Le détecteur de mines SCR-625
English Translation
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Le Portable SCR-625 Mine Detector a été à l'origine un détecteur de mines portable, mis au point dans le cadre d'un National Defense Research Council (le National Defense Research Committee, fut mis en place en juin 1940 par une decision du Council of National Defense (NDRC ) (NDRC) avec HAZELTINE Co. de New York dans les premiers jours de la Seconde Guerre mondiale. Il a été mis au point en 1942 et utilisé pour la première fois en Afrique du Nord.
Ce fut le premier modèle de détecteur de mines utilisé par l'US Army. Il se composait d'un long tube muni d'un disque à une extrémité, tandis que les batteries et l'électronique sont transportées dans un sac avec sangles et harnais. Si le matériel détecte un objet métallique sous la surface l'opérateur entend un signal sonore. Le RCS-625-H est le modèle de la fin de la guerre. Beaucoup de ces engins ont été utilisés après guerre par les armées européennes
Le SRC-625 est dans son étui de transport. Le tube peut être plié en 3 ou 4 sections, Le disque avec le sac et les sangles le manuel et quelques petites pièces de rechange sont stockés dans le couvercle de la malle .
Le détecteur de mines portable RCS-625
En Février 1942, trois mois après que les États-Unis soient entrés en guerre l'armée américaine clos le long processus d'élaboration du future RCS-625 . L'armée américaine avait reconnu ses besoins d'un détecteur de mines avant les États-Unis entrent en guerre. L'intérêt date du début 1937 et 1938. Au cours de ces années, le service du Génie fait des essais comparatifs sur les mines terrestres, les fossés antichar, les barricades en bois les réseaux de barbelés et l’interdiction‘ des axes routiers au moyen de cratère.
Ces évaluations ont été effectuées par l'Engineers Board, une petite unité logée dans une caserne datant de la Première Guerre mondiale, à Fort Belvoir en Virginia sous la direction du capitaine James M. Young, le tout avec un faible budget
En 1939, il avait seulement 40 employés civils, une poignée d'officiers et d'un budget de 100.000 dollars . Le conseil est un organisme du Office of the Chief of Engineers Board qui sur les bases d'avant-guerre tirent les conclusions sur l'utilité de mines. A savoir que seules les mines antichar pourraient être efficaces avec d'autres types d'obstacles si besoin. Avec ou sans l’appui d’autres systèmes, les mines ont été dévastatrices peuvent être facilement transportées, mise en place, et cachées.
Aussi, en avril 1940, le Office of the Chief of Engineers demande au Engineer Board de commencer des études sur la détection et la neutralisation des mines. Le projet a démarré pour de bon à l'automne de 1940. Toutes les mines qui existent en 1940, sont en métal. Cette caractéristique simplifie la mise au point du système de détection.
Le 3 Septembre 1940, les ingénieurs demandent une aide pour le développement d'un détecteur de mines au National Defense Research Committee récemment créé.
Le cahier des charges exige que l'appareil puisse détecter une plaque d'acier épaisse de 3 millimètres de 64cm2 est enterrée à une profondeur de 45 cm De plus le détecteur doit être capable de faire la distinction entre les mines et les petits fragments de métal, tels que les clous des chaussures.
Le RCS-625 a été mis au point par le Dr Vannevar Bush.qui a coordonné et soutenu de la recherche scientifique applique à des équipements militaires. Le comité a complété les efforts de recherche et d'expérimentation de War and Navy Departments, y compris du Corps of Engineers, et a également entrepris ses propres projets. Le National Defense Research Committee's qui a succédé à l’Office of Scientific Research and Development créé par un décret en Juin 1941, servi de pole de recherche pour les personnels scientifiques travaillant pour la défense
En 1941,l' Engineers Board et le National Defense Research Committee soutiennent des études parallèles et le capitaine George A. Rote du Corps of Engineers supervise l'ensemble du programme ayant le numéro SF 316 qui se résume à mettre au point un dispositif similaire à celui civil de la chasse aux trésors avec la possibilité de monter des détecteurs à l'avant des véhicules blindés afin de les avertir avant d’entrer dans la zone minée
Tous travaillent sur la base de fréquences radio. Deux transmetteurs émettent des ondes radio qui changent en présence d’un objet métallique. Un récepteur détecte le changement de son. Une fréquence radio en particulier intéresse Rote. Il travaillé avec un modèle civil qui possède une fréquence audio, qui augmente de 1.000-cycle dans le résonateur, mettant en relief la présence de métal
Ce modèle fabriqué par Hedden Metal Locators, Inc, de Miami, en Floride, est particulièrement intéressant, car il était léger et a le degré de sensibilité parfait pour la détection. À l'été 1941, Rote Hedden a choisi ce modèle comme base pour la poursuite du développement.
Pendant ce temps, le National Defense Research Committee passe avec Hazeltine Service Corporation of New York un contrat l’achat de son détecteur.
Le modèle HAZELTINE est livré à Fort Belvoir, le 1er août, Il est plus lourd et volumineux que le détecteur de Hedden, Mais Hedden, n'a aucun moyens d’apporter des améliorations pour un 'usage militaire sur son projet qui est abandonné
HAZELTINE, d'autre part, est bien équipée pour modifier le détecteur type Hedden et obtient le contrat de production pour le SCR-625, qui est appelé Hedden-Engineers Board-Hazeltine mine detector
Les principales caractéristique de cet instrument né d’un mariage est une tige en fer longue de 1.82m qui est tenu par l operateur À la base de cette tige se trouve une bobine en bois dur qui a 45 cm de diamètre. Dans une musette portée sur le coté se trouve les piles sèches qui induisent un champ magnétique autour de la plaque de recherche et de l'amplificateur. Un jeu d'écouteurs complète la panoplie L'ensemble du détecteur pèse 3.4 kgs Il émet un faible bourdonnement dans les écouteurs de l'opérateur. Le RCS-625 détecte les mines métalliques de 15 à 30 cms au-dessous de la surface, plutôt que celles de 45 cms, mais ceci est acceptable car peu de mines sont enfouies Mais l’appareil n'est pas étanche et il est très fragile
. En Février 1942, les ingénieurs finalisent l’ensemble. Il est envoyé en 'Afrique du Nord pour l'évaluation par la VIII° Armée britannique
Le détecteur finalisé et mis en production par Army's Services of Supply en Septembre 1942 et il est disponible pour les unités américaines qui débarquent au Maroc, en Novembre. 1942
Un programme de remise à niveau est prévu en fonction du changement de la menace Le Portable SCR-625 Mine Detector 167 est mis au point pour les mines plus légères et n’utilisant peu ou pas de métal . Rote travaille sur des dispositifs qui détectent les mines non métalliques, ou avec une combinaison des deux Son équipe a également voulu développer un détecteur très petit pouvant être mis en œuvre avec le poignet seulement de sorte que le soldat puissent l’utilisé allongé et ne serait pas exposé pendant l'utilisation.
Les autres modifications du RCS-625 pour le rendre plus léger, plus robuste et plus résistant à l'eau ne résout pas tous les problèmes. Les bobines sont été diminuées protégés des projection d’eau Le balsa étant aussi un mauvais conducteur de chaleur cela réduit la sensibilité de l'instrument au écart de température. Des anneaux en caoutchouc, genre silentblocs sont été ajoutés pour soutenir les bobines, et leur permettre de reprendre les positions initiales
Un nouveau modèle, connu sous le nom de Short-Arm Detector Set, SCR-625 (H), a été conçu et reçoit une autorisation de mise en production au début de 1945.
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Cette modification porte sur le Short-Arm Detector Set, SCR-625 (H). Il est plus performant et plus léger .Le soldat pourra utiliser la nouvelle version à genoux ou allonge mais cet appareil mis au point à la fin d' Octobre 1944 avec début de la production en Janvier 1945 n’aura pas le temps d’être utilisé sur l ETO.
Portable SCR-625 Mine Detector
The Portable SCR-625 Mine Detector was the original portable mine detector, developed under a National Defense Research Council (The National Defense Research Committee, was established in June 1940 by order of the Council of National Defense (NDRC ) )contract with Hazeltine Co. of New York in the early days of World War II. It was fielded in 1942 and first saw combat use in North Africa.
This was the first model mine detector used by the US Army. It consisted of a long tube with a disc at one end, while the batteries and electronics were carried in a webbing bag with sling. If the set detected a metal object under the surface the operator would hear a sound signal. The SCR-625-H is the late war model. Many of these sets were used post-war by European armies
The SRC-625 in its carrying case. The tube could be folded into 3 or 4 sections, The disc and the webbing bag with the operators' manual and some small spare parts were stored in the lid of the case.
Portable SCR-625 Mine Detector
In February 1942, three months after the USA entered World War II, US Army completed a long development process of the future SCR-625 mine detector. US Army had known that it needed a detector long before the United States became involved in the war. Early interest dated from 1937 and 1938. In those years, engineer troops had run tests comparing land mines, antitank ditches, wooden piling, wire rolls, and road craters.
These assessments were carried out for the Engineer Board, a small organization housed in a WW I barracks at Fort Belvoir, Virginia.under the direction of executive officer, Captain JamesM. Young,Despite the large mission, the board as a low-budget operation
In 1939, it had only 40 civilian employees to go with its handful of officers and a budget of $100,000. The board was a field agency of the Office of the Chief of Engineers Board reached its basic prewar conclusions about the utility of mines.and he conclude that antitank mines alone could be singularly effective obstacles, with other types of obstacles augmenting them as needed.
With or without supporting systems, the mines were devastating as well as easily, transported, emplaced, and hidden.
So, in April 1940, the Office of the Chief of Engineers ordered the Engineer Board to study detection and neutralization. The project got under way in earnest in the fall of 1940 .All of the mines that were known to exist in 1940 were encased in metal. This characteristic simplified development of a mechanism to signal the presence of these hidden under
ground explosives.
On 3 September 1940, the engineers asked for help in developing a metallic mine detector from the recently organized National Defense Research Committee.
The specifications required that the instrument be able to detect a steel plate 1/8-inch thick and 10 inches square that was buried as deep as 18 inches below the surface. At the
same time the detector had to be able to discriminate between mines and small bits of metal, such as the nails in an operator's shoes.
The Portable SCR-625 Mine Detector 163 was the brainchild of Dr. Vannevar Bush . It coordinated and supported scientific research on military equipment. The committee supplemented the experimental and research efforts of the War and Navy Departments, including the Corps ofEngineers, and also undertook its own projects. The National Defense Research Committee's successor,the Office of Scientific Research and Development, established by an executive order in June 1941, served as a center for the mobilization of scientific personnel and resources for defense purposes.
In 1941, the Engineer Board and the National Defense Research Committee sponsored parallel investigations and Captain George A. Rote of the Corps of Engineers supervised the research Essentially his project,numbered SF 316 looked for a device similar to the commercial treasure-hunting detectors with the additional possibility of mounting it on the front of armored vehicles to warn them to stop before hitting a mine
All of these worked on the basis of radio frequencies. Two transmitters emitted radio beams that canceled each other out except when a metal object got in the way. A receiver detected the changing sound. One product in particular interested Rote. It worked on an audio frequency,with the increased volume of the 1,000-cycle note in the resonator showing the presence of metal.
He found this model, manufactured by Hedden Metal Locators, Inc., of Miami, Florida, especially appealing because it was light and had about the degree of sensitivity needed. By the summer of 1941, Rote chose the Hedden model as the basis for further development.
Meanwhile, the National Defense Research Committee contracted with the Hazeltine Service Corporation of New York for the purchase of its detector.
Hazeltine model, which was delivered to Fort Belvoir on 1 August, was heavier and bulkier than the Hedden detector, but Hedden lacked the facilities to make refinements in the instrument for military use. Hazeltine, on the other hand, was well equipped to modify the Hedden-type detector and was awarded the production contract for the SCR-625, which was dubbed “the Hedden-Engineer Board-Hazeltine mine detector”. The most prominent feature of the instrument that emerged from this collaboration was the 1.82 meters exploring rod which the operator held. At the end of the rod was a pieshaped search coil mounted under a wooden disk that was 45 cm in diameter. Strapped to the operator’s side in a canvas haversack were the dry-cell batteries that induced a magnetic field around the search plate and amplifier. The resonator was attached to the operator’s shoulder. A set of earphones completed the instrument. The entire detector set weighed 3.4 kgs and produced a low hum in the operator’s earphones. The SCR-625 discerned metallic mines 15 à 30 cms below the surface, rather than the desired 45 cms butt was acceptable because few mines were ever buried more
it was not waterproof and it was quite fragile. By February 1942, engineers were in position to standardize this set. He was sent to North Africa for evaluation by British Eighth Army
The detector was standardized and put into production by the Army's Services of Supply in September 1942 and was available for the American units that landed in Morocco in November. 1942
The program of development changed constantly as the enemy The Portable SCR-625 Mine Detector 167 introduced new mines that were lighter and used less metal. Rote worked on a vehicle-mounted detector and experimented with devices that would detect nonmetallic mines, both in combination with a metallic detector and alone. His team also wanted to develop a detector with a shortened arm, so soldiers would not be as exposed while using it. The modification of the SCR-625 to make it lighter, more rugged, and more resistant to water did solve some of the problems. The coils were compressed lightly into grooves between light and strong balsa wood disks that protected the coils from damage and water. The balsa was also a relatively poor conductor of heat and reduced the susceptibility of the instrument to changes in temperature. Rubber rings, ad silentblocs, were added to support the coils, allowing them to resume normal positions after expansion. A new model, known as the Short-Arm Detector Set, SCR-625 (H), was designed and authorized for procurement at the start of 1945. This modification retained the original The Short-Arm Detector Set, SCR-625(H).standard of performance but incorporated two significant changes., this model weighed less than half as much as the original. A soldier could use the new version while kneeling or prone. The short-arm detector was developed after tests of commercial equipment and mprovements that took over one year.
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However, the project moved quickly once basic decisions were made about the basic approach to be taken. Four months of development and testing culminated in the issue of specifications by the end of October 1944 and the start of procurement in January.
The new instrument,which was not introduced in time to be used in the European theater of operations,.