Introduction Les maisons romaines étaient : la Domus, l'Insule, l'Horti, les Villas urbaines, les Villas suburbaines et les Villas rustiques. À l'époque romaine, ainsi qu'au Moyen Âge, il a été construit d'une manière différente de la façon dont il est construit aujourd'hui. En général, les limites cadastrales sont restées fixes à l'intérieur de la ville et les nouveaux bâtiments ont été construits au-dessus des anciens, sans que les débris ne soient emportés. Pour cette raison, des states se sont réparties sur les anciens. Au fil des siècles le procédé s'est répété et une coupe verticale des anciennes construction peut révéler plusieurs couches d'habitat datant du 1er siècle avant JC au 3ème ou 4ème siècle après JC
Rome apparaît comme une ville verte, la végétation entre jardins publics et privés, bois sacrés et jardins impériaux, couvrait un tiers de la ville. A l'époque, les couleurs dominantes des maisons étaient le rouge des briques dont étaient faites les îinsulae ainsi que le rouge des toits de tuiles romaines. Contrairement aux tuiles étrusques plus jaunâtres,car l'argile était utilisé et donc les briques et les tuiles, étaient rouges. Toutefois vers le centre de l Urbs le blanc du travertin et des marbres dont étaient faits les domus, les temples et les bâtiments gouvernementaux prédominait. De plus, les toits des temples et même des thermes étaient souvent recouverts de cuivre qui s'oxydait en un beau vert. DOMUS ET VILLAS
En calculant que la Rome impériale devait occuper une superficie de près de 1 280 km2, cela ne pouvait certainement pas suffire pour une population de 1 200 000 à 1 500 000 habitants Aussi .Le problème de la Rome impériale tient à deux facteurs : une population énorme, entre un million et un million et demi à loger, et la nécessité, en l'absence de moyens de transport adéquats, de rester dans un espace limité. Un espace considérable était occupé par des rues, des places, des édifices publics, des temples, des basiliques, des théâtres, des cirques, des entrepôts, des casernes, puis par le Tibre, des parcs, des jardins, des gymnases, des arcades, des bains publics, des écoles et des thermes. Le remède à l'espace insuffisant était le développement en hauteur des maisons romaines, c'est-à-dire des insula Mais il faut attendre les études publiées au début du XXe siècle et les fouilles archéologiques d'Ostie et la découvertes des vestiges trouvés sous le Capitole à l'Ara Coeli, ainsi que sur ceux proches du Palatin via dei Cerchi, pour avoir une certaine idée que les maisons romaines n « étaient pas toutes faites sur le modèle des maisons de Pompéi et d'Herculanum lieu ou la domus indépendante classique était présente majoritairement alors qu’à Rome on trouvait plus d’insulae, et de palais que de villas ou domus
Devant l insécurité des Insula en cas d incendie ou de malfaçons ce qui provoque des effondrements, Juvénal se plaint :
« Qui craint ou a jamais craint que sa maison ne s'effondre dans les glaces de Preneste ou parmi les jougs sauvages de Bolsena [...] ? Mais nous vivons dans une ville où presque tout repose sur des supports élancés ; les administrateurs ne s'opposent à ce remède que contre les murs qui s'effondrent, et puis, quand ils ont colmaté les anciennes fissures, ils veulent que nous dormions paisiblement sous les effondrements imminents . » De 110 à 120 après JC, les insulae se sont développées de plus en plus, dans lesquelles vivaient le propriétaire et les locataires. Il serait difficile de compter le nombre de domus, d'insulae et de temples qui ont été détruits », écrivait Tacite à propos du grand incendie de 64. Pour lutter contre les incendies un service de Vigiles existe dans les cités
Donc on trouve a Rome deux genre d 'habitat hormis les palais et batiments publics Les Insulae et les DomusLes domus sont des maisons privées, des villas, généralement habitées par une seule famille, avec du personnel de service. Par contre la domus avait un statut à part car la domus, était un édifice solide puissant et élégant, de plan rectangulaire, solidement construit sur un seul étage en briques ou en béton (mélange de sable, de gravier, d'eau et de béton), constitué de murs presque sans fenêtre vers l'extérieur mais totalement ouverte vers l'intérieur. Elle se distinguait de la villa de banlieue, qui était plutôt une maison de vacances privée située à l'extérieur des murs de la ville, et de la villa rustique, située à la campagne et équipée de pièces spéciales pour les travaux agricoles.
La Domus se développera horizontalement et était composée de nombreuses pièces aux fonctions différentes : l'entrée bipartite en vestibule et fauces (d'où l'on pénétrait dans l'atrium, qui était la pièce centrale immédiatement après l'entrée, d'où l'on pouvait accéder aux autres pièces , les chambres appelées cubicula, la salle de banquet appelée oecus tricliniare ou triclinium (où les invités pouvaient manger allongés sur les lits triclinium), certaines pièces latérales appelées alae, le tablinum (pièce servant de salon généralement placée au fond de l'atrium ). Les pièces qui donnaient sur la rue étaient généralement louées à des tiers pour être utilisées comme boutiques ou boutiques d'artisans et étaient appelées tabernae. A l'arrière de la maison à ciel ouvert se trouvait l'hortus, le jardin domestique/potager.
Les domus les plus prestigieuses étaient plus grandes et se composaient de deux parties principales : la première gravitait autour de l'atrium, la seconde autour du péristyle, un grand jardin à arcades surplombé par d'autres pièces, généralement agrémentées d'arbres fruitiers, de jeux d'eau et de petits bassins. Les domus de Rome, plutôt horizontales, ont deux modèles : soit le schéma étrusque-romain en atrium (pièces autour d'un atrium, un seul accès depuis l'extérieur, souvent flanqué de boutiques), comme la Maison de Livie sur le mont Palatin ; ou le schéma d'atrium et de péristyle hellénistico-romain, avec une colonnade luxueuse, des balcons et des vérandas, comme derrière les temples B et C de Largo Argentina. Ces domus avaient également des dimensions diverses. Dans les quartiers centraux, Palatino, Foro, Campidoglio, Velabro, Argiletum, étant donné le nombre de monuments publics, la densité de la population et la rareté des terres ont conduit à une taille réduite. La découverte des maisons de l'époque républicaine sur le Palatin, sous la Dumus Flavienne, nous en donne la preuve. Le quartien avec ses domus a été rasé lors de la construction des Palais Impériaux. En bref, l'ordre était plus ou moins comme ceci :
- Ostium
- Vestibulum - Faciès - Atrium - Androm - Perystilium - Lararium - Piscinula - Hortus - Culina - Triclinium - Cubicula - Balneum - Chambres des esclaves - Entrepôts La Domus Son Histoire
Nous savons par l archéologie que vers le milieu du VIIIe siècle. J.-C., les classes aisées romaines transformèrent leurs huttes (casae) en domus. Celles-ci comportaient plusieurs pièces, dont une grande salle, qui donnaient toutes sur une cour. Ses murs étaient en argile humide pressée sur des branches séchées, tandis que le toit était en branches plus épaisses recouvertes de paille. Vers le milieu du VIe siècle. J.-C., des murs un peu plus solides ont commencé à être construits, formés par un petit mur de pierre de tuf avec une élévation d'argile sur le dessus. Le toit devient alors, dans l'usage étrusque, un toit de tuiles et de tuiles cintrées.
- Vers le milieu du VIe siècle. J.-C., la maison romaine a complètement suivi le modèle étrusque, c'est-à-dire la maison qui se développe autour de l'atrium, partiellement couvert par la réunion des quatre pans du toit, soutenu par des poutres horizontales.
A l'époque de Constantin, il y avait environ 1790 domus dans la ville, Dès l'ouverture de l'atrium (compluvium), l'eau de lumière et de pluie entrait, recueillie dans un réservoir (impluvium) et de là amenée à s'écouler dans une citerne souterraine, qui assurait une réserve d'eau pour les besoins de la maison. Mais aussi dans les jardins autour de la maison, des citernes ont été creusées pour l'approvisionnement en eau des plantes. Les murs étaient faits de grands blocs de tuf faits de carrés irréguliers. Ce modèle d'habitation a duré trois siècles. Il semble que le premier exemple de maison à atrium à Rome ait été celle de Tarquinio Prisco d’origine étrusque) sur le Palatin, d'abord résidence privée puis domus publica.- Entre la fin du IIIe siècle. avant J.-C. et le milieu du IIe siècle. J.-C. la maison romaine est entièrement transformée sur le modèle étrusque, mais sans plan d'urbanisme. Puis Néron en fit développer une mais ne portant que sur une partie du Palatin. L'atrium de forme archaïque se transforme avec une utilisation d’ opus caementicium, semblable au béton d'aujourd'hui, mais sans les armatures de fer. Un exemple est l'atrium regium de la domus publica d'Auguste, reconstruit en 210 avant JC, avec péristyle et cryptoportique. La Domus description LES CHAMBRES Ce que nous savons de la domus romaine vient surtout des fouilles de Pompéi . C’est t une combinaison de l'ancienne Domus Italica, formée par une seule cour ouverte (atrium) sur laquelle s'ouvraient les pièces et par un petit jardin (hortus), avec le grec développé maison autour d'un péristyle. Le nombre et la taille des pièces et des jardins, le mobilier et la décoration des pièces variaient selon l'âge (républicain, impérial, etc.) et la fortune du propriétaire. Mais le plan sera toujours le mème avec des salles qui se succédaient dans un ordre prédéterminé : fauces, atrium, alae, triclinium, tablinum, péristyle. Les domus les plus riches se composaient cependant de deux parties principales : la première se développait autour de l'atrium, la seconde autour du péristyle, un grand jardin à portiques surplombé par d'autres pièces, généralement agrémentées d'arbres fruitiers et de pièces d'eau. fontaines, petits bassins, statues et oscillums.
Les noms des pièces à l'avant de la maison étaient les noms latins de l'ancienne domus italique (atrium, tablinium, cubiculum, etc.), tandis que ceux de l'arrière provenaient de la maison grecque (peristylium, exedra, triclinium, etc. ).
OSTIUM
L'entrée principale était généralement située sur l'un des deux côtés les plus courts de la maison. La porte elle était en bois massif et clouté, munie intérieurement de verrous puissants. Souvent le bois était caissonné de renforts horizontaux et verticaux, souvent équipés de heurtoirs en bronze représentant des sphinx, des têtes de lions, des loups, ou certaines divinités. Souvent elle était double porte Souvent alors au sol il y avait une mosaïque avec la figure d'un chien menaçant avec l'inscription "Cave canem", méfiez-vous du chien, un avertissement aux mendiants mais surtout aux voleurs. On accédait à la domus par une porte donnant sur la rue (Ostium), L’entréee pouvait habillée de deux colonnes sur les côtés et une architrave travaillée au-dessus. C'était le seuil d'entrée qui débouchait sur un couloir (vestibule) qui, à son tour, conduisait à l'entrée réelle (fauces) ; de là, on passait à la cour intérieure, connue sous le nom d'atrium, avec une lucarne (atrium). A l'époque impériale la domus se dote également d'une deuxième sortie de service appelée posticum normalement placée du côté du mur le plus large de la maison, pour permettre le passage des serviteurs et des provisions sans obstruer l'entrée principale. La porte de la rue donnait l'idée du luxe de la maison, puisque de l'extérieur son intérieur était invisible, ainsi les familles les plus riches l'ont décorée de marbre précieux, de colonnes aux riches chapiteaux corinthiens et d'architraves, également en marbre, finement travaillées. VESTIBULUM
C'était un couloir court et étroit qui menait de l'ostium aux fauces, véritable entrée de la maison. Le vestibule n'était pas très bien éclairé et possédait souvent un plafond voûté orné de peintures ou de stucs. Il faut toujours éclairé avec de l'éclairage artificiel, bougies et torches, qui étaient fixées aux murs Et lors des receptions les invités pouvaient y admirer le luxe de la domus, appréciant à la fois le raffinement des hôtes et leurs puissances financières. Pour cette raison, tout ce qui pouvait être décoré l’était avec des fresques des placages de marbre et du stuc sur les murs et les plafonds.
ANDRON
Ce couloir mène à un lieu de la domus qui chez les grecs était la partie réservée aux homme l Andron qui comprend un atrium ensuite on passait au péristyle la parte la plus décorée de la domus Cet e hall d'entrée était décoré dans les domus les plus élégantes avec des peintures, des demi-colonnes, des stucs, et on trouvait comme mobilier des rideaux et des bancs ou des chaises hautes.
Ensuite se trouvait la partie réservée à la famille ATRIUM
L'atrium était à l'époque archaïque la pièce centrale du foyer au centre de la domus, dont les murs étaient noircis par la fumée (ater) et autour de laquelle se déroulait la vie familiale. Cette coutume fut bientôt abandonnée mais une petite plate-forme surélevée à l'intérieur de l'impluvium, le cartibulum, resta pour symboliser le foyer.
le cartibulum était cette petite table de pierre ou de marbre que l'on trouvait presque toujours dans cette pèce Elle est composé d'une dalle de marbre soutenue par deux grandes dalles travaillées reposant sur des bases étroites. Les deux dalles ont été sculptées en forme d'animaux tels que des griffons, des sphinx, des lions, ou des motifs floraux. Cette petite table symbolisait la table de l'ancienne domus, où l'on mettait la nourriture et où la famille se réunissait pour manger autour de cette table qui à l'époque devait être simplement en bois. Plus tard, cependant, il a souvent été utilisé par le propriétaire pour mener à bien des affaires qui n'exigeaient pas trop de cérémonies. En effet, on pouvait y placer des instruments d'écriture tels que le stylet des parchemins une corbeille où recueillir lettres et supplications ou récits divers. Dans l'Atrium, généralement carré, il y avait aussi un Lararium dans lequel était placé les images des ancêtres, les statues des Lares, des Mani et des Pénates protecteurs de la maison, de la famille et d'autres divinités, On pouvait aussi y trouver des œuvres d'art, les objets de luxe et autres signes de richesse; Dans cet a atrium le propriétaire recevait visiteurs et clients, partenaires et alliés politiques. Au départ, à côté d'eux, un feu sacré était alimenté, qui ne devait jamais s'éteindre, sous peine de la colère des Dieux, mais ensuite cette coutume s'est estompée. L'Atrium était une pièce rectangulaire, recouverte d'un toit qui, le plus souvent, avait une ouverture au centre (compluvium) : un bassin y correspondait dans le plancher (impluvium) et était destiné à recevoir la pluie qui tombait par l'ouverture
Cette eau était ensuite acheminée vers une citerne souterraine, qui constituait la réserve d'eau de la maison. COMPLUVIUM Généralement, les domus n'avaient pas de fenêtres sur l'extérieur, ou, s'il y en avait, elles étaient très petites pour empêcher les bruits ou, pire, les voleurs de l'extérieur.
L'éclairage était donc assuré et surtout par la lumière du soleil qui entrait par le compluvium de l'atrium. et se reflétait les pièces adjacentes. Généralement, le compluvium avait des antéfixes qui ornaient les pentes internes du toit qui pouvaient être aperçues depuis l'atrium, généralement en terre cuite unie ou décorées et colorées. Les antéfixes pouvaient avoir des têtes de divinités, ou des têtes de griffons ou simplement des frises florales, réalisées en terre cuite colorée. C’est un Héritage étrusque Il comportait également au moins quatre gargouilles aux angles du toit ouvert, généralement en pierre, en forme de loup, de lion, de griffon ou autre. Les gargouilles, en plus d'être décoratives, aidaient l'eau à s'écouler dans le bassin en contrebas. En effet du compluvium entrait non seulement la lumière mais aussi l'eau de pluie qui était recueillie dans un bassin quadrangulaire ou citerne au centre de l'atrium appelé impluvium. IMPLUVIUM C'était le bassin en pierre placé sous le compluvium qui servait à recueillir l'eau de pluie. Généralement, il était décoré de marbre, parfois de colonnes, de statues ou de vases toujours en pierre. Il y en avait avec une statuette en son centre posée sur un piédestal, ou avec une statue posée sur le "cartibulum", ou encore avec quatre vases placés aux angles du bassin. Le bassin était équipé d'un trop-plein qui envoyé l'eau dans une citerne souterraine. Il avait généralement un rebord et une ou plusieurs marches internes, parfois avec une mosaïque sur le fond et autour de la baignoire. Cette eau était utilisée pour arroser le jardin, laver les vêtements et garder la maison propre.Par contre elle n’était pas réservé pour l’alimentation humaine C ‘était un puit généralement placé dans le jardin qui assurait l’approvisionnement en eau potable Le toit lui-même était souvent supporté par des colonnes qui formaient ainsi tout autour une colonnade ou une galerie Mais comme le toit prenait différentes formes qui donnaient à l'intérieur de l'atrium un caractère différent, on classa ces variétés sous les noms qui suivent, pour distinguer les différents styles de construction : Atrium tuscanicum. Cet Atrium toscan, est le plus simple et le plus ancien de tous ; les Romains l'empruntèrent aux Etrusques, et on ne pouvait l'employer que dans un appartement de petite dimension. Le caractère de cet atrium était de n'avoir point de colonnes pour supporter le toit, qui courait autour des parois et qui était soutenu sur deux poutres placées en long d'un mur à l'autre. Deux autres, plus petites, étaient mortaisées dans celles-là, à égale distance des parois, et formaient ainsi au centre une ouverture carrée .
Le toit, repose sur les quatre colonnes, et former une galerie couverte autour des parois de la pièce, avec une ouverture entre ces colonnes au centre,
Atrium corinthium. L'atrium corinthien, qui était du même genre que le dernier, mais plus grand et plus magnifique : en effet, les colonnes qui supportaient le toit y étaient plus nombreuses et placées à distance de l'impluvium. La partie centrale était aussi découverte,
Dans ce style de construction, une des extrémités de chaque poutre qui portait le toit et formait un plafond pour la colonnade qui entourait la pièce, reposait sur la tête de chaque colonne, et l'autre sur la paroi latérale, au lieu de lui être parallèle comme dans l'atrium toscan et le tétrastyle : elles sont ainsi disposées à angles droits avec les murs, ou, en d'autres termes, s'en éloignent. C'est le sens de l'expression de Vitruve : A parietibus recedunt.
Atrium displuviatum. L’Atrium dont le toit était en talus, la pente dans une direction opposée au compluvium au lieu d'incliner vers lui, et par conséquent chassait l'eau dans les gouttières du dehors au lieu de la conduire dans l'impluvium, comme dans les trois exemples précédents. Atrium testudinatum. L'atrium en dos de tortue ou couvert, qui n'avait pas de compluvium, la pièce entière étant tout à fait couverte d'un toit de l'espèce appelée testudo (Vitruv. V, 1) : Il est probable qu'un atrium de ce genre avait deux étages et qu'il recevait le jour de fenêtres pratiquées dans l'étage supérieur. Comparez aussi cavaedium. Dans l'axe de l'entrée, sur le mur opposé de l'atrium, s'ouvrait le tablinium L'atrium n'était probablement pas fermé par des portes mais par des rideaux qui, en été, pouvaient être laissés ouverts, offrant aux visiteurs une perspective splendide. Habituellement, les clients du propriétaire y étaient accueillies, souvent d'anciens esclaves affranchis, ou qui proposaient des affaires, ou des informateurs ou des influenceurs de votes pour les élections.
Habituellement, il y avait aussi un coffre contenant de l'argent que le dominus distribuait à divers clients ou pour faire face à des paiements. Ici le propriétaire recevait aussi, le loyer des boutiques appartenant au dominus qui s'ouvraient souvent sur les côtés extérieurs de la domus. LARARIUM
Placé dans l'atrium C'était un renfoncement ou une niche ou un édicule décoré de différentes formes, ou avec un plafond voûté ou avec un toit de brique ou de bois ou de pierre.
Dans cette niche reposaient les statues sacrées, à côté des escens et d'offrandes diverses vin ou autre.Parfois c’est un édicule plus élaboré avec mosaïque toit en pente et quelques marches. Parfois le lararium reposait directement sur l'autel soutenu par deux colonnettes. Mais une domus pouvait aussi avoir plus d'un lararium Placé dans diverses pièces cela permettait de ne pas nécessairement avoir à se rendre à l'atrium quand on avait besoin de prier. Dans les larari, en plus des Lares, des Pénates et des mains, étaient placées les statuettes ou images d'autres divinités auxquelles on était particulièrement dévoué. Parfois divers génies serpents ou êtres mythiques y apparaissaient. Voici les objets qui pouvaient se trouver dans le lararium pour le rituel quotidien : Acerra - un cercueil quadrangulaire ou cylindrique, où l'encens était conservé pour être utilisé dans les sacrifices; également appelée arche de turaria, en terre cuite ou en métal gravé ou en bois. Lors des cérémonies, un jeune assistant (camillus) l'apportait au prêtre pour qu'il en tire les grains à jeter au feu. Salinum - pot de sel purifié. Il était généralement en métal gravé.Le sel avait une grande valeur purificatrice à tel point que la déesse Salus tirait son nom du sel. Les Romains croyaient qu'il purifiait aussi contre les mauvais esprits. Gutus - récipient de lait ou de vin destiné à un usage sacré. Il puvait être en terre cuite, métal,verre ou pierre. Patera - assiette d'offrandes, généralement ronde mais parfois ovale. Elle pourrait contenir de la nourriture et/ou du vin et était utilisée dans toutes les circonstances des rites religieux. Encens - diverses qualités de résines, ou mélanges de résines et d'encens qui ont été brûlés sur des charbons de bois. Turibulum ou Thymiaterium brûleur d'encens et d'herbes. Géralement en métal sur lequel on plaçait du sable, du charbon de bois et de l'encens. Lucerne - une lampe sacrée utilisée exclusivement pour le rite du lararium. Sa lumière était allumée au début du rite et éteinte à la fin. -
CAVAEDIO
L'espace découvert au centre de la domus s'appelait cavaedio, qui s'appellerait aujourd'hui le cloître. Il pouvait être de différentes tailles, le plus souvent carré si l'atrium était carré ou rectangulaire comme l'autre. Sa taille dépendait également de l'emplacement de la villa, plus grande si la domus se trouvait dans la zone la plus méridionale ou plus petite au nord ou dans les zones plus froides. Elle était entourée en périphérie d'un mur sur lequel s'ouvraient les portes d'accès aux différentes pièces qui étaient aérées et éclairées, offrant aussi une protection contre la pluie et la chaleur estivale. TABLINIUM Au fond de l'atrium, juste en face de l'entrée, se trouvait un grand salon (tablinum), séparé de l'atrium uniquement par des rideaux. A l'origine, il contenait aussi le lit conjugal, Dans cette partie de la maison, des images d'ancêtres, des œuvres d'art, des objets de luxe et d'autres signes de noblesse ou de richesse étaient exposés.
Après l'atrium, placé directement devant l'entrée, s'ouvrait donc cette grande pièce, la chambre-bureau du propriétaire où étaient conservées les archives familiales et où il recevait ses clients : elle avait les angles des murs avec des pilastres, il n'était séparé de l'atrium que par des rideaux, et avait une grande fenêtre donnant sur le péristyle d'où il recevait la lumière et l'air. Elle était souvent meublée d'une grande table de pierre et d'une chaise imposante placée au centre de la pièce, en bois ou en osier, accompagnée de riches coussins damassés à franges et plumets, tandis que quelques tabourets étaient placés sur le côté, le tout meublé à décor tourné et pieds décorés de sculptures en os, ivoire ou bronze coffre, un ou deux bougeoirs, des tables plus petites où bouteilles et verres étaient disposés pour offrir des invités spéciaux, ou encore de la vaisselle en argent qui donnait l'idée de la richesse du propriétaire et aussi de son bon goût. Ici, le propriétaire recevait donc des visiteurs, des clients, les esclaves qu'il libérait, des partenaires, des mendiants et des alliés politiques, ou des personnes qui lui offraient quelque chose ou dont il devait lui-même obtenir quelque chose.
PERISTYLIUM
La vie privée de la famille se déroulait généralement dans la partie arrière de la maison, réunie autour d'un jardin bien entretenu, qui pouvait également être entouré d'un portique à colonnes (péristyle) et orné de statues, de marbres et de fontaines.
Le péristyle consistait en un jardin (Hortus) dans lequel herbes et fleurs poussaient avec ordre et harmonie, avec des allées, des parterres et parfois de petits labyrinthes, le jardin à l'italienne est né d'ici, ce jardin aux haies élaborées qui en France s'appellera plus tard jardin à la française.
e jardinier prenait soin des plantes et les façonnait souvent en forme d'animaux. Elle était entourée de chaque côté par un portique (Porticus) généralement à deux étages, soutenu par des colonnes : Les colonnes avaient des chapiteaux toscans, doriques, ioniques ou corinthiens. Ils pouvaient être lisses ou cannelés, en marbre ou en maçonnerie Elle étaient peints en rouge généralement dans la partie inférieure, dans ce cas la partie peinte était lisse tandis que la partie supérieure était cannelée. Le tout enrichi de nombreuses œuvres d'art, ornements en marbre, fresques, statues, fontaines et objets en marbre (vases, tables et bancs). Généralement, des objets qui se balançaient au vent, appelés Oscillum qui pouvaient être en marbre gravé (sur les deux faces) ou en terre cuite, ou en bronze ou en plâtre coloré, étaient généralement accrochés au sommet de ses colonnes. C'était la zone la plus lumineuse, et souvent l'une des plus somptueuses. Dans le péristyle il n'était pas rare de trouver une piscine, Tantôt le bassin central était étroit, mais très long, pour accueillir des ponts qui menaient d'un côté à l'autre, et tantôt ils étaient parsemés sur les bords de statues et même de bancs qui permettaient de profiter de la fraîcheur de l'eau. Certaines domus possédaient plutôt de petits ou grands bassins à poissons, ou des fontaines avec des jeux et des jets d'eau qu'on pouvait ouvrir ou fermer au moyen de machines. Le sol du porche était généralement en cocciopesto (avec de la faïence mélangée ou de la pierre concassée), ou en terre cuite, ou en marbre composite ou en mosaïque.
Le péristyle abritait des bancs sculptés, en granit ou en marbre, et sur les murs souvent peints de grotesques, scènes mythiques, divinités, scènes d'animaux ou de plantes et d'oiseaux. Parfois, cependant, les murs étaient décorés en opus sectile, c'est-à-dire avec du marbre coloré coupé et inséré entre eux Cette dernière solution était très coûteuse mais rentable dans le temps car elle ne s'abîmait pas. Le tableau, en revanche, était voué à se détériorer et au bout de plusieurs années il a fallu le reconstituer. Cependant, il faut considérer qu'il y avait beaucoup d'artistes à l'époque et qu'ils ne coûtaient pas très cher. L'art dans et autour de Rome était chez lui. Les chambres principales donnaient également sur le péristyle, généralement sur deux étages, soutenu par des colonnes : CUBICULUM
Les chambres étaient appelées cubiculum Comme leur nom latin l'indique, il s'agissait de petites pièces, la plupart du temps sans fenêtre et ouvertes sur les côtés gauche et droit de l'atrium.
Ces pièces sombres semblables à des cellules dont l'éclairage ne fournissait que de faibles lampes qui mettaient peu en valeur ces chefs-d'œuvre de fresques ou de mosaïques qui ornaient souvent ces pièces, On trouve ensuite les alae, deux zones de dégagement ouvertes. Sur les deux ailes (alae) du péristyle se trouvaient les chambres de la master cubicula, un peu plus larges que celles des ailes de l'atrium, parfois munies d'une petite fenêtre munie de grilles. Nous n'avons aucune idée du nombre de candélabres ou lampes à huile qui éclairaient la pièce . C'était généralement le travail de l'esclave d'éteindre silencieusement les lanternes lorsqu'il se rendait compte que le maitre s'était endormi. Le cubiculum avait généralement un sol en mosaïque de carreaux blancs avec une ornementation simple, les peintures sur les murs différaient par le style et la couleur du reste de la maison, et le plafond au-dessus du lit était toujours voûté. Le mobilier de la cubicule était constitué de lits, les plus courants étant des lits simples ( lectuli ); puis il y avait ceux à deux carrés pour les époux (lectus genialis). Les lits pouvaient être en bronze, plus souvent en bois travaillé ou en bois précieux exotiques qui, une fois polis, dégageaient de nombreuses couleurs comme les plumes d'un paon (lecti pavonini). Les propriétaires dormaient généralement dans des lits séparés, parfois dans une seule pièce, parfois dans deux pièces séparées. De toute façon, le lit double pour les Romains n'existait pas. A Herculanum, un matelas bourré de feuilles a été trouvé dans une domus, peut-être en raison d'une action antiparasitaire. Le matelas était recouvert de deux couvertures, l'une pour s'appuyer et l'autre pour se couvrir. À l'époque impériale, il y avait un drap de coton ou de lin sur le matelas. Enfin, un couvre-lit polychrome et damassé, souvent rayé, avec comme couleurs dominantes le bleu, le rouge et le jaune. Les autres meubles de la maisonsont un coffre en bois avec des revêtements en bronze ou en cuir pour les vêtements et le linge. Il y avait aussi des armoires, . ce type de meuble a été inventé par les Romains Elle est haute et à deux portes généralement en bois ajouré. Ils ne servaient pas à entreposer du linge ou des vêtements mais à protéger ou contenir des objets précieux, délicats ou utiles. Puis des armoires telles que buffets, tables et tables basses, toutes en bois travaillé, parfois avec des plateaux en marbre précieux. On peut aussi y trouver un coffre- fort qui sont de lourdes boîtes en bronze volumineuses avec des goujons, des clés et des loquets, car les Romains les utilisaient déjà pour les portes des maisons et des magasins. Différents types ont été découverts lors de fouilles archéologiques à Pompéi et ailleurs, avec une technique ingénieuse, avec des clés mâles et des clés femelles dont l'extrémité utilisait des ressorts. Ils possédaient aussi des tiroirs secrets des doubles fonds, comme des boîtes chinoises Aussi en latin le terme pour designerr garder un secret se disait : « sub clavi esse », c'est-à-dire être sous clé. Juvénal lui-même, se plaignant du chaos de la ville, raconte que pour se prémunir contre les vols les portes étaient fermées à clés et loquets et que les fenêtres étaient verrouillées la nuit avec un verrou et que celles du rez-de-chaussée étaient équipées de gardes Un coffre-fort était donc une précaution supplémentaire. Enfin on trouvait des Accubitalia ou des tapis
CULINA
la cuisine était un environnement de peu d'importance et de dimensions modestes, où les plats étaient préparés sur un comptoir en brique, cuisant dans de petits fours ou au-dessus des braseros, la cheminée n'était pas utilisée. Dans certaines cuisines,on en trouvait une très petite et basse était utilisée pour le pain et la gateaux Le comptoir pour la cuisine était en briques, avec unb plan de travail sous lequel on, pouvait placer du bois ou du charbon .Lles braises étaient étalées sur la surface de la brique et des trépieds de différentes tailles et nombres étaient placés dessus en fonction de la nourriture à cuire, tandis que des casseroles et des poêles reposaient sur les trépieds. Au mur, il y a plusieurs étagères pour les objets en bois et quelques petites armoires . Au mur une solive de bois permettait d'accrocher les casseroles, en bronze ou en fer, tandis que les marmites étaient sur les étagères. Il y avait aussi des plateaux de différentes formes, même en forme de poisson, de lapin ou d'oiseau. Parfois ces outils étaient usinés sur le manche, avec des moulages soudés ou ajourés. Les Romains allumaient le feu avec un morceau de fer taillé dans un petit fer à cheval qu'ils tenaient d'un côté en frappant un morceau de quartz. Les étincelles tombaient sur les fomes , les champignons qui poussent au pied des arbres, spécialement séchés et préparés. Puis elle se transmettait à la paille et enfin aux fagots et aux bois. La cuisine (culina) donnait également sur le péristyle où était donné des banquets, Mais souvent ce n’etait pas'd'une grande pièce dans le style des cuisines médiévales , mais c'était la pièce la plus petite et la plus sombre de la maison ;Cependant, la cuisine n'avait pas d'emplacement fixe dans une domus car parfois on la trouve à coté de l'atrium, mais sa caractéristique constante est qu’elle était toujours dans un environnement petit et sombre.
commencé à libérer la flamme issue des étincelles. Une fois les braises chaudes, des trois pieds en métal et des grils ont été placés dessus, comme des poêles, où des pots et des casseroles ont été placés sur le dessus.
BALNEUM
Attenant à la cuisine se trouvaient la salle de bains (balneus), réservée à la famille du propriétaire
Le bain, le bain romain, était la copie exacte des thermes (il comprenait l'apodyterium, le vestiaire, le calidarium, le bassin d'eau chaude, le tepidarium, un bassin d'eau chaude, pour se rendre au frigidarium qui était le bassin avec eau froide).
Les Romains étaient passés maîtres en mécanique et en énergie hydraulique ayant appris l'irrigation des Étrusques qui étaient passés maîtres en la matière, La construction des aqueducs est encore aujourd'hui l'une des merveilles du monde antique. L'eau était propriété de l'Etat mais avec une concession de l'empereur ou en payant une taxe, elle était raccordée. en efet les plus riches bénéficiaient de branchements s "spéciales" aux aqueducs pour leurs domus ou villas. Rome Possédait Quatorze aqueducs qui apportaient un milliard de litres d'eau par jour à la ville, 247 bassins de décantation (castella), les nombreuses fontaines ornementales, les grandes canalisations des maisons particulières nous ont fait penser que dans les maisons romaines il y avait une distribution d'eau courante dans tout l'URBS.Le premier aqueduc a été construit par Appius Claudius en 312 av. J.-C.,En cas de manque d'eau, l'alimentation des maisons et des thermes était automatiquement interrompue, tandis que celles des fontaines publiques restaient en fonctionnement.
Ce n'est que sous Trajan que l'eau de source avec l’aqua Traiana était amenée sur la rive droite du Tibre où le peuple devait jusque-là utiliser celle des puits. Pour la construction les ingénieurs vont d'abord utiliser le corobate , une sorte de niveau avec des fils de plomb suspendus dont la surface était mesurée et un bassin supérieur qui ne devait pas déborder. Une fois le plan et le tracé de l'aqueduc tracés, les ingénieurs mesurèrent le terrain tous les dix mètres avec des montées et des descentes, enfouissant ou élevant sur des arcs les tuyaux qui de la source à Rome devaient avoir une inclinaison très légère et constante, de quelques cm par km, ce qui serait encore difficile à faire aujourd'hui. Mais dans la cité le plus souvent les insulae n 'etaient pas alimentées en eau et pour avoir l 'eau il y avait les fontaines publiques et et les porteurs d'eau (aquarii) Ici on assiste à la mise en place d'une chaine du ravitaillement en eau avec les porteurs (ostiariiet aquarri ) les plombiers et ouvriers , qui aux frais des propriétaires,entretenaient les canalisations pour qu'il n'y ait pas de manque d'eau, contrôle et les eboueurs Zetarri qui nettoyaient les rues. Car, les Romains s'occupaient des ordures : On a retrouvé des depotoirs à l exterieurs de cités et cela est une mine d or pour les archéologues Dépendances Celles ci n'avaient pas de disposition fixe (parfois, en fait, ils étaient situés dans la partie de l'atrium). Dans certaines villas les plus luxueuses il y avait une bibliotheca pour les livres, la pinacotheca pour l'exposition d'œuvres d'art et la diaeta pour recevoir les invités (d'où le terme diététique, car seuls des en-cas étaient offerts), et le solarium aux voûtes couvertes, la partie la plus élevée de la maison, la terrasse pour sécher au soleil ou, si elle est couverte, pour se rafraîchir.
S'il y avait une étage on pouvait y trouve une pergola et des plantes en pots e petites tables et des chaises pour se détendre un peu et regarder l et enfin on trouvait les chambres des domestiques (cellae servorum) ;Pour les Latrines les romains dans leurs cités avaient un reseau de latrines publiques (Forica) qui était bien entretenu mais qui était aussi une source de matiere premiere car l'urine collectée était utilisée par les teinturiers pour préparer les tissus avant la coloration ainsi que pour dégraisser les laines. Cette collecte fut taxée à partir de 70 ap JC par Vespasien qui devant renflouer les caisse de l 'Etat vides immagina de taxer cette matiere premiere Cette taxe sur les commerces et les artisans fut appelé chrysargyre. A ce sujet il est une anecdote que je vais vous raconter Vespasien fut interpellé par son fils Titus sur l'origine de cet argent Il lui reprocha que celui si provenait de matieres peu nobles et ayant une odeur repoussante . Vespasien remplit ses mains avec des pieces de monnaie et les approcha des narines de son fils en disant pecunia non olet », c’est-à-dire « l’argent n’a pas d’odeur Les nom de vespasiennes pour les WC publics fut données en souvenir de ces WC publics Les riches possédaient dans leur domus des latrines privées amis aussi on trouvre des Foricas sorte de Toilettes seches
La salle à manger s'appelait un triclinium car elle contenait trois lits à trois places, sur lesquels les Romains s'allongeaient lors des banquets.
Le triclinium appelé oecus tricliniare ou triclinium, pouvait être situé à côté de l'une des deux ailes, et était la grande et somptueuse salle à manger, qui était éclairée par une ouverture qui donnait d'un côté sur le péristyle et de l'autre sur l'atrium. Il était dans une partie de la maison ou dans l'autre, souvent dans les deux. Il était donc possible d'avoir plus d'un triclinium, généralement les deux faces étaient utilisées en fonction de la saison. L'exposition nord à la saison chaude, l'exposition sud au printemps ou à l'automne et l'intérieur de la maison à la saison froide. Ainsi les lits étaient déplacés d'un côté à l'autre de la maison en fonction du nombre d'invités. C’était de vrais lits, en bois, simples ou décorés. Les trois lits, à l'intérieur du triclinium, étaient disposés en forme de fer à cheval de manière à permettre facilement le passage de l'esclavage. Le lit central, le medius lectus, qui pouvait contenir plus d'un lit simple, était destiné aux invités les plus importants, dont le personnage le plus prestigieux de tous, qui siégeait sur la partie la plus haute, le locus consularius. Les triclines latérales, qui pouvaient contenir plus d'un lit simple et étaient toujours placées côte à côte, étaient respectivement appelées imus lectus, destinées aux personnes moins importantes, notamment, par respect pour les invités, et les sumus lectus, sur lesquelles elles étaient placées. invités de moyenne importance. Entre les lits du triclinium se trouvait une table qui, selon sa forme, prenait des noms différents : la carrée s'appelait cilliba et reposait sur quatre pieds, la circulaire, qui reposait sur trois pieds, s'appelait la table, et celle utilisé pour les boissons s'appelait urnarium Les triclinia étaient luxueux, avec des fresques sur les murs et des mosaïques sur les sols. À l'époque impériale, ils ont subi des transformations avec une explosion de richesse dans le architecture et les decors apparition d exèdre, salle de fêtes et de réceptions. Si à l orogine ces chambres avaient trois lits, on trouvera des tricliniums plus grands qui pouvaient accueillir plus de lits Généralement, ceux-ci étaient en maçonnerie, recouverts de matelas et de draps, avec des couvertures pendant la saison froide. C'était un lit simple à trois côtés, équipé d'oreillers, de draps et de couvertures avec un espace pour les tables internes. Les invités étaient allongés sur le ventre en s'appuyant sur un coude et de l'autre main ils pêchaient des bouchées de nourriture déjà coupées et placées dans des bols par les esclaves. Les esclaves font le service avec les boissons et la nourriture, retirent les assiettes vides, fournissent des lingettes pour le nettoyage et changent les draps s'ils étaient sales. .A la fin de chaque banquet, les domestiques s'arrangeaient le triclinium en remplaçant les draps souillés, et pour ramasser sur le sol les restes de nourriture jetés, selon la coutume, sur le sol pendant le repas. Mais les esclaves personnels que les invités eux-mêmes amenaient souvent, prenaient soin de changer la chlamyse du maître lorsqu'ils la voyaient tachée ou lui nettoyaient les mains avec de l'eau de rose fournie par les esclaves du maître. HORTUS
Dans la partie arrière de la maison, au centre de laquelle se trouvait le péristyle (péristyle), se déroulait habituellement la vie privée de la famille, le tout réuni autour d'un jardin bien entretenu (Hortus), qui pouvait aussi être entouré d'un jardin à colonnes portique (porticus) et décoré de statues, de marbre et de fontaines, qui surplombait les chambres principales (cubicules). Les Romains ont commencé à réserver des espaces verts dans la domus de la ville, à partir du IIe siècle avant JC, un peu dans l'usage grec grec, où le soin des petits vergers ou jardins était déjà utilisé depuis le Ve siècle. AVANT JC. Les premiers horti romains concernaient principalement les arbres fruitiers et les herbes aromatiques. Puis a suivi la viridaria, avec des espèces d'arbres et de fleurs de tout le bassin méditerranéen, cultivées à la fois pour un usage alimentaire et pour la beauté. En plus des arbres fruitiers, le romarin et le laurier étaient cultivés dans l'horti de la domus. sauge, navets, rue, raifort, carottes, hysope, bourrache, achillée millefeuille, oignons, ail, poireaux, laitue, chicorée, artichauts, endives et concombres . Cependant, le terme hortus était couramment utilisé pour désigner à la fois le potager et le viridarium.
PISCINULA PISCINE
Le terme piscinula dérive de piscis, poisson, en tant que réservoir apte à contenir du poisson, qui est devenu l'une des beautés du péristyle. C'était l'un des plus grands avantages du péristyle, car pendant la saison chaude, il contribuait avec les plantes à garder l'air plus frais. Il était également de coutume de dîner au bord de la piscine en profitant du doux bruit de l'eau et de sa fraîcheur. Certains aimaient mettre du poisson dans le bassin, d'autres le réservaient pour pouvoir se baigner, sans s'exposer au soleil, car les romains aimaient la blancheur de la peau, le bronzage était réservé aux esclaves et aux paysans. La piscine était dallée en marbre sol et bordure ou elle était en travertin. Sur son bord il y avait des bancs, des statuettes, des vases de marbre, des hermès, des buissons, etc. PORTIQUE
Le jardin romain des riches villas ornées et embellies de chefs-d'œuvre était presque toujours entouré d'une colonnade rarement en brique, plus souvent en marbre. Les colonnes en briques étaient rondes ou carrées, celles en marbre étaient rondes, parfois à moitié colorées, généralement avec la partie inférieure rouge et la partie supérieure jaune ou blanche, ou de couleur naturelle. Les colonnes avaient chacune une base et un chapiteau qui soutenaient le toit en pente sous lequel s'abritaient de la pluie et de la chaleur. Parfois le triclinium d'été s'ouvrait sous le portique, souvent en maçonnerie EXÈDRE La signification grecque originale de l'exèdre était celle d'un siège devant la porte menant à une pièce qui s'ouvre sur un portique, entouré tout autour de hauts bancs de pierre courbes un espace ouvert destiné à un lieu de rencontre et de conversation philosophique. . Une exèdre pourrait aussi être un espace vide incurvé en colonnade, peut-être avec un dôme et en tout cas généralement avec un siège semi-circulaire. L'exèdre a été adoptée par les Romains, mais comme un grand espace de réception, pour les loisirs, également utilisé pour les banquets et les dîners, avec des sols en mosaïque et des murs recouverts de fresques et de marbre coloré. Parfois, ils avaient des étages différents, avec des escaliers, des balustrades, des statues, de l'eau qui coule, des plantes aquatiques et des porte-torches pour refléter les lumières vacillantes des torches sur les eaux bouillonnantes. LE DALLAGE ROMAINE Les pièces pouvaient être pavées avec des techniques spéciales de valeur différente : faïence, carreaux de terre cuite, mosaïques en noir et blanc ou en couleur, et sols en marbre très précieux appelés sectilia. Les murs et parfois même le plafond étaient décorés de fresques. Comme les pièces avaient une fonction prédéterminée, les mosaïques étaient souvent adaptées à l'utilisation prévue de l'environnement. Pour le triclinium, par exemple, les natures mortes de nourriture. Dans les salles de représentation ou destinées à la vie privée apparaît dès le premier siècle. un béton à fond rouge avec des décors linéaires de tesselles de calcaire blanc.
Au centre il y avait un tapis de mosaïque en ciment avec des pierres multicolores ou un fond de ciment avec des flocons de pierres de différentes couleurs à travers le plateau. Dans les thermes, la brique était utilisée avec des éléments de formes diverses, parfois associés à des tuiles de calcaire ; enfin l'opus spicatum, en partie dans le vestibule et, dans le complexe thermal, dans les latrines et dans les salles interprétées comme apodyterium et frigidarium. Le système décoratif des sols en briques Le système décoratif des sols en briques décorées et en béton a ensuite été repris au fil du temps par les sols vénitiens et par les fameux carreaux de ciment du début du "900", Chauffage Les maisons romaines n'avaient de verre aux fenêtres que si elles étaient riches, car le verre coûtait cher, même s'il était moins cher que celui soufflé, et servait aisso pour la décoration l'ameublement avec du verre pour les mosaïques. Sinon on utilisait des draps ou des cuirs aux fenêtres, ou des rideaux très fins, selon la possibilité et la saison, qui laissaient passer ou non le vent et la pluie, ou encore des volets en bois qui abritaient du froid ou de la chaleur mais avec peu de lumière. Le rez-de-chaussée de la domus était en général chauffé si le propriétaie avait les moyensLes systèmes de chauffage romains consistaient en l'hypocauste un ou deux foyers alimentés selon l'intensité ou la durée de la flamme par du bois, du charbon de bois ou des fagots et par un conduit la chaleur passait avec la fumée qui arrivait dans l'hypocauste adjacent. , formé de petits tas de briques (suspensurae) à travers lesquels circulait la chaleur qui réchauffait le sol des pièces suspendues au-dessus de l'hypocauste lui-même. Les suspensurae ne couvraient jamais toute la surface des hypocaustes, il fallait donc plusieurs hypocaustes pour chauffer le sol d'une pièce. Au lieu de cela, il pouvait être utilisé pour chauffer une pièce unique et isolée comme on le voit dans la salle de bain des villas pompéiennes ou dans le calidarium des thermes Bien sûr, ils n'étaient pas utilisables pour les étages supérieurs. Les foyers n'étaient pas utilisés, des braseros portatifs ou montés sur roues étaient utilisés à la place. ÉCLAIRAGE
Bien sûr, cela n'existait pas dans la cité à tel point que la nuit on voyagait t avec des faciès, ou torches, L 'autres sources de lumièrei provenait des tavernes ouvertes jusqu'à tard dans la nuit, c'est-à-dire les tavernes et les bordels. Juvénal écrivait que c'était fou de sortir le soir sans faire de testament, surtout qu'il était coutumier de vider sa vessie dans la rue. Les domus romaines étaient grandes et spacieuses, aérées et hygiéniques, équipées de salles de bains et de latrines, équipées d'eau courante, chaude et froide, chauffées en hiver par le chauffage central (les hypocaustes, appareils complexes qui laissent passer des courants d'air chaud sous les planchers), verres colorés et décorations avec mosaïques, fresques multicolores et statues, étaient des habitations destinées à satisfaire les besoins de leurs locataires, alliant beauté et esthétique, à tel point qu'elles pouvaient être considérées comme les plus confortables qui aient été construites jusqu'au XXe siècle. L'éclairage de la maison romaine était basé sur les grandes fenêtres utilisées pour éclairer et aérer les pièces mais les fenêtres n'étaient pas toujours équipées de lapis specularis, une fine feuille de verre ou de mica. Mais extérieurement, la domus n'avait que des fenêtres en hauteur sur la rue, afin d'éviter le bruit et les voleurs. Souvent, le lapis specularis était utilisé pour fermer une serre, ou une salle de bain ou des bains, ou des bâtiments publics, mais pour les fenêtres des maisons publiques, on utilisait principalement des toiles ou des cuirs qui n'entravaient que partiellement le vent et la pluie, On trouvait aussi des voletss en bois qui protégeaient mieux du froid ou de la chaleur mais ne laissaient pas passer la lumière. Pline le Jeune, bien qu'il ne devait pas être pauvre, dit que pour se protéger du froid, il a été forcé de vivre dans l'obscurité afin que vous ne puissiez même pas voir l'éclat de la foudre. Cela ne signifie cependant pas que ses fenêtres n'avaient pas de vitres, mais qu'il était également obligé de fermer les fenêtres pour empêcher le froid d'entrer. En pratique, la domus était fermée sur elle-même comme un fort : avec des fenêtres toujours placées en hauteur, et sans balcons. Les pièces prenaient l'air et la lumière des ouvertures du plafond en correspondance avec les deux pièces internes principales et spatiales de l'atrium et du péristyle, qui formaient les centres des deux parties en lesquelles la maison était divisée, représentant ainsi l'habitation classique du sud et les populations méditerranéennes., qui s'invitent au grand air. Mais si la domus possédait de feuilles transparentes sur les fenêtres, de talc, de mica ou de verre, ce qui était un véritable luxe il faillait un éclairage artificiel qui était plutôt confié aux bougies dans la riche domus, déjà connue des Grecs et des Étrusques, La bougie était en cire d'abeille avec des mèches de roseau, mais elle a des origines très anciennes même chez les Romains. Les bougies en cire d'abeille étaient un luxe, car pour les obtenir, il fallait posséder des fermes apicoles ou les acheter à ceux qui les possédaient. Les Romains en possédaient beaucoup provenant de fermes dans des villas rustiques mais certes l'utilisation était importante par rapport à la production dont le prix était considérable. Alors pour minimiser le prix les chandelles étaient fabriquées en enroulant une couche de cire ou de suif autour d'une mèche composée de plantes des marais. Ainsi, de petites bougies ont été formées, semblables à celles utilisées à l'église pour allumer des bougies, puis certaines ont été torsadées ensemble, formant de grandes bougies torsadées. ou "torsadés" qui, en raison de leur apparence en forme de corde, étaient appelés funalia. Le nom italien de "torche" vient du fait d'être tordu. Les lampes et Lanternes étaient également largement utilisées, tant par les pauvres que par les riches. C ‘était des lampes à huile parfois d'olive, mais aussi d'huile de noix, de sésame, de ricin ou de poisson et probablement d'huiles minérales, déjà connues dans l'Antiquité, et de graisses animales, c'est-à-dire de suif. Dans la domus on n'utilisait que des huiles végétales qui dégageaient une bonne odeur, Les lampes étaient fabriquées dans différents matériaux, en pierre, en verre, en métal ou en terre cuite. Certaines ont été réalisés en métaux précieux, en argent et même en or. Les plus chères étaient utilisées dans la domus, en métaux précieux, bronze, marbre ou verre. Il y avait des lampes ouvertes et des lampes fermées. Les ouvertes étaient en forme de coupe avec un rebord haut pour empêcher le débordement de carburant. tandis que la mèche était insérée dans un bec ou un évidement dans le rebord. Les fermées les plus courantes avaient le bec comme seule ouverture, ou avaient un trou au centre avec ou sans couvercle. S'il y avait un couvercle, c'était généralement pour les lampes à huile en métal et il était attaché à la lampe avec une chaîne. Dans les maisons les plus somptueuses, les lampes à huile étaient de véritables lustres. Pour maintenir les lampes hautes, en plus d'être placées sur des chandeliers à tige avec plaque, elles étaient suspendues, avec des chaînes, à des candélabres à plusieurs branches. Les candélabres et lustres étaient donc les luminaires les plus appréciés de la domus. Les lampes à huile étaient accrochées à ces longs bougeoirs pour mieux éclairer l'environnement, en argent ou en bronze, il y avait alors un brasero au sol pour se réchauffer, généralement en bronze avec des décors de statuettes et de gravures, des instruments d'écriture et des objets en argent ostensiblement disposés sur la table complétaient le décor typique. DECORATIONS
Les Romains aimaient la couleur. Les murs extérieurs de la domus étaient colorés, tout comme les murs intérieurs, et partout il y avait des panneaux avec des personnages, souvent mythologiques, de petits paysages ou des décorations géométriques aux couleurs vives : bleu, rouge et jaune ocre. Le monde des Romains était visiblement coloré, bien plus que le nôtre aujourd'hui, des intérieurs des maisons aux monuments et aux vêtements des gens qui montraient un véritable triomphe des nuances lors d'occasions spéciales. Les statues étaient colorées et si souvent les colonnes étaient colorées, sans oublier les frontons des édifices. Non seulement les murs étaient décorés de fresques, mais les sols étaient également ornés de mosaïques, souvent en noir et blanc, mais aussi en pierres de couleur. Même les nymphées et les exèdres étaient décorés de mosaïques, et souvent de morceaux de pâte de verre dotés de mille nuances et de mille couleurs. Mais cela ne suffit pas, car même les plafonds étaient colorés. Les planchers en bois étaient recouverts d'un plafond à caissons, très souvent considéré comme une invention médiévale. Au lieu de cela, les Romains ont embelli leurs plafonds à caissons avec des sculptures en bois généralement florales, dans certains cas avec des têtes d'animaux ou d'autres frises, peintes de différentes couleurs et dans différentes nuances. Dans la domus romaine, bien que riche, il y avait très peu de mobilier, à commencer par de petites armoires encastrées (armarium) et des coffres servant à ranger les vêtements, le triclinium et les lits (cubicula), au contraire les décorations sur les murs abondaient. La splendeur de la maison dépendait en effet de la qualité et de la quantité des marbres, des statues et des fresques murales. Les Romains, cependant, ont largement utilisé les chaises, dont de nombreux types sont connus, comme la selle ou chaise sans dossier, la chaise avec dossier et accoudoirs (cathedra) et la chaise avec un siège long (longa). Particulièrement frappants sont certains grands fauteuils en osier à haut dossier qu'ils utilisent encore aujourd'hui et qui se déclarent de style provençal sans se douter de leur origine romaine. Les Romains utilisaient des tables à quatre pieds en marbre ou en bois sur lesquelles étaient exposés les objets les plus précieux pour être admirés (cartibula), ou des tables rondes en bois ou en bronze à trois ou quatre pieds mobiles. Les chaises dont les Romains n'éprouvaient pas le besoin étaient plus rares car elles utilisaient principalement les lits. Il y avait une chaise particulière, une sorte de chaise haute (thronus) mais elle était destinée aux Dieux. La chaise au dossier plus ou moins incliné (cathedra) était utilisée par les grandes dames romaines que Juvénal accuse d'être molles. Les restes de cette chaise particulière ont été retrouvés dans la salle de réception du palais d'Auguste et dans le cabinet de travail de Pline le Jeune où il recevait ses amis. Plus tard, il est devenu la chaire du professeur de la schola et même plus tard du prêtre chrétien. Les Romains s'asseyaient généralement sur des bancs (scramna) ou préféraient utiliser des tabourets sans dossier ni accoudoirs (subsellia) qu'ils emportaient avec eux. Puis il y avait des casiers où l'on rangeait les draps, ou l'argenterie, ou les rouleaux de parchemin ou autres. C'étaient des armoires aux portes en bois croisés ou en osier tressé, à travers lesquelles filtraient lumière et air, un peu à la manière de certaines armoires ethniques d'aujourd'hui . En effet, les Romains ne mettaient pas les vêtements dans les armoires mais dans les malles, propres et bien pliées, mais aussi bien repassées, car elles devaient être parfaites pour bien moduler les plis. Nous ne savons pas comment ils repassaient les vêtements, peut-être avec des fers chauds ou des pierres chaudes, car les Romains portaient aussi des vêtements en lin et le linge froissé aurait été horrible. Tapis, couvertures, couettes complétaient l'ameublement de la maison romaine allongée sur le lit ou sur les selles où brillaient les poteries d'argent des riches, souvent ornées d'or par les maîtres ciseleurs et serties de pierres précieuses. Tout autre que celui des pauvres en argile simple.
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