Au XVIe siècle, une nouvelle sorte de combattants impose sa façon de faire la guerre sur les champs de bataille d’Europe . les Lansquenets   Ils viennent la plupart au début d’Allemagne et de Suisse, Ce sont des combattants mercenaires très réputés Ils portent des uniformes chatoyants et font usage d'une arme emblématique : L' épée à deux mains, parfois de grandes dimensions capable de  faire des brèches dans les rangs adverses en ravages dans les rangs adverses en  sectionnant les hampes des piques et aussi contre les charges de cavalerie légère 
Cette épée à deux mains  est dont une innovation qui est issue de la «nouvelle escrime» qui apparait  dans la seconde moitié du XIVe siècle
Les nobles se recouvrent d 'armures solides ( plates rigides ).Mais ce type d 'armure s'il protège mieux le  soldat modifie la tactique car  le chevalier est alors handicapé par la vulnérabilité de sa monture qui supporte un poids énorme et il souvent à combattre à pied.
L’épée à deux mains est donc adaptée à ce type d’affrontement.  Par la suite cette épée  servira dans les duels judiciaires. et dans le combat à pied en champ clos discipline sportive, pratiquée dans le contexte courtois des tournois
Les fantassins ne vont pas d'ailleurs  tarder  à utiliser cette arme 
Sa longueur et sa forme et ormenements peuvent varier IL faut qu'elle reste  maniable et légère, et  la longueur de la longue fusée recouverte de cuir doit laisser  une grande latitude pour le positionnement des mains. Afin de faciliter une escrime rapide et de ne pas gêner les mouvements du poignet, le pommeau, de taille réduite, a adopté un schéma piriforme
Il est aà noter que la claymore, écossaise traditionnelle aux quillons ornés de quadrilobes ajourés  est une épée à deux mains . Elle devient au XVIIe siècl une arme de cérémorie et non guerrière.