Secteur Fortifié de Thionville (SFT )
Le Secteur Fortifié de Thionville ( SFT) fait partie de la ligne dite Maginot qui fut ainsi appelé en hommage à André Maginot Ministre de la Guerre (et ancien combattant ) entre le 3/11/1929 et le 17/02/1930
Le Vote de la loi permettant le financement des régions fortifiées eut lieu en décembre 1929 Pour l’Armée française la désignation officielle est la « fortification permanente » ou les « régions fortifiées ». Le terme de « ligne Maginot » provient de la presse, où il commence à être employé à partir de 1935, repris par le ministre de la Guerre Jean Fabry en août 1935 lors de l'inauguration du monument Maginot près de Verdun. La ligne Maginot se présente donc après de nombreuses études s’échelonnant sur presque 10 ans comme un dispositif complexe s'échelonnant en profondeur sur différents niveaux depuis la frontière. Dans l’absolu car la ligne n'a pas été conçue de manière homogène, et sa réalisation n'a en général pas été conforme aux projets d'origine pour des raisons essentiellement budgétaires on distingue quatre parties distinctes. 1 la ligne des avant-postes, destinée avant tout à détecter une attaque brusquée et à la retarder un temps grâce à des dispositifs prévus (routes minées, barrières, etc.) pour laisser le temps à la « ligne principale de résistance » de se mettre en état d'alerte On trouve des Petites casemates et des Maisons Fortes
2 la « ligne principale de résistance » est à environ deux kilomètres derrière les avant-postes. Elle était matérialisée par un double réseau de rails antichars et barbelés
le réseau de Barbelés est large de 12,5 mètres, soit six rangs de piquets en forme de queues de cochon d'un mètre de haut qui soutiennent les fils en formant des vagues, avec des ardillons plantés dans le sol et dépassant de 20 cm. Son rôle : freiner l'infanterie assaillante pour que les mitrailleuses puissent la faucher.
Le réseau de rail est composé de sections de rails de trois mètres enterrées à la verticale sur six rangs de profondeur, dépassant de 60 cm à 1,3 m au-dessus du sol. Son rôle :'arrêter les véhicules assaillants afin qu’il soient détruits ensuite par les canons anti char
elle est couverte par les tirs d'artillerie des Gros Ouvrage. . 3 Les abris d'intervalles destinés à assurer la protection d'une partie des troupes combattantes à l'air libre. les casemates d'intervalle avaient pour but d'assurer la continuité de feux de la Ligne Principale de Résistance entre deux ouvrages. Il existe deux types de casemates, les casemates dites en couple (chaque casemate flanque son propre côté) et les casemates double (elles sont munies de deux chambres de tir pour flanquer des deux côtés à la fois). Contrairement aux ouvrages, les casemates ne sont pas reliées entre elles par galerie, et ne sont armées d'aucune tourelle. Leur équipement, bien que restreint, est à peu près le même que les ouvrages (petite usine, petite salle des filtres, etc.).Il s'agit en fait de casernes souterraines équipées uniquement pour le combat rapproché.
4 L'arrière du front comporte tous les équipements de soutien logistique : réseau de téléphone et d’électricité, routes et voies ferrées militaires de 0,60 m dérivées du système Pechot, dépôts de munitions, casernes de temps de paix, postes de commandement, etc. Au total, la ligne Maginot a coûté plus de cinq milliards de francs de 1930 à 1936 soit 1.6 % du Budget de l’Etat
Le secteur Fortifié de Thionville ( Tiré de ce site)
Cette zone n a pas d'insigne d'unité connue aussi j ai mis en avant les Armes de la ville de Thionville
Le secteur fortifié de Thionville est une partie de la ligne Maginot, situé entre le secteur défensif des Ardennes à l'ouest et le secteur fortifié de la Crusnes à l'est
Dépendant de la Région fortifiée de Metz, le Secteur fortifié de Thionville est le plus puissant de la frontière du Nord-Est : il constitue l’ossature du barrage de la vallée de la Moselle.
Le tracé général de la Ligne Maginot soulève de vives controverses : le Général Debeney et le Maréchal Pétain en sont les deux figures de proue. Le premier estime que la fortification doit se trouver assez près de la frontière pour protégér le territoire national et particulièrement les régions industrielles tandis que le second, Inspecteur de l’Armée, ne veut pas que la Ligne soit entamée par l’ennemi et souhaite pour cela qu’elle soit placée à environ 25 kilomètres en arrière. La RF de Metz couvre des objectifs essentiels : voies ferrées qui aboutissent en Lorraine (concentration des troupes), dépôts de toutes natures de la place de Metz, bassin sidérurgique de Thionville-Briey - le bassin houiller de Forbach et les installations de Longwy trop près de la frontière sont laissés avant la fortification. Partant de Faulquement, le tracé de la Région Fortifiée borde la côte qui domine Saint-Avold, suit les hauteurs de la Nied, passe au point culminant du Hackenberg (ouvrage puissant), traverse la Moselle (dangereuse voie d’invasion) au nord de Thionville, englobe la forêt de Cattenom (malgré l’avis défavorable du Maréchal Pétain), prend pied sur le plateau de Rochonvillers et d’Aumetz pour se terminer à Longuyon (ouvrage de Fermont) par un flanc Ouest protégeant Briey.
Le volume des constructions réalisées est très important. Les sites s’étendent sur un front d’une quinzaine de kilomètres, de Rochonvillers à Billig. Ce front associe des ouvrages d’artillerie (Molvange, Soetrich), des petits ouvrages (P.O. de l’Immerhof), des abris d’intervalle (Zeiterholz à Entrange), des casernements militaires, des observatoires et des blockhaus (Sentzich). En tout, 41 éléments ou unités.
Les Gros Ouvrages (G.O.). Nous comptons sept gros ouvrages pour Thionville, soit la moitié de la Région Fortifiée de Metz. Nous trouvons : Rochonvillers, Molvange, Soetrich, Kokenbusch, Galgenberg, Metrich et Billig.
Les Petits Ouvrages (P.O.) comportent un nombre variable de blocs de combat reliés par une galerie de desserte. Le secteur en dénombre quatre : Immerhof, Bois Karre, Oberheid et Sentzich. Dix-sept casemates : Grand Lot, Escherange Ouest et Est, Petersberg Ouest et Est, Entrange, Bois de Kanfen Ouest et Est, Boust, Basse Parthe Ouest et Est, Sonnenberg, Koenigsmacker Ouest et Est, Metrich Ouest et Est, Bois de Koenigsmacker. Dix-huit abris : Grand Lot, Bois d’Escherange, Petersberg, Bois de Kanfen, Zeiterholz, Hettange-Grande, Stressling, Route de Luxembourg, Helmereich, Barrungshof, Bois Karre, Rippert, Cattenom, Krekelbusch, Metrich, Nonnenberg, Bichel Nord et Sud. Quatre observatoires : Hettange-Grande, Route de Luxembourg, Boust, Cattenom. Le secteur fortifié de Thionville regroupe sous un même commandement les différents éléments, servis en temps de paix par l’effectif d’un Régiment d’Infanterie de Forteresse (R.I.F.), effectif qui se trouve réparti en temps de guerre en trois régiments affectés chacun à un sous-secteur. Dans le cas de Thionville, les sous-secteurs d’Angevillers - 169e RIF -, d’Hettange-Grande - 168e RIF - et d’Elzange - 167e RIF. Les sous-secteurs correspondant aux casernements créés pour l’occasion.
Des trois ouvrages ex-allemands, deux sont employés pour la Ligne Maginot : Illange et Koenigsmacker.
La feste d’Illange constitue tout d’abord le PC du commandant du secteur fortifié et de son chef d’état-major qui sont, au 2 septembre 1939, le Général Cousse et le Chef de Bataillon Vuillaume. L’Artillerie et le Génie installent également leur commandement dans la feste : Colonel du Bois de Maquillé pour l’Artillerie et Chef de Bataillon Genet pour les sapeurs. La feste de Koenigsmacker sert quant à elle de PC au 167e RIF tandis que le 168e l’installe aux abris de Sainte Marie et le 169e au Bois de la Côte. Les camps avancés du secteur fortifié Au début, les troupes de forteresse et d’intervalles tiennent garnison à Thionville même, située à une heure et même deux heures de marche à pied des lieux de combat : ces unités ne possèdent pas de transports automobiles. Afin d’avancer les premiers échelons de combat le plus près possible des ouvrages, trois camps sont construits à partir de 1930 : Elzange pour le premier bataillon du 168e RIF, Cattenom pour le deuxième bataillon et Angevillers pour le troisième bataillon. Ces camps avancés sont occupés en 1932 mais ne donnent pas entière satisfaction. La décision est pris e après l’alerte de 1936 de construire le camp avancé de Hettange-Grande pour épauler celui de Cattenom.
Les Gros Ouvrages du Secteur Fortifié
La terminologie officielle classe les ouvrages de la Ligne Maginot en cinq catégories, principalement les Petits Ouvrages concernant plus particulièrement les ouvrages d’infanterie tandis que les Gros Ouvrages relèvent de l’artillerie. Ces derniers sont placés de telle façon que leurs tirs respectifs puissent se couvrir mutuellement : aucun terrain n’est laissé hors de portée de tir.
Rochonvillers
Nous retrouvons l’organisation décrite quelques pages précédemment, à savoir : à l’arrière les entrées au nombre de deux, l’entrée Hommes et l’entrée Munitions, à l’avant nous relevons les blocs de combat, au nombre de 9.
L’ouvrage de Rochonvillers a été mis en chantier parmi les premiers : sa mise en oeuvre date de 1925. Il possède toute la profusion en pièces d’artillerie caractéristique des premières années de la CORF : l’armement est distribué entre quatorze cloches et sept tourelles, dont deux de 75 mm et deux de 135, une casemate de quatre créneaux et un ensemble mixte. Le bloc 5 possède un armement qui le classe comme le plus gros bloc d’artillerie du Nord-Est : 3 tubes de 75 et un tube de 135.
L’effectif théorique attribué est de 800 personnes environ : 26 officiers et 756 hommes.
Molvange
Nous relevons 10 blocs de combat : six tourelles (trois de 75, une de 135, une de 81 - obus - et une mitrailleuse). Son armement est entièrement sous cloches ou sous tourelles : aucun créneau contrairement à Rochonvillers. Son effectif théorique s’approche des 750 personnes : 24 officiers et 711 hommes.
Durant l’Occupation, il fit l’objet de transformations : les garages A et B, l’atelier des locotracteurs, le M1, le M2 des blocs 8 et 10 furent transformés en petites chambres et en bureaux.
Soetrich L’ouvrage de Soetrich se compose de 6 blocs de combat où se répartissent 10 cloches et 5 tourelles, le bloc 3 regroupe des créneaux (2 de 81 et 2 de mitrailleuses jumelées). Les entrées se font toutes par un puits alors qu’à Rochonvillers ou à Molvange, l’entrée des Munitions suit un plan incliné. Cependant comme à Molvange, il subit des transformations durant l’Occupation : au début de 1944 fut entrepris la transformation du casernement en locaux d’Etat-Major. La Libération intervint après les démolitions mais avant les aménagements.
Kokenbusch
L’ouvrage construit en pleine forêt possède 7 blocs de combat constitués avant tout de tourelles (le bloc 2 se compose de créneaux). A nouveau, l’armement ne comprend au niveau des canons que du 75, sinon nous y relevons un obusier de 81 et des mitrailleuses jumelées. Particularités : son entrée Munitions diffère de celles habituelles et il ne dispose pas de magasin M1.
L’effectif théorique approche les 550 personnes : 14 officiers et 513 hommes. La mise en service de la centrale nucléaire de Cattenom a entraîné sa submersion. Galgenberg
Cet ouvrage se compose de 6 blocs de combat. Cependant, un seul, le bloc 6, possède une tourelle de 135; nous relevons bien deux autres tourelles mais elles contiennent, soit une mitrailleuse (bloc 3), soit un obusier de 81 (bloc 4) : les deux premiers blocs contiennent des créneaux pour des mitrailleuses jumelées ou pour des tubes anti-chars. Situé au plus près de la Moselle (dernier ouvrage de la rive gauche avant le franchissement), il a son pendant sur la rive droite avec Metrich.
Son effectif théorique n’atteint pas 500 personnes : 15 officiers, 430 hommes.
Metrich
L’ouvrage se compose de 15 blocs de combat où se répartissent entre des créneaux (au nombre de neuf), des tourelles (six) et des cloches (seize). Les entrées Munitions et Hommes se font de plain-pied.
L’effectif théorique approche les 800 personnes : 26 officiers et 769 hommes. Billig
Sept blocs de combat, là aussi composés de tourelles, de créneaux et de cloches : aucun canon de 135. L’effectif théorique tourne autour de 550 personnes : 16 officiers, 531 hommes.
SF Thionville SS Hettange Grande X 14 Abri Bois Cattenom 57570
Cet ouvrage se situe sur la route militaire venant de Boust et allant à reserve d'eau de Cattenom Les hommes font partie du 168 e Régiment d'Infanterie de Forteresse sous les ordres du Lt. Colonel Ferroni,dont le PC est à Sainte-Marie Le régiment a en charge 09 SF Thionville SS Hettange Grande A 10 Ferme Immerhof Hettange Grande Moselle 57 Ouvrage Soetrich, gros ouvrage A11 09 SF Thionville SS Hettange Grande Bois Karre A12 Boust Moselle 09 SF Thionville SS Hettange Grande A13 Kobenbuschk Cattentom 57 Ouvrage Oberheid, petit ouvrage A14, Abri de Stressling, X7 Abri d'Hettange, X8 Observatoire d'Hettange, O9 Abri du Route-du-Luxembourg, X9 Observatoire du Route-du-Luxembourg, O10 Abri de Helmreich, X10 Observatoire de Boust, O13 Casemate de Boust, C44 Abri de Barrungshof, X11 Abri du Bois-Karre, X12 Casemate de Bass-Parthe Ouest, C45 Casemate de Bass-Parthe Est, C46 Abri de Rippert, X13 Abri du Bois-de-Cattenom, X14 C 'est un abri de surface CORF, pour 1 section ou bri abri bétonné à deux entrées, construit uniquement sur les anciens fronts. La défense est passive et se compose ainsi de quelques FM et deux cloches GFM. type A Si on connait la ligne Maginot et ses gros ouvrages puissament armés il faut savoir qu'il existe une multitude de petits ouvrage concus pour les truupes d intervalle . On les retrouvent habituellement en retrait de la ligne principale. afin de protéger ces hommes des bombardements,
Ces abris existent en deux versions les abris-cavernes, profondément enterrés, es abris de surface comme celui-ci. Conçu pour abriter 52 hommes, découvrez cet abri équipé d’une centrale électrique assurant la lumière et la ventilation, d’une cuisinière au charbon, d’une infirmerie, d’un central téléphonique et d’une salle des filtres. La plupart de ces équipements sont encore en état de marche.
Abri de surface CORF pour réserve locale
Généralités
Alternative imaginée par la CORF aux abris caverne pour réserves locales, les abris de surface sont des monolithes de béton destinés à abriter jusqu'à l'équivalent d'une compagnie. Ils font l'objet d'un chapitre spécifique dans la Notice du 27 Décembre 1929 relative à l’organisation d'abris pour les réserves locales (DM 2817 2/4-S). Ils sont destinés aux secteurs des régions fortifiées du Nord-Est - hors Rhin - où le terrain ne permet pas une construction souterraine telle que décrite dans le chapitre sur les abris caverne, soit que ce terrain est plat et de faible consistance, soit que son sous-sol est instable ou que la nappe phréatique est trop proche de la surface.
Effectif
L’effectif pouvant être abrité est variable, selon la configuration, de 50 à plus de 210 hommes.
Construction et déploiement
Ces abris de surface CORF sont bâtis sur deux étages sauf exception et sont usuellement composés de plusieurs chambres pour 16 hommes (6 dans le cas typique d'un abri pour deux sections), d'une ou plusieurs chambres d'officiers et de locaux communs et techniques permettant leur habitabilité. Ils disposent de deux entrées, dont une - celle située la plus proche de l'infirmerie - est légèrement inclinée (au moins 5°) et chanfreinée à 45° au niveau de ses angles de chicane de manière à faciliter le passage de brancards.
Protection: ils sont construit en protection 3, mais parfois la protection est limitée au niveau 2 pour raison d'économie quand l'abri est en secteur moins vulnérable. C'est par exemple le cas des abris du BOIS de CATTENOM ou des BICHEL, GOMELANGE , COLMING ou encore HEIDENBUCKEL . Les voutes surbaissées des locaux de l'étage supérieur sont couvertes d'un revêtement métallique pour éviter les effets de ménisque en cas de bombardement. Le camouflage est assuré par une couche végétalisée couvrant la toiture. Les abris étant moins critiques que les installations actives pour la continuité de la ligne de résistance, ils feront invariablement les frais des économies à réaliser lors de la phase de construction de la ligne Maginot entre 1929 et 1935. Ensuite, le basculement vers une fortification continue mais de campagne, entrainera l'arrêt pur et simple de ce type de construction dans le Nord-Est. Equipement
La façade et les abords de l'abri sont protégés par des créneaux FM de caponnière ou de façade en nombre variable.
La défense périphérique est complétée par la présence de deux cloches GFM aux angles avant de l'abri. La façade est précédée par un fossé diamant, qui est lui-même protégé par deux créneaux pour FM au sous-sol de l'abri.
L'intérieur de l'abri s'organise autour de deux couloirs parallèles à chaque étage, l'un près de la façade, et l'autre contre le mur de tête. Dans les locaux, outre les chambres déjà évoquées organisées entre les deux couloirs parallèles, on trouve un local téléphonique (habituellement contre la chambre pour officiers), une usine électrique avec deux groupes, une ventilation et un chauffage au charbon permettant de lutter contre l'humidité, un puits et des réserves d'eau journalière et de secours, une cuisine avec réserves de charbon et de vivres pour quatre jours, un bloc latrines et des lavabos - 8 robinets par section - à chaque étage, et enfin une salle de pansements/infirmerie.
Evolutions et variantes possibles
Par rapport à la notice de 1929, forcément imprécise et incomplète compte tenu de son caractère précoce, la typologie des abris de surface CORF a connu des évolutions. Absent dans la version initiale de la notice en attente de notices spécifiques, le traitement des gaz de combat au moyen de filtres standards sera inclus dans les réalisations effectives, entrainant un local pour filtration/ventilation plus vaste que planifié initialement. Dans une phase de construction plus tardive, les créneaux FM de sous-sol seront remplacés par des goulottes à grenades.
Comme pour l'ensemble des plan-types, les abris de surface CORF ont connu de nombreuses variantes, la plus classique étant liée au nombre de chambres, donc à la capacité d'accueil. Cette capacité va classiquement d'une simple section à une compagnie. Autres variantes possibles :
A noter quelques cas uniques :
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