canadien après entraînement ont également débarqué leurs chars DD le 6 juin 1944. La plupart des conversions en DD Sherman effectuées aux USA, furent effectuée sur la base de M4 et M4A1, alors que les britanniques ont utilisés des bases M4A2 et M4A4, connus sous les noms de Sherman III et V
Mais faire flotter et déplacer un char il fallait prendre en compter son poids et le compenser pour le faire flotter en plus un char déplace beaucoup d'eau. Pour le Sherman DD, la flottabilité est assurée par une grande bâche en toile caoutchoutée qui entoure la coque et la tourelle supérieures, attaché à une bride élargie le long du périmètre de la coque, juste au-dessus des chenilles. Cet écran imperméable à l'eau est repliable et peut être complètement monté en 15 minutes environ en gonflant 36 boudins en caoutchouc de forme tubulaires situés le long de la surface intérieure du châssis. Trois arceaux de support en acier sont fixés sur la bache entourant le véhicule pour fournir une résistance à la pression de l'eau. La bâche est en outre soutenue par 13 jambes de force en acier, verrouillées avec des charnières en leur centre.
Photo 3:
Le plan montre un intérieur du Sherman avec ses équipements habituels pour un char de combat comme la transmissions le moteur les armes et munitions auquel sont ajoutés les équipements spécifiques des DD comme les pompes hydrauliques et les équipements mécaniques associés pour dégonfler et abaisser la bâche ainsi que les équipements pour mettre en œuvre les hélices. Cela signifie que l'intérieur est encore plus encombré que sur la version normale d’un Sherman, Ce croquis du manuel TTA montre l intérieur d'un Sherman III DD britannique Il s’agit de la partie avant de l’intérieur du char montrant le siège du conducteur à gauche et la zone réservée au copilote / mitrailleur de coque à droite, son siège est enlevé pour permettre une meilleure visibilité de l’équipement. Comme pour tous les Sherman, la direction est assurée par de longs leviers de type tracteur qui sont positionnés entre les jambes du conducteur Arrivés à mi Hauteur les leviers s’inclinent vers l extérieur Celles-ci sont visibles juste en avant du siège du conducteur et sont normalement munies de poignées en caoutchouc noir. Chaque levier commande les freins montés de chaque côté de la transmission. Le levier de gauche est relié directement au frein qui se trouve devant, via une ouverture située dans la partie supérieure du boîtier de freinage Le levier de droite est fixé à une tige transversale épaisse qui passe au-dessus du carter de transmission et il est relié ensuite au frein droit de manière similaire. La transmission entre deux membres de l’équipage est typique Sherman C’est une Boite Synchromesh à 5 vitesses, avec son levier de changement de vitesse vu juste à la droite du siège du conducteur
Des périscopes extra-longs sont utilisés par le pilote et le commandant de bord lorsque le véhicule a en configuration DD c’est à dire bâche levée Pour le pilote il utilise le support du périscope situé juste en avant de sa trappe de sortie pas celui prévu sur l’écoutille ; Comme sur les chars de série les deux sièges avant étaient réglables en hauteur et permettaient aux deux membres de de rouler tête haute lors de marches routières. Le bord droit du tableau était de couleur noire ou vert foncé Nous trouvons directement à droite des manettes de direction la commande des gaz Ce double levier permet de régler le régime des gaz à double commande délivré par chacun des deux Moteurs diesel GM 6046 utilisés sur le le M4A2 (Sherman III). A droite du poste d’équipage avant on trouve le port pour la MG de caisse Browning cal 30 mais ici la Browning .30cal a été retirée. Voyons maintenant l’équipement DD sur ce char ,
À l'extrême droite, place sur le retour arrondi de la coque du char on trouve un grand réservoir collecteur hydraulique et, devant celui ci se trouve une pompe de cale électrique et une pompe hydraulique à haute pression alors que l’on trouve une pompe hydraulique à basse pression monté dans le compartiment de combat arrière droit, sur le plancher de tourelle Les équipements DD comprennent à la fois le système pneumatique pour gonfler les boudins pneumatiques permettant l’érection del a bache , Un système hydraulique pour la direction, le déverrouillage des supports de jambe de force et ouverture des vannes d’air aux bases des boudins pneumatiques pour dégonfler les colonnes. L’air servant à gonfler les boudins dans cette version du Sherman DD est stocké dans deux bouteilles d’air montées à l’avant de la coque. Les équipements et les tubes vus dans cette vue intérieure de l’avant sont principalement destinés aux systèmes de pression de fluide hydraulique. Afin de piéger l’eau s’infiltrant dans le char une pompe de cale est présente dans le char sous la forme d’un grand réservoir cylindrique avec le robinet de vidange en bas monté verticalement le long de la cloison droite sous le, sabord de la MG avant Un grand boîtier noir contenant la pompe compas gyroscopique et les équipements associés est monté sur la transmission. - Une vanne hydraulique de contrôle principal est vissée à gauche du boîtier de la pompe gyroscope . On aperçoit d’ailleurs des conduites partant de son côté droit. Bien que difficile à voir, on trouve la commande principale sous forme de levier permttant la mise en action de cette vanne Il se situe à l’avant et permet de diriger le fluide hydraulique . Deux leviers de commande sont montés sur le blindage avant incliné directement au-dessus de la transmission. Le levier de droite est le commutateur du compresseur d’air qui allume et éteint le compresseur d’air dans le compartiment moteur et le levier de gauche est le levier de commande de la pompe de cale électrique On trouve aussi une autre pompe de cale électrique et une pompe de cale manuelle afin de chasser l’eau se trouvant au fond du char. À l'extrême gauche du dessin se trouve, le compas gyroscopique placé sur la glissière du conducteur, juste en avant du tableau de bord. Il est utilisé par le conducteur pour s’orienter . Juste à droite de la boussole se trouvent un manomètre, un voyant lumineux et une valve manuelle. La pompe à main auxiliaire est le long levier situé juste à droite des doubles leviers de commande d’admission des gaz. On peut donc s’apercevoir que le chauffeur a une charge de travail très lourde car on trouve la plupart des commandes de la fonction DD rassemblées sous la responsabilité du chaufffeur Il a pour assistant le radio mitrailleur qui s’occupe des soupapes hydrauliques situées entre les deux sièges. De toute façon il ne peut utiliser sa MG en version DD Bien sûr, le canon principal ne pouvait pas non plus être utilisé avec de l'eau, mais une fois l'écran retiré, il était immédiatement disponible. Cette vue recadrée du dessin précédent offre une lisibilité plus claire des commandes du conducteur.
Nous avons ici un dessin de la position du mitrailleur dans un Sherman V
Le réservoir collecteur de fluide hydraulique (remplissage / réservoir) se trouve juste en face de nous et est également monté à droite dans la boîte de rangement du périscope du mitrailleur Le panier de la tourelle est à l'extrême droite, Le siège rembourré noir du mitrailleur avec la ceinture de sécurité verte Derrière ce siège on voit un trépied replié pour le montage de la Mg 30cal MG en extérieur La MG est tirée de son sac en toile verte et fixé en position de tir
Il faut savoir que le mitrailleur n avait aucune fente de visée.Il devait se baser sur les munitions traçantes pour viser son arme en regardant à travers ses périscopes. La pompe hydraulique à haute pression et la pompe de cale électrique sont à peine visibles derrière le collecteur de douille de la MG. On voit aussi le boîtier de connexion radio avec des câbles de connexion pour les casques pour équipage Nous avons ici un dessin de la la tourelle du Sherman V, avec son canon de 75 mm. C'est une arme de culasse coulissante horizontale avec un très grand bouclier de recul.
Sur ce dessin le canon ne possède pas de sac récupérateur de douille en toile verte ou beige. Le tireur est assis à l'avant droit avec le commandant directement derrière lui et le chargeur se trouve à gauche de l'arme.
Il n’y a pas d’équipement DD ici, mais uniquement l’équipement typique de la tourelle Sherman pour les versions à arme de 75 mm utilisées par les Britanniques. En haut à droite, la coupole et la trappe du commandant sont légèrement visibles avec le périscope M6 recouvert d'un sac de protection en toile. Une petite corbeille sur le mur de la tourelle sous la trappe contient le pistolet lance fusées dans son étui et quelques cartouches prêtes. Directement en avant de la trappe sur le toit de la tourelle se trouve le viseur périscopique du tireur, qui n’est pas bien représenté sur cette illustration seul que l’axe de raccordement du périscope au support de canon est clairement visible. Une lampe de poche TL 22 est placée horizontalement sur l’avant du toit de la tourelle alors qu’une autre est placée verticalement sous la trappe du commandant, juste derrière le pistolet lance fusée. Sur le sol du puits de tourelle, sous le canon, se trouve un grand bac noir contenant le nécessaire pour entretenir les armes de 75 mm et 0,30 cal, ainsi que les deux boîtes de rangement M17 (boîte plus grande) pour munitions et grenades à main. Sur le sol se trouvent deux cylindres et un autre plus petit pour le rangement du périscope. On trouver sur le plancher de la tourelle un râtelier pour huit obus de 75 mm, rangés par 4, par étage et un râtelier juste en avant pour 7 boîtes de munitions de 0,30 cal pour l’arme coaxiale Juste en dessous du canon de 75 mm, on peut voir le système de stabilisation du canon, avec son piston d’entraînement Le Sherman était équipé d'un stabilisateur vertical qui fonctionnait effectivement dans une certaine mesure, mais qui était souvent considéré comme une nuisance par l'équipage et il etait souvent déconnecté. Le travail du chargeur était assez pénible surtout en mouvement et en tout terrain La forme en accordéon noire suspendue sous la MG coaxiale est le sac de récupération des douille généralement en toile rigide de couleur vert foncé. L’arrière du puits de tourelle du Sherman V DD comprend douze cartouches de 75 mm, rangées dans des rangements verticaux le long du puits de tourelle ainsi qu’un extincteur portatif fixé à coté du siège du chargeur
Dans la nuque de tourelle, à gauche, se trouve un poste radio n ° 19, partiellement dissimulé par une bâche de protection en toile (verte ou beige). T Derrière la radio on trouve des rack pour les armes de l’équipage Soit des PM Thompson pour les Américains soit des Sten pour les Britanniques sur la cote de la tourelle on trouve aussi un boîtier pour les grenades à main et un périscope Mk.6 qui est monté à sa place sur le toit On remarque aussi le rembourrage épais qui épouse le toit pour protéger la tête. Sur le coté se trouve une trappe pour l’éjection des douilles usagées On trouve à coté un petit support pour une lampe Helison de style britannique. Deux petites boîtes flanquent la radio, celle de droite pour les valves de rechange R / T (tubes radio) et la gauche, une trousse de secours. ON trouve aussi trois drapeaux placés derrière le dernier obus de 75 mm sur la gauche Ils sont utilisés pendant les période de silence de la radio. La couleur intérieure est le blanc, y compris le sol et la plupart des armes de 75 mm, à l’exception de la culasse qui est noire . Par contre les trappes qui s’ouvrent vers l ‘extérieur prennent la couleur du Blindage.
. Ce dessin montre le système implanté dans le châssis pour que le Sherman de base devienne un Sherman DD Les bases devant supporter les boudins pneumatiques sont reparties tout autour du char sur une jupe en acier Ces bases de support vont permettre d’abattre la bâche par dégonflage des supports lors de l’atterrissage sur la plage Le réservoir central avec son fluide hydraulique se trouve dans la partie avant droit du char à côté du mitrailleur. La pompe hydraulique à basse pression est maintenant illustrée dans le coin arrière droit du châssis. À l'arrière du char se trouve un piston hydraulique monté horizontalement pour permettre au conducteur de se diriger lorsqu'il est dans l'eau. Le piston dirige les hélices jumelées au moyen d'une biellette. Dans les véhicules DD qui seront construits ultérieurement et utilisés pour les traversées de rivières, le système hydraulique était également utilisé pour soulever les hélices de leurs transmissions lors de déplacements terrestres afin d'empêcher les pales d’ heurter le sol. Dans les véhicules des premières versions et utilisés pendant le jour J, le système était fixe et les hélices et leur mécanisme par leur poids penchaient automatiquement vers le bas.
Le système d’entraînement DD consistait en une paire d’engrenages à vis sans fin partant du pignon fou / pignon arrière, alimentant les hélices jumelées de 66cm de diamètre.
Voici une photo de l’armée américaine représentant un char DD subissant des essais avant le jour J
. Notez que les hélices jumelles situées dans la partie inférieure arrière ont été verrouillées en position abaissée. Il y avait aussi des fenêtres en plastique dans la toile surélevée, l'une visible de ce côté près de la proue Mais avec cet appareillage cet engin était très vulnérable et pas aisé pour maintenir le maintenir à flots De plus si on a la possibilité qu'un véhicule blindé puisse être mis à flot d’un LST à une distance de sécurité de la côte semblait très attrayante pour le haut commandement dans la planification de l'assaut amphibie sur la côte française fortement fortifiée il n ‘en va pas de même dans la tête des équipages pour qui le transfert de l’élément solide en l’occurrence le bateau à un élément liquide la mer est une plongée vers l’inconnu. Une fois à l’eau avec la bâche relevée l’équipage du DD est aveugle et ne peut voir par-dessus la bâche que grâce à deux périscopes spécialement rallongés, l’un est prévu pour le conducteur et l’autre pour le commandant.
La conception est toute simple Il y avait un tube en métal du même diamètre que les corps de périscope normaux qui prenait place dans le support de périscope normalement utilisé dans le char. Un tube oculaire avec anneau oculaire en caoutchouc permettait d’y voir via la lumière qui est dirigée vers un miroir inférieur à travers le corps du périscope.
Un autre tube pareillement équipé en optique permet de voir par dessus la bâche. La mise au point se fait au niveau de l'anneau oculaire. Le matériel est rendu étanche via des joints en caoutchouc spongieux et de la graisse, mais le champ de vision était très limité et le tangage et le roulage des chars donnait le mal de mer aussi il était plus facile d’obtenir des repères pour se diriger ou changer de direction particulière d’ utiliser des tiges fixées sur le niveau supérieur de la bâche que l’on pouvait maintenir alignés en regardant à travers les périscopes. L’air comprimé devant gonfler les boudins de support de la bâche est initialement fourni par deux bouteilles d’air comprimé placés dans le compartiment de conduite du char
Les boudins sont gonflées alors que le char se trouve encore sur le navire de transport Ce gonflage peut se faire ainsi en toute sécurité malgré des fuites dans le système. Problème qui pouvait être géré par les équipements des navire En atteignant la côte, l'air contenus dans les boudins était expulsé par pression hydraulique en appuyant sur les vannes d'échappement situées à la base de chaque colonne. Dans le même temps, la pression hydraulique déverrouillerait également les supports métalliques (sauf les deux supports de tourelle des véhicules récents, qui devaient être libérés physiquement par l'équipage). Un certain nombre de boudins pare-choc de choc en caoutchouc, entouraient la bache sur sa surface intérieure Une fois que la bâche totalement abaissée la tourelle avec ses équipement peut être utilisées tandis que les hélice sont levées pour éviter de toucher le sol. La MG de coque étant elle aussi bloquée par la bâche est alors aussi disponible . Remarquez sur le dessins les longs supports à l’avant du char en forme de V . Ils servent de jambe de force Nous avons ici un dessin de la bache vue de l intérieur à l ‘arriere du char La bâche était faire en trois bandes de toile beige. La section inférieure avait trois couches d'épaisseur, celle du milieu deux couches et la bande supérieure une seule épaisseur.
Les boudins d’air verticaux en caoutchouc servant de colonnes étaient de couleur noire naturelle et certains allant jusqu’en haut d’autres seulement s’arretaient au deuxième cerceau. La partie avant de la bâche était renforcée par une , une pièce de toile supplémentaire et ultérieuemnt le mêm renfort fut appliqué à l’arrière Lorsqu'il flottait dans l'eau, le Sherman V plus long déplaçait plus d'eau mais flottait plus haut que le Sherman III. Le franc-bord des premiers Sherman DD V était de 0,9à 1,2 metre s, mais pour les dernieres versions le char n’avait plus 0,60cme à 0,90 de franc-bord au-dessus des vagues. Toute houle un peu forte pourrait passer par dessus la bâche, en particulier lors de la mise à l eau et le char coulerait si les pompes de cale électriques et mécaniques ne pouvaient pecouper toute le ‘eau qui aurait penetrée dans le char. Malheureusement, c’est exactement ce qui est arrivé aux chars DD Sherman du 741 e Bataillon de chars américains lorsqu’ils ont été lancés dans la mer agitée trop loin du rivage le jour J. Sur les 29 Sherman DD de cette unité, seuls 2 ont réussi à atterrir à terre, la plupart des équipages des autres chars on été noyés Les autres unités DD connurent un plus grand succès, car la marine se rendit rapidement compte du problème et la proscessus de lancements des chars DD fut modifié Aussi les chars du 743e US, du Nottinghamshire Yeomany et du 4/7 Royal Dragoon Guards, furent lancé plus près du rivage. Remarquez les charnières dans les supports en acier, qui peuvent être brisés par une pression hydraulique pour leur permettre de se plier et faire chuter la bâche une fois à terre en toute sécurité. cet autre dessin du manuel montre les détails de la fixation de la jambe de force le long du panneau moteur.
Ici les conduites hydrauliques sont dirigées vers les articulations des charnières Les cordons élastiques qui couraient autour de l'intérieur de la bâche sont également visibles c’est après l’opération Jubilé sur Dieppe Nicholas Strausser invente le dispositif de flottaison avec bâche
Durant l’opération il a été mis en lumière la vulnérabilité des les péniches de débarquement de chars Aussi il a germer l’idée de lancer des chars flottants plus au large, là ou les navires seraient à l abri des tirs des batteries cotières. La Bache était était cousue à des bandes métalliques verticales, qui étaient ensuite fixées aux cadres de support vus ici comme des bandes horizontales avec les boudins pneumatiques en caoutchouc attaché à eux.
Après la Normandie, des chars DD ont également été utilisés occasionnellement pour traverser des fleuves d'assaut en Europe, La plus grande opération de ce type eut lieu lors du franchissement de la Rive du Rhin en mars 1945. et c’est un escadron anglais l’escadron Staffordshire Yeomanry qui a utilisé pour la dernière fois lors de l'assaut. sur la rivière Elbe en avril 1945 ce type de matériel La nomenclature britannique des Chars Sherman DD était s DD et DD I, ce dernier faisant référence aux véhicules modifiés ou produits au standard tardif avec des jambes de force à tourelle, des butées autobloquantes et l'extension du panneau arrière. Par la suite les derniers véhicules équipés d'une direction assistée et d'un compresseur d'air dans le compartiment moteur sont devenus le DD II Nous avons ici une photo d’un char 1e génération paré pour le débarquement
Nous trouvons en son centre les bras de lla jambe de forcex inclinés pour supporter la bache et les nombreux boudins d’air gonflés Nous a vons en son cdntre des réservoirs d'air comprimé de forme oblongue reliés à un ensemble de vannes situé à gauche, La vanne contrôlant le gonflage de l'air dans chacun des boudios de support verticaux. Une partie des sangles de retenue retenant les boudins gonflés s au blindage est visible en haut à droite de la photo. En bas à gauche, deux patins de rechange sont fixées dans leur support caractéristique.
Sur le bord inférieur de l'image se trouve la rotule de la MG imperméabilisée avec un bouchon Durant cette phase la MG a généralement été transportée à l'intérieur du véhicule
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