Bouches du Rhone Velaux Oppidum Roquepertuse






Bouches du Rhone Velaux Oppidum Roquepertuse
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Merci à Dominique  pour les photographies

 


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Habitat fortifié sur un petit plateau isolé de la chaîne rocheuse à laquelle il appartient par une tranchée dans le roc de 3m de large et de 1,30m de profondeur au milieu de laquelle on a aménagé une passerelle pour homme. De là le nom de Roque-Pertuse, c'est-à-dire roche au passage, au pertuis.
Il est distant de 1km de Velaux, de 2km de Sainte-Eutropie, et en contre-bas, placé à 50m au sud de la voie ferrée. Le petit plateau circulaire qu'il occupe a 40m de rayon ; il n'offre pas de traces de murs et se trouve entouré de tous côtés par des escarpements qui ont 5 à 10m de haut.
On y remarque au centre un trou carré de 1,30m de côtés et de 0,10m de profondeur creusé de main d'homme dans la roche.
C'est dans un champ au pied de l'habitat qu'ont été trouvées en 1860 les deux statues qui sont au Château-Borely après avoir appartenues à M. I. Gilles, et quatre blocs de la même pierre ; dont deux de 0,50m carrés portant trois profondes entailles.
Les deux autres ont 0,80m de long, 0,30m et 0,10m d'épaisseur, couverts de quadrillages peints en rouge et semblables aux vêtements des statues : l'un d'eux porte vers le haut un œil ou croissant peint en rouge long de 0,10m sur 0,03m de haut ; l'autre, dont la peinture a presque disparu, porte à sa face supérieure une entaille ovale. Un des socles des statues porte aux quatre angles des feuilles semblables à celles du laurier. Le tout était mélangé à des poteries et à des ossements humains.
Nous n'avons recueilli là que de la poterie indigène se rapprochant par son ornementation des vases du bronze, notamment la base d'un vase assez grand avec cordon circulaire en relief orné de traits en X formant des losanges et une tablette en pierre offrant des traits formant aussi des losanges peints en rouge comme les vêtements des statues de Velaux et les stèles d'Orgon et de Trets. (p. 56-57)
En ce lieu-dit Roquepertuse (alt. 100m), se trouve un site perché (peut-être fortifié) protohistorique d'une superficie d'au moins 5000m2, fouillé en 1919-1924, et en 1927, puis en 1960, depuis 1989 les recherches sont en cours.
 
Topographie
Le site est implanté dans la vallée de l'Arc, en aval de Roquefavour. Il occupe un petit éperon rocheux situé à l'extrémité du plateau des Amandiers. Du côté nord, des escarpements d'une dizaine de mètres de hauteur dominent la plaine tandis que, du côté opposé, deux terrasses rattrapent la dénivellation et reçoivent une partie de l'habitat qui s'étend probablement jusqu'aux chemins actuels.
 
Les recherches
Les premiers éléments sculptés ont été découverts au début du XIXe siècle mais ce n'est qu'en 1919 que commencent les fouilles de Henri de Gérin-Ricard. Destinées à enrichir les collections du Musée Borély, elles se prolongent jusqu'en 1924… En 1989, une commission d'étude du site est créée afin de présenter, dans les nouvelles salles du Musée de la Vieille Charité à Marseille, une reconstitution  plus juste et fidèle du monument à portique. Les vestiges sont constitués d'un millier de tessons (du Néolithique au début du IIe siècle av. J.-C.) et d'une cinquantaine de fragments lapidaires.
 
Chronologie
L'occupation commence probablement au Néolithique. L'âge du bronze est également représenté. Une 1ere phase d'occupation est datée du courant du VIe siècle (céramique modelée, grise monochrome, amphore étrusque).  Le Ve siècle correspond à un hiatus important puis le site reprend au IVe (céramiques attiques et pseudo-attiques), et au IIIe siècle (productions modelées, vases à pâte claire et mortier massaliètes, campaniennes A anciennes, céramiques italiques à vernis noir). Edifié lors de cette phase, le monument à portique est violemment détruit vers 200-190 av. J.-C.  Des boulets de calcaire et de basalte ont été trouvés au milieu des éléments sculptés et des vases cassés sur place.
Le monument à portique
Les éléments sculptés appartenant au monument à portique ont été retrouvés sur deux terrasses adossées au plateau rocheux : deux statues de guerriers assis en tailleur, un « hermès » bicéphale, un oiseau, des fragments de linteaux et de piliers portant des encoches céphaliformes ainsi qu'un décor sculpté, gravé et peint, des stèles réemployées. L'étude de 1991 a révélé l'unité de cet ensemble monumental tant en ce qui concerne sa réalisation architecturale que la pensée dont il est l'expression... L'espace contenant les restes du monument se présente donc comme une esplanade rectangulaire (21m x 10/11m) à laquelle on accède par un passage longeant le promontoire, à l'est. Le monument s'ouvrait en façade par un  portique en pierre dont certains piliers étaient jumelés. Les linteaux, de différentes longueurs, goujonnnés ou non sur les piliers, impliquent des écartements différents entre ceux-ci. Le bâtiment était couvert en terrasse et les poutres s'encastraient légèrement dans les linteaux. Tous ces éléments en pierre portaient des encoches céphaliformes de profils différents selon que les crânes présentés étaient surmodelés en argile, embaumés ou décharnés. Par sa forme, l'un de ces logements semble avoir été destiné à un  crâne de cheval ou de bovidé. Ces têtes coupées étaient tournées vers l'intérieur du portique et entourées d'une riche décoration peinte et plus rarement sculptée ou gravée.  Le répertoire iconographique est vaste. Certaines représentations semblables à celles du sanctuaire plus récent d'Entremont, comme le serpent placé sur un linteau, révèlent l'existence d'une symbolique commune dont dépend probablement l'agencement des différents motifs. A l'intérieur du portique, les recherches récentes permettent de dénombrer au moins quatre statues de personnages assis sur un socle à acrotères. Ils sont vêtus d'un justaucorps recouvert d'une chasuble et d'un pectoral abondamment décorés de motifs géométriques soulignés par des incisions.  Il en est de même pour leur jupe courte à plis plats. Certains détails des visages étaient également peints : cheveux, sourcils, barbes, moustaches.
L'agglomération
Les  nouvelles recherches de terrain ont confirmé que le « sanctuaire », loin d'être isolé, faisait partie d'une véritable agglomération. H. de Gérin-Ricard avait déjà signalé environ dix cases-encoches (larg. 4m) sur le sommet du plateau rocheux. Le plateau (superficie env. 2500m2) est séparé du reste du plateau des Amandiers par une sorte de tranchée creusée dans le rocher… Sur l'autre partie du plateau des Amandiers, en bordure de l'escarpement méridional, un alignement de gros blocs pourrait être identifié à une fortification. (p. 322)
Dans le courant du Vie siècle, la terrasse I est occupée par un ensemble étagé de cases construites sur poteaux porteurs, incendiées puis abandonnées. Les stèles réemployées seraient peut-être issues d'un premier « sanctuaire » remontant à cette période. Ce n'est qu'au Ive siècle que le site est à nouveau investi.  Les deux phases sont séparées par de puissantes couches de remblais.
Sur la terrasse I, le celllier à dolia (5m x 4m), dégagé par H. de Gérin-Ricard s'avère contemporain du portique qu'il jouxte presque, à l'ouest. Il contenait neuf dolia écrasés en place, rangées en deux files.  L'un d'entre eux est encore en place. Le bâtiment reposait sur des solins en pierre et possédait une élévation d 'adobes… Non loin de là, plusieurs squelettes de chevaux ont été retrouvés.
Dans le cas de Roquepertuse, l'existence d'une fortification reste hypothétique. C'est d'ailleurs sûrement à cause de son implantation assez atypique par rapport à celle des oppida environnants que l'on a voulu voir en Roquepertuse un sanctuaire isolé pouvant appartenir à plusieurs communautés voisines. L'exemple de Roquepertuse  n'est finalement pas différent des autres agglomérations qui toutes concentrent à la fois fonctions sociales et fonctions économiques. Les mêmes constatations ont été faites en Celtique où les grands sanctuaires que l'on croyait isolés s'avèrent à présent inclus à l'intérieur d'agglomérations importantes.
Roquepertuse semble en tous cas illustrer l'essor de la société indigène à partir de la 2e moitié du IIIe siècle, essor qui se matérialise par une augmentation sensible du nombre des habitats. La création d'un monument à portique construit dans la pierre témoigne de la puissance et du goût de l'ostentation des élites locales. Mais la vague de destructions qui affecte plusieurs sites provençaux vers 200 av. J.-C. et qui voit l'abandon définitif de Roquepertuse semble être à l'origine de la généralisation des implantations perchées, strictement retranchées derrière leur fortification.
(Source : Carte Archeologique de la Gaule,  l'Etang-de-Berre, pré-invention archéologique publiée sous la responsabilité de Michel Provost, professeur d'histoire romaine à l'Université d'Avignon, diffusion : Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris 1996)

 

Tiré de ce Site

 

Oppida, villages et cités de l’Age du Fer en Provence
 
Oppidum © vp13
 
Oppida, villages et cités de l’Age du Fer en Provence

 
  • Le phénomène majeur de l’Age du Fer est la création d’Oppida, de villages, de cités avec la naissance du commerce. Massilia/Marseille et la Provence en sont à la pointe
 
Oppida en Provence

 
  • Sans vouloir lister les dizaines d’oppida du territoire de la Provence, cet article vise à établir une typologie des oppida, à décrire les principaux et identifier ceux qui sont majeurs par leurs dimensions, leur histoire ou leur configuration.
  • A noter. Le mot oppidum est un mot latin qui signifie ville. Les oppidani sont les habitants de villes autres que Rome.
  • Le terme est employé ici pour désigner les agglomérations protohistoriques fortifiées de l’Age du Fer.
 
Oppida Celtes et Oppida Ligures
  • Le même terme désigne des ensembles très différents géographiquement, dans leur vocation, leur conception, leurs usages et leurs situations.
    1. Jules César, qui serait l’un des premiers auteurs à citer le mot oppidum,  renseigne avec précision sur les fonctions de l’oppidum :
      1. Rôle économique avant tout, lieu d’échange où s’installent les marchands, lieu de ravitaillement pour une armée, centre politique où se prennent les décisions.
      2. 28 oppida de Gaule sont renseignés par leur nom dans la Guerre des Gaules qui en évoque des dizaines d’autres (ex. 20 chez les Bituriges, 12 chez les Helvètes…).
  • Les oppida celtes.
    1. Agglomération fortifiée occupée d’une manière permanente par une population dont une partie importante est constituée par des artisans spécialisés.
      1. Lieux de vie ceinturés par des remparts importants avec une entrée fortifiée et des tours.
      2. Situation privilégiée dans un réseau de trafic à longue distance.
      3. Rôle de marché et lieu de réunion pour des fêtes religieuses ou civiles.
    2. Le mur d’enceinte témoigne de la taille et de l’importance du site.
      1. La superficie minimale d’un oppidum est estimée à 1,5 ha.
      2. La superficie peut dépasser des centaines d’hectares.
      3. L’oppidum peut être appuyé sur une défense naturelle du type falaise qui permet de se passer d’enceintes ou de se limiter à un muret.
      4. On a comparé l’oppidum au pomerium étrusco-romain.
      5. L’enceinte, construite en bois, pierres et terre peut être complétée par des talus en avant de l’enceinte.
        1. Le système mis en place par Jules César à Alésia pour enfermer ses adversaires témoigne de la sophistication des défenses qui pouvaient être mises en place.
      6. La fortification peut inclure un chemin de ronde et des tours.
      7. Saint-Blaise (13) est une référence en la matière.
    3. Les portes des oppida ont des caractéristiques défensives élaborées :
      1. Long couloir encadré par un retour de rempart.
      2. Tour porche monumentale comportant souvent un double portail faisant office de sas.
      3. Des poternes peuvent exister.
    4. A l’intérieur de l’enceinte vit une population qui peut être très importante.
    5. Les équipements sont ceux d’un village ou d’une cité.
      1. Maisons d’habitations souvent organisées en îlots.
      2. Rues souvent disposées en quadrillage.
      3. Lieu de rassemblement.
    6. Plusieurs sites ont des quartiers spécialisés ; artisanat, résidentiel aristocratique, religieux, politique…).
 
Oppida celtes de référence en Provence
  • Oppidum de Cabellio. Cavaillon (84). 6e s. av. J.-C.
    1. Remarquable situation sur au confluent de la Durance et du Coulon/Calavon , sur des voies de passages routiers.
    2. La Colline Saint-Jacques est un remarquable promontoire.
  • Oppidum d’Entremont (13). Au nord d’Aix-en-Provence (13). 3e s. av. J.-C. – 1er s. av. J.-C.
    1. A la constitution de la confédération Salyenne, Entremont en devient la capitale.
    2. Sur le rebord du Plateau de Puyricard.
    3. 123 av. J.-C. Les Légions romaines placées sous le commandement du Proconsul Caius Sextius Calvinus (qui donne son nom à Aix qu’il fonde en 122 av. J.-C.) détruisent l’oppidum à la demande de leurs alliés marseillais.
    4. Le site se visite. Accès par l’Autoroute A51 direction Sisteron, sortie Puyricard.
    5. Statuaire et objets trouvés sur le site conservés au Musée Granet. Aix-en-Provence (13). Place St-Jean-de-Malte.
  • Oppidum Mourre Pella. Graveson (13).
  • Oppidum du Castellan. Au Nord d’Istres (13). En surplomb de l’Etang de l’Olivier.
    1. Accès libre. Belle promenade mais site peu lisible pour le profane. Début du 6e s. av. J.-C. Occupation 2 siècles et demi.
    2. Sur un plateau rocheux.
    3. Inscription gallo-grecque MATPON/MATRON, probable dédicace de l’oppidum aux Mères.
  • Oppidum de Constantine. Lançon-Provence  (13). Au nord de l’Etang de Berre. Fin 2e s. av. J.-C. ou début 1er s. av. J.-C.
    1. Vaste cité gauloise de 6 ha.
    2. Présence d’un aven de 65 m de profondeur en son centre et un second de 5,5 m de profondeur.
    3. Site dans une propriété privée le Château Calissanne, visites lors des Journées européennes du Patrimoine.
 
© Verlinden.
 
    1. Plus ancien que Marseille. 7e s. av. J.-C. – 6e s. ap. J.-C.
      1. 475 av. J.-C. Partiellement détruit.
      2. 2e s. av. J.-C. puissantes fortifications avec des techniques d’ingénieurs grecs.
    2. Dans tous les cas, un site majeur dans l’histoire de la Provence, des Gaules et de la Méditerranée.
    3. Un merveilleux site à visiter par son histoire, ses vestiges et son écrin de nature.
    4. Situation idéale sur un éperon barré dominant les étangs de 50 m d’altitude et proche de la mer.
    5. Une partie basse et une partie haute, 15 m plus haut.
    6. Murs constitués de bloc en grand appareil mis en œuvre sans mortier.
    7. Enceinte puissante avec plusieurs tours rectangulaires,3 saillants de type bastion, une grande porte charretière et 3 poternes.
    8. Courtine surmontée de merlons.
    9. Accès depuis la commune de Saint-Mitre-les-Remparts, parking sur place.
 
© Verlinden.
 
  • Oppidum St-Marcel de Marseille (13011). Quartier St-Marcel. 7e s. – 1er s. Près de 2 ha.
    1. Accès non autorisé. Traverse de la Martine. 13011.
    2. Inscription en principe possible auprès du Musée d’Histoire de Marseille. www.musee-histoire-marseille-voie-historique.fr.
    3. 575 – 500 av. J._C. Premières constructions.
  • Oppidum de Verduron. Quartier Verduron, au nord de Marseille (13015). 250 – 200 av. J.-C.
    1. Versant abrupt de la Chaîne de la Nerthe. Domine la Rade de Marseille.
    2. 37 petites maisons-cellules de 14m2 en moyenne.
    3. Accès par la fin du boulevard du Pain-de-Sucre. Respecter le site.
  • Oppidum Saint-Pierre-lès-Martigues. Martigues (13). 6e s. av. J.-C. – 1er s. av. J.-C. 
    1. Accès par la D5 depuis Martigues en direction de Carro/Sausset-les-Pins.
    2. Seul site de Martigues avec une occupation continue.
    3. Probablement lié aux Carrières de la Couronne.
  • Site de Tholon. Martigues (13). Maritima Avatocorum. A 1,5 km du canal de Caronte qui relie l’Etang de Berre à la Mer Méditerranée. A côte du Lycée Paul Langevin.
  • Site de l’île de Martigues (13). 1er village bâti au 5e s. av. J.-C. Place Maritima.
    1. Fortification avec une enceinte ponctuée de larges tours.
    2. Maisons à pièces uniques alignées en îlots réguliers.
  • Oppidum d’Alebaece à Riez (04). Sur la colline Saint-Maxime.
    1. Capitale de la tribu des Reii.
  • Site de Roquepertuse à Velaux (13).
      1. Oppidum. A partir du 6e s. av. J.-C. Sanctuaire Salyen.
      2. Culte des têtes coupées.
      3. Musée de la Tour à Velaux.
 
Connu comme Oppidum de La Malle, il s’agit d’un castellaras © vp06
 
  • Les oppidas ligures  ou celto-ligures qu’il est préférable de nommer Castellaras ou Castellas.
    1. Etant nommés Oppida/Oppidum dans la plupart des guides, nous conservons ce qualificatif ici.
    2. La plupart se situent les Alpes-Maritimes (06).
    3. Les fonctions, la conception et l’usage différent sensiblement des oppida celtes.
    4. Les Castellas sont avant tout des sites provisoires de replis pour des populations qui se sentent en danger.
    5. Les Castellas sont en hauteur, à proximité de chemins.
    6. La superficie est généralement plus petite que celle des oppida.
    7. L’habitat n’est que provisoire. Peu de constructions en dur à l’intérieur de l’enceinte.
    8. Castellaras / Oppida de référence :
      1. Oppidum du Castellar. Eze (06). Au sommet du Mont Bastide.
      2. Oppidum de Conrouan. Escragnolles (06). 600 av. J.C. 
      3. Ancien Oppidum de Cemenelum. Nice-Cimiez (06). 6e s. av. J.-C. Oppidum de la tribu ligure de Veidantii.
      4. Oppidum Martis. St-Martin-de-Peille. Peille (06).
      5. Oppidum La Malle. Saint-Vallier-de-Thiey (06). 2e -1er s. av. J.-C. Castellara ligure type.
        1. 1217 m d’altitude, accès par le col du Ferrier (1039 m) avec parking par la D 12 en direction de Caussols.
        2. Enceinte en arc-en-ciel.
        3. Côté non fortifié défendu naturellement par la falaise est.
        4. Vestiges d’une porte au nord.
        5. Rempart précédé d’un avant-mur.
          1. 4,5 m de largeur. Hauteur conservée de 5 m.
      6. Oppidum de Ste-Agnès (06). 
      7. Oppidum du Mont-Garou. Sanary-sur-Mer (83).
      8. Oppidum du Fort. Taradeau (06). Fin 2e s. – 1er s. av. J.-C. Rempart de 401 m de long qui devait s’élever à 4 ou 5 m.
      9. Oppidum des Encourdoules, Vallauris (06). 2e s. av. J.-C. – 4e s. Remparts, porte d’entrée…
        1. Mont Pezoli.
  • Autres oppida, sanctuaires, lieux de fouilles.
    1. Oppidum Bron. Carnoules (83).
    2. Oppidum à éperon barré de Casteou Sarrin. Cabasse (83).
    3. Site Baudouvin – La Bigoye. La Vallette-du-Var(83).
    4. Rocher de Roquebrune. Le Muy (83).
    5. Site de Castel Diol. Les Arcs (83).
    6. Oppidum La Courtine. Ollioules (83).
    7. Oppidum du Mont Aurélien. Pourrières (83).
    8. Site de Buffe Arnaud. Saint-Martin-de-Brômes (04). 6e s. av. J.-C. 1,5 ha.
   


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