![]() |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Photoscopes
Type 89 I-Go Aberdeen Type 89 I-Go Japon À la demande de l’Etat Major pour un char moyen, l'arsenal de l'armée d'Osaka (Osaka Rikugun zoheisho) a acheté un char Britannique. Vickers Medium Mark C, , un char moyen britannique au stade de début de la conception.
Le même arsenal avait déjà produit, en 1925, un prototype de chars légers, qui a été rejeté par le Bureau de l'état-major, en raison de sa faible vitesse et de son faible blindage . En outre, son poids était déjà passé à près de 12 tonnes, trop pour un type de char leger La conception a été repensée en 1928, en utilisant le Vickers Moyen C comme base, L’etat Major me l'armée a demandé un poids nominal de 10 tonnes Le char moyen de type 87, 9,8 tonnes est né. Cependant, une fois testé, il a également été rejeté.
Le char de transition recevra trois types de tourelle
La tourelle de type 1 sont équipées de tourelleaux d'observation cylindriques verticales. La tourelle de type 3 ont reçu un nouveau tourelleau d'observation (en forme de champignon Alors que la tourelle de type 2 était équipées de tourelleaux d'observation des deux types. Le masque du canon a été changé. Les canons des mitrailleuses et la sortie du pot d'échappement sont protégés par des boîtiers blindés. Une version avec un type de suspension « tardif » et une coque de type transitionl a été produite, avec une tourelle de type 3 installée sur le char. Il y avait une autre version, où la coque de type précoce était installée sur un type de suspension « tardif », tout en conservant le Tourelle de type 2 avec une grande tourelle en forme de champignon et un nouveau masque de canon. L'année de production de cette version n'est pas précisée mais daterait de 1934 et d après On pense que les chars de type transitionne été les moins produits de toutes les variantes de chars de type 89A. Type 89A Type tardif (Type « Ko »)
La modernisation de 1934 fut la plus importante ; ces chars entrèrent en service en régiment en 1935. À partir de 1934, le char utilisa un nouveau type de suspension « tardive » pour améliorer la mobilité, même si elle avait peut-être été utilisée plus tôt. L'avant de la coque du char était réalisé sous la forme d'une partie inclinée, divisée au centre en deux parties : gauche et droite. Dans les excroissances des niches du garde-boue, il y a des meurtrières pour une arme pistolet. Ce modèle conservait le même moteur, mais disposait d'une nouvelle disposition de l'équipage : le siège du conducteur était déplacé vers la droite, et le mitrailleur était positionné à gauche. La trappe d'observation du conducteur et le support de mitrailleuse ont également été échangés. La porte d'embarquement/débarquement, qui at été déplacée vers le côté gauche, s'ouvre désormais vers la gauche. Au centre de la partie arrière du châssis on trouve , un compartiment supplémentaire afin de pouvoir loger une la batterie de 180 Ah En effet le le démarreur plus puissant et nécessitait désormais plus d'énergie. La sortie du silencieux a été changée et il est désormais cylindrique. À l'extrémité de chaque niche de garde-boue sur le côté gauche, il y avait 1 bouchon de remplissage pour l'alimentation en eau .La queue de franchissement est conservée. La différence entre les modèles de type « Ko » et de type « Otsu » réside dans le type de moteur. L'armée japonaise appelle le char I-Go à essence le Type 89A et le char I-Go à moteur diesel le Type 89B. Cependant, le type de moteur ne peut pas être déterminé de l'extérieur. Ils diffèrent par les caractéristiques indirectes suivantes :
Type 89B (Type « Otsu »)
Le Type 89B de 1932 était une amélioration majeure, dictée notamment par l'expérience de la guerre en Chine, et s'améliorait progressivement de 1935 à 1939. À ce moment-là, le poids total était passé à 14 tonnes.
Le dernier modèle du char I-Go a été nommé Type 89B (Otsu). La production de ce modèle débuta en 1934, mais il ne fut livré aux troupes qu'en 1935. Le Japon n’avait ni l’expérience ni l’équipement nécessaires pour produire des moteurs diesel lorsque le prototype a été introduit. Ce n'est qu'en 1934 que les premiers moteurs diesel furent produits, prêts à être utilisés dans un char. En apparence, le char est resté presque le même que le modèle Type 89A Late
Le moteur diesel étant refroidi par air, le radiateur, qui occupait le côté gauche du compartiment moteur, sera enlevé car inutile Ainsi, les réservoirs de carburant, qui étaient auparavant situés dans les niches des ailes de la coque, ont été déplacés vers l'espace du radiateur libéré, sur le côté gauche du compartiment moteur. Les bouchons de remplissage ont été retirés, mais le char conservera un bouchon de remplissage d'eau sur le côté gauche. Le réservoir d'huile a été déplacé vers l'arrière de la niche du garde-boue droit de la coque. La partie supérieure arrière du châssis a été modifiée et son apparence est devenue très différente de la modification du type 89A. La trappe blindée a été remplacée par une trappe rabattable qui s'ouvrait vers la gauche. Cela permettait d'accéder au ventilateur, qui aspirait l'air à travers un tuyau dans le moteur diesel lui-même. La trappe d’inspection permettant d'inspecter la batterie au centre de la partie arrière du châssis at été agrandie. Les bouchon du réservoir d'eau et d’huile pour le radiateur, qui étaient situés sur la surface supérieure de l'arrière du char ont disparus . La trappe de visite du carburateur et la trappe de visite du moteur ont été retirées. Dans les niches des ailes gauche et droite de la coque, où se trouvaient les réservoirs de carburant, deux batteries de stockage ont été installées 1 de 120 Ah dans la niche de gauche et une de 180 Ah dans la niche de droite. L'orifice d'échappement du silencieux a été modifié pour avoir une forme triangulaire plate et a été utilisé plus tard sur le char léger Type 95 et tous les chars moyens japonais à partir du Type 97. Le char Type 89B ne sera pas utilisé en Chine ou dans le Pacifique. Mais il restera en Mandchourie et au Japon . Le char Type 89 sera constamment amélioré, ce qui fait que deux chars du même modèle peuvent présenter de légères différences. Cela est dû au fait que plusieurs usines ont été impliquées dans la production d’I-Go. Et chacun avait sa propre apparence unique du char Type 89. De plus, des modifications ont été apportées au cours de de son emploi. La même chose se produira pendant la Seconde Guerre mondiale en URSS avec les chars T-34 et T-60, lorsque le char sera produit dans des usines différentes, et chacune y apportera sa touche personnelle . Modernisation
Au cours des opérations, les chars s ont été réparés et modernisés Il ya eu des cannibalisation Ainsi des chars de la derniers versions s Type 89A ont peu recevoir des tourelles de type ancien, ou vice versa. De plus, en 1942, le char fut utilisé pour tester un canon expérimental de type 37 de 37 mm à canon long ; peut-être que certains chars en furent rééquipés. Il existe des photographies des chars Type 89A et Type 89B. Camouflage et emblèmes
Versions basées sur le char Type 89
Plusieurs projets de canons automoteurs ont été développés sur la base du Type 89, mais ils n'étaient pas aptes au combat car pas construits en métal En particulier, au milieu des années 1930. un projet de véhicule automoteur était en cours de développement avec un canon de 75 mm. Le canon avec son bouclier était monté à l avant du châssis Par contre il ne possédait pas mitrailleuse de caisse trouvait sur aussi un viseur périscopique et un tourelleau de commandant. Mais il est resté à l’étape de char en bois Le Jiro-Sya a également été développé - un canon automoteur antichar avec moteur à l’avant et système d arme à l'arrière, dans une cabine à toit ouvert. On trouvera aussi la version véhicule blindé du génie, t connu sous le nom de Sokō Sagyō-Ki (SS-Ki). Le véhicule était une variante du char Type 89 détourellé Ainsi le volume utile du châssis est important Son train de roulement est aussi , réduit à huit roues. Le véhicule était équipé d'une mitrailleuse Type 1. De 1931 à 1943 5 versions de véhicules du génie ont été construits et ont été utilisés jusqu'à la toute fin de la guerre. Ces engins avaient neuf fonctions : Destruction de casemates à l'aide d'explosifs, Excavateur pour creuser des tranchées, 2 Déminage via un soc pliant Équipement pour détruire les barbelés, Utilisation de produits chimiques, Véhicule est équipé de 6 ou 3 lance-flammes, ARV avec une grue pour soulever et réparer le matériel, Char fumigènes Char travelure Son Utilisation au Combat En Chine En 1931, lorsque les premiers Type 89 ont été introduits, l'IAJ utilisait toujours un mélange de modèles importés, de plus en plus obsolète. Les I-Gos étaient plus grands et mieux armés que n'importe quel autre char( En Chine, ils ont combattu contre les chars légers et les chars, faiblement armés et protégés, et peu d'armes antichars. En 1933, la première force blindée indépendante,sera composée de trois régiments avec deux compagnies, avec dix Type 89 chacune, Cela a permis de détacher ces machines de la marine à l'armée opérant en Chine. L'année suivante, trois autres régiments sont formés. Ils se sont bien entraînés jusqu'en 1937 en tant que chars de soutien d'infanterie, assez grands pour transporter des pelotons d'infanterie. Cependant, le climat continental chinois s'est avéré trop dur pour le moteur à essence initial Mitsubishi, et sa vitesse» n'était pas toujours adaptée au type d'opérations requis. En 1935, le manque de blindage commença devenir flagrant car less Chinois nationalistes introduisirent de nouveaux fusils antichar occidentaux, et d'autres préoccupations concernant le moteur ont conduit à l'évolution vers le Type 89B. En 1939, la majeure partie du type 89 était stationnée en Chine. Ils étaient en grande partie obsoles, comme le montreraient les événements suivants. Dès le début de sa production, il a été immédiatement envoyé en Chine avec les chars légers Renault NC. Lors de l'incident de Mandchourie en 1932, il participe aux premiers combats car les troubles anti-japonais dégénèrent en une confrontation militaire à grande échelle à Shanghai, L’état-major y envoya la 2e compagnie de chars indépendante - cinq chars japonais de type 89 et 10 chars français modernisés, le Renault Type B. , les « I-Go » se comportaient bien mieux que les chars français modernisés. Après l'incident de Shanghai, l'I-Go a été constamment utilisé au combat en Chine continentale. Ainsi, en février-mars 1933, 11 chars Type 89 faisant partie de la 1ère compagnie de chars indépendante, ainsi que deux véhicules blindés Type 92 (char léger), participèrent à l'opération Jehol. Où en trois jours la compagnie a parcouru 320 km en combats sans subir aucune perte. Il y eut une trêve jusqu'en 1937, date à laquelle la guerre larvée se transforme en conflit important . Au cours de cette guerre, les chars Type 89 furent utilisés en permanence dans toute la Chine, aux côtés d'autres chars En 1939 lors de la bataille de Khalkin Go pour les Soviétiques alors qu’(au Japon ces actions militaires sont appelées la bataille de Nomon-Han, le char Type 89B a été utilisé, Ils étaient en service au sein du 3e régiment de chars, et le char Type 89A était en service au sein du 4e régiment de chars. Selon des sources japonaises, au cours de la bataille, ils ont perdu 28 chars Type 89B, dont 7 ont été irrémédiablement endommagés, tandis que 21 chars ont pu été reparés car ils ne sont pas enflammés. Par la suite durant t la Seconde Guerre mondiale, les chars Type 89 ont combattu en Chine, en Birmanie et aux Philippines. Concernant leur participation aux opérations militaires en Mandchourie en août 1945 cela reste marginal car aucunes sources japonaises en parlent La dernière fois que les chars Type 89 ont été utilisés au combat pendant la Seconde Guerre mondiale, c'était lors de la défense de l'île de Luzon aux Philippines en avril 1945 mais le nombre exact de chars I-Go utilisés là-bas est inconnu. Après la Seconde Guerre mondiale, ce type de char fut utilisé par l'armée française L'empire colonial français possédaitr deux perles précieuses, l'une l'Afrique du Nord française. L'autre 'était l'Indochine française. Fruit d'un long processus d'expansion coloniale, initié sous le IIe Empire, qui s'est emparé de la Cochinchine et du Cambodge en 1862-1863, la colonie française d'Extrême-Orient s'est achevée avec la reprise par la France de territoires auparavant rattachés au royaume de Rattanakosin en 1907. Cette lointaine colonie comprenait les territoires actuels du Vietnam, du Laos et du Cambodge. Elle devint soudainement très vulnérable lorsque la France fut battue par l'Allemagne en 1940. L'Indochine française était nominalement fidèle au gouvernement légal de la France, le régime de Vichy. Cependant, en pratique, la distance l a séparant de la métropole avec des milliers de kilomètres d'océan où patrouillaient des navires britanniques, américains et japonais laissait la colonie pratiquement livrée à elle-même. Cela conduisit les puissances d'Asie de l'Est à reprendre l'initiative face aux colonisateurs français. Tout d'abord, le Royaume de Thaïlande, soutenu par le Japon, attaqua pendant la guerre franco-thaïlandaise d'octobre 1940 à janvier 1941, ce qui conduisit à une situation militaire indécise, mais permit à la Thaïlande de reprendre certains territoires contestés. Le coup décisif porté à l'intégrité de l'Indochine et au contrôle français fut cependant porté par le Japon, qui entra pour la première fois en Indochine en septembre 1940. Le Japon rongea ensuite progressivement l'intégrité et l'indépendance des autorités coloniales françaises, jusqu'à ce que tous les administrateurs et soldats français soient détenus, dans des conditions similaires à celles des autres prisonniers de guerre, en mars 1945. La capitulation du Japon laissa un important vide r dans ce qui était autrefois l'Indochine, que le mouvement indépendantiste local – le Viêt-minh – exploita pour tenter de s'emparer du pouvoir lors de ce qui fut appelé la « Révolution d'août ». Cependant, à partir de fin août 1945, les troupes françaises commencèrent à revenir en Indochine, le gouvernement français étant déterminé à préserver intact son joyau colonial oriental . Au début, une paix fragile régnait entre les Français et le Viêt-minh, avec seulement quelques escarmouches occasionnelles, les deux camps cherchant un compromis. Parallèlement, un conflit semblait inéducable , et les forces françaises en Indochine s'y préparaient. Bien que les forces françaises soient revenues avec des blindés, principalement des M5A1, des M8 Greyhound et Scott, ainsi que des automitrailleuses Coventry et Humber, nombre d'entre eux étaient épuisés par la guerre et leur expédition en Indochine prit du temps. Par conséquent, tout blindage supplémentaire disponible localement était le bienvenu.
Au Cambodge, plusieurs véhicules blindés japonais ont été découverts, probablement dans la capitale, Phnom Penh. Onze chars ont été retrouvés au total, dont au moins quatre Ha-Go Type 95 et un I-Go Type 89. Plusieurs chenillettes Renault UE ont également été retrouvées ; il pourrait s'agir de véhicules transformés en véhicules blindés légers de combat par l'installation d'une petite casemate armée de mitrailleuses en 1940. La formation du Commando Blindé du Cambodge Tous ces véhicules blindés récupérés au Cambodge serviront à créer une unité ad hoc, le Commando Blindé du Cambodge. Il s'agit d'une petite unité de trois pelotons, chacun composé de trois chars et de deux Renault UE, formée à Phnom Penh, la capitale cambodgienne, le 16 septembre 1945. La vie de l'unité semble avoir été plutôt calme, puisque la majeure partie de l'année 1946 s'est déroulée sans conflit ouvert, voire sans incident. En août 1946, l'unité fut transférée de Phnom Penh à Siem Reap, une autre ville du nord-ouest, afin de renforcer la garnison locale formée par le 1er Bataillon de Parachutistes SAS français. En septembre 1946, le Commando Blindé du Cambodge fut réorganisé pour former le 8e escadron du 5e Régiment de Cuirassiers. Les chars japonais furent apparemment utilisés par le régiment pendant une très courte période, puis furent rapidement remplacés par les véhicules standard du 5e Cuirassiers à cette époque : les automitrailleuses britanniques Coventry et Humber. C'était avant l'escalade des hostilités en Indochine, à partir de l'incident de Haïphong en novembre 1946. Il semble donc que les chars japonais réutilisés par les Français n'aient jamais été employés au combat, ou alors seulement pour des missions de protection très légères. On sait très peu de choses sur le Commando Blindé du Cambodge, sur la manière dont il utilisait et entretenait ses véhicules japonais. Les photographies des flottes de véhicules japonais de l'unité permettent de tirer les plus grandes conclusions.La particularité la plus notable se trouve sur les Ha-Gos : les Français ont renforcé le blindage des véhicules qu'ils utilisaient. Cela a été réalisé par l'ajout de plaques de blindage boulonnées à l'avant de la caisse et sur les flancs de la tourelle. Leur épaisseur est inconnue, mais elle est nettement visible, notamment sur la caisse. Ces plaques comprenaient une découpe pour la mitrailleuse centrale. Concernant la tourelle, les plaques supplémentaires ne couvraient pas la totalité des flancs, mais plutôt les trois quarts supérieurs de ses flancs. C'est également sur ces plaques latérales supplémentaires que les noms donnés aux véhicules par les troupes du Commando Blindé du Cambodge étaient inscrits. Trois noms de véhicules sont actuellement connus : « Joffre », « Lyautey » et « Dupleix ». Lyautey et Dupleix étaient tous deux des figures de proue de la colonisation française (Lyautey au Maroc au début des années 1900 et Dupleix en Inde au XVIIIe siècle), tandis que Joffre était un célèbre maréchal de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Quant aux Type 89, on en connaît un qui fut baptisé « Bugeaud », du nom d'une figure de la colonisation française de l'Algérie.
Utilisation dans le Paacifique Le 17 août 1945, la République d’Indonésie est proclamée. Ce qui fut suivi par une guerre d'indépendance jusqu'en 1949. Les armées indonésiennes et néerlandaises (KNIL) ont également utilisé ici des chars japonais de type 89A. Conclusion
Un char apparu à la fin des années 20 et entré en service au début des années 30, et devenu immédiatement obsolète. En effet Il a été concu pour une type de guerre qui est forclos Au cours de cette période, les exigences relatives aux chars ont changé ; désormais, des véhicules rapides et mobiles sont nécessaires. Les chars se préparaient à combattre les chars.et ce char n « tait pas fait pour cela Car il avait une faible vitesse, un blindage faible et un canon qui n'est pas capable de combattre les chars. Mais, malgré tous ses défauts, en tant que premier char de production japonais, ce char léger devenu par la suite char moyen, a été une étape importante dans le développement de la construction de chars japonais. Du milieu à la fin des années 1930, le char Type 89 resta le pilier des forces blindées japonaises. Il s'agit du char japonais ayant servi le plus longtemps, de 1931 jusqu'à la fin des années 1940. Chars suvivants Un type 89 a été capturé et exposé au US Army Ordnance Museum à Aberdeen. Deux autres se trouvent au Japon, l'un au camp du GSDF de Tsuchiura près d'Ibaraki, et l'autre exposé au Sinbudai Old Weapon Museum (Camp Asaka). |
|
Droit d’auteur La plupart des photographies publiées sur ce site sont la propriété exclusive de © Claude Balmefrezol Elles peuvent être reproduites pour une utilisation personnelle, mais l’autorisation préalable de leur auteur est nécessaire pour être exploitées dans un autre cadre (site web publications etc) Les sources des autres documents et illustrations sont mentionnées quand elles sont connues. Si une de ces pièces est protégée et que sa présence dans ces pages pose problème, elle sera retirée sur simple demande. Principaux Collaborateurs:
Nb
de visiteurs:7836642 Nb
de visiteurs aujourd'hui:1309 Nb
de connectés:29 |