Carabine Carbine USM 2 Sniperscopes Model M 3 Bogota

Carabine Carbine USM 2  Sniperscopes Model M 3 Bogota
English Translation
Merci à Alain pour les photographies

Historique Voir ICI
History Click HERE
 

a carabine T3, équipée du champ d'application de l'infrarouge M2, a été utilisée dans le théâtre du Pacifique pendant les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale.

 

Le système choisi se base sur une carabine basée sur le M1E7 expérimental, avec un support de récepteur intégré pour accueillir la vue infrarouge. La carabine modifiée équipée du lunette T120 et de la lampe infrarouge a été testée par le Département de l'Ordnance. Conseil du génie et recommandé pour les achats limités en février. 17, 1944, sous le nom de « Carbine, Calibre 30, T3, Sniperscope ». La recommandation a été approuvée le 16 mars 1944.
Le premier contrat de production de 1 700 carabines T3 a été accordé à Inland, mais la société n'a fabriqué que 811 avant que le contrat n'ait été résilié en raison de la fin de la guerre. De même, Winchester Repeating Arms Co. a par la suite reçu des contrats de production pour 5 160 carabines T3, mais n'a fait que 1 108 cas au moment de l'annulation des contrats peu après les fins des hostilités
Les carabines intérieures et Winchester T3 étaient très similaires, à l'exception de certaines différences de configuration dans les bases de visée intégrales et, bien entendu, les marquages du constructeur. Le côté droit de la base de visée arrière était marqué «US CARBINE/CAL .30 T3». Les carabines intérieures et Winchester T3 étaient numérotées en série dans des blocs spéciaux distincts des carabines M1 et M2 de série fabriquées par les deux entrepreneurs.

La carabine T3 des années 1950 avec une portée infrarouge M3 a été émise dans un compartiment de rangement et est venue avec un porte-sac à dos pour le groupe motopropulseur et la batterie.

 

 

Le système IR original, plus tard désigné sous le nom de « Sniperscope M1, » a été suivi d'une version améliorée, le « Sniperscope M2 ». Cependant, cette dernière version a connu peu, voire aucun, utilisation au combat pendant la Seconde Guerre mondiale. En plus des viseurs infrarouges montés sur les carbines T3, il y avait une version tenue à main, surnommée le « Snooperscope », qui était destiné à des fins d'observation. Les instruments Sniperscope et Snooperscope ont été surnommés « Milly » et « Molly ».La seule différence significative entre les carabines T3 et la carabine standard M1 était les supports de portée intégrés sur le récepteur et la configuration du stock. Toutes les carabines T3 étaient semi-automatiques et n'avaient pas de capacité d'incendie sélectif. Un sache de flash en forme de cône, désigné pour la première fois sous le nom de « T23 », a été approuvé pour la normalisation en tant que « Hiver Flash, M3 » le 9 mars 1945, mais aucun n'a été mis en production avant la fin de la guerre. Après la guerre, les cuirs éclairs M3 ont été fabriqués par Springfield Armory et Underwood Co., et ils ont vu une quantité substantielle d'utilisation avec les carabines infrarouges d'après-guerre.

 

Le récepteur de la carbine M1E7 a été modifié pour une lunette de tireur d'élite. Bien qu'il n'ait pas été adopté, il est devenu la base du support intégral du récepteur T3.

Le système fut  produit par  Electronic Beacon  à 1 700 ensembles pendant la Seconde Guerre mondiale et ensuite on construit un total de 4 500 avant que la société ne soit vendue à une autre entreprise en 1947.
1 700 equipement IR devaient être envoyés soit à Okinawa, soit aux Philippines.Les performances du Sniperscope et du Snooperscope, connus sous le nom de Milly et Molly, sont peu connus. Cependant, ils ont été utilisés dans l'invasion d'Okinawa, à Luçon et dans le nettoyage final des Philippines. Ils ont effectivement arrêté toutes les infiltrations nocturnes
En effet les infiltrations nocturnes par les Japonais a été une source de vive préoccupation pour les troupes américaines tout au long de la guerre, et la carbine T3 équipée de la vue infrarouge a été faite sur mesure pour contrer de telles tactiques.
Les RETEX   mentionnent que  la capacité de vision nocturne était particulièrement efficace dans la lutte contre les tactiques d'infiltration japonaise menées pendant les périodes d'obscurité dans le Pacifique. Il a été signalé au cours des sept premiers jours d'action de la campagne d'Okinawa que le sniperscope IR va représenter  environ 30 % du total des pertes japonaises infligées par les tirs d'armes légères.
De son coté  l'armée japonaise, consciente des principes et des techniques infrarouges, est en fait en train de développer des unités pour l'utilisation des armes légères à la fin de la guerre. Toutefois, on ne savait pas que des dispositifs opérationnels soient utilisés dans des combats réels.
À l'aide de cette arme, un soldat pouvait voir dans l'obscurité jusqu'à 64 m, aussi bien qu'ils soient lourds et encombrants, ils ont rendu de grands service

Le premier contrat du Corps of Engineers pour le développement du Sniperscope M-2 a été attribué à Bell & Howell en septembre 1944 pour 846 lunettes M-2. Electronic Laboratories a été chargé en novembre 1944 de fournir à Bell & Howell les alimentations électriques et l'électronique supplémentaireLes deux premiers prototypes de télescope M-2 ont été livrés à l'Engineer Board en janvier 1945, ce qui a donné lieu à un deuxième contrat pour des quantités supplémentaires.
Ce type d'armes  entrait dans le projet Sphinx  qui  était un projet interarmes avec un objectif principal sur les fortifications de campagne japonaises. L'objectif était de déterminer la meilleure façon de vaincre leurs fortifications en prévision de l'invasion du Japon. Le projet impliquait des milliers de participants et de nombreuses unités différentes au sein de l'armée et de la marine américaines. Les événements se sont déroulés à Camp Hood, au Texas, sur une période de 2 semaines en juillet 1945. Le projet comprenait un contingent du Engineers Corps   qui devait  tester divers articles et tactiques sous leur commandement, y compris des tests consacrés à « l'équipement de vision nocturne 
Avec la fin de la guerre dans le théâtre du Pacifique le 2 septembre 1945, le financement de nombreux contrats militaires fut immédiatement interrompu, ce qui mit fin à la production. Les contrats furent ensuite renégociés pour mettre fin aux contrats et réduire ainsi les quantités fabriquées.
Si la production avait continué on estime que 1000  carbines auraeient été fabriquées par par mois à compté du 1er août 1945,
Bell & Howell de son coté  s'tait engagé à produire environ 5000 lunettes de visée modèle M-2 d'ici la fin décembre. Cela ne semble pas avoir été le cas. En attendant, les recherches se poursuivent pour déterminer si le deuxième contrat pour les M-2 a été renégocié avec une réduction de la quantité totale initialement commandée.
Il est au debut de type M 1  et il a d'abord déployé en Corée, mais il présentait des défauts importants, comme tout système  de la série IR. la source d'IR était sensible car  il pouvait être facilement endommagé par des sources de lumière intenses De plus ses images étaient floues même avec un ciel nocturne ordinaire, et avait une mauvaise portée.
Donc apres le fiasco  du M1 qui sera mail accepté  par la troupe pour ses graves défauts ( sensibel  à la lumière directe du soleil ou d'autres sources de lumière intenses, images  hachées par la lumière naturelle comme la lune, étoiles, pluie , brouillard qui en reduisent considérablement la portée) arrive le M2 qui va  solutionner  quelques probleèmes Donc l arrivé du Cache flamme  En effet le chache flamme a poiur but principale de reduire au maximum le flash du depart  car il est visible la nuit. Mais il fauit aussi empêcher le souffle de la bouche de dégrader la vision nocturne du tireur.
auquel va s  'ajouter une autre menace celle des dispositifs de détection des IR, ennemis
La version M3 a toutefois été considérablement amélioré en ce qui concerne la durabilité et l'efficacité mais il arriva trop tard
Le Sniper Scope a évolué de la M1 de la Seconde Guerre mondiale, avec une portée efficace passant de 700 metree à 950 metre pour la M2,
L 'alimentation du viseur  était fourniée par  des batterie de 6 volts en 4250 volts pour le tube de visualisation d'image. Les rayons IR sont focalisés sur les tubes d'image, provoquant l'émission d'électrons, qui sont ensuite accélérés et frappent un écran fluorescent, convertissant l'image de lumière sous-visible à la plage de lumière visible, montrant tous les objets comme diverses nuances de vert.
Cela permettait de détecter les mouvements ennemis en ouvrant le feu par surprise
Les unités équipaient de materiel IR communiquaient entre elles via des signaux codés simples et prédéterminés provenant d'une lampe torche avec un filtre infrarouge qui pouvaient être détectés jusqu'à 500 mètres.
Le M3- aussi connu sur le vocalbe de T3,  disponible pour la guerre de Corée, utilisait 20 000 volts, avait une portée effective de 1200 metres  et pouvait détecter des signaux de lampe-flamme jusqu'à 2 kms
Mais cette  carabine qui était en fait  une carabine M2 avec des montages appropriés préparés sur le récepteur pour prendre divers modèles de veille nocturne infrarouge, et un dissimulateur de flash M3.  n a été produite qu' en nombre limité en tant que semi-prototype. Seulement 2100 environ ont été fabriquées, contre 5 510 000 carabines M1, 150 000 carabines de M1A1 et 570 000 carabines M2.