Henri IV le Grand (1553-1610) : roi de Navarre, puis roi de France de 1589 à 1610. Il met fin aux guerres de Religios C'est le premier roi de la dynastie des Bourbons,Aapres son assassinat il fut inhumé la basilique Saint-Denis Auparavant les ceremonies il fut le dernier monarque pour lequel on procède à l’exposition de l’effigie
en effet du 10 au 21 juin l’effigie du roi, veillée par les seigneurs, au Louvre permettant à la foul de venir rendre un dernier hommage au souverain. Deux cents cierges éclairaient la pièce tendue de tapisseries et de soie et où le couvert du roi était dressé comme s’il était encore en vie; les mets servis étaient ensuite donnés aux pauvres. Cent messes furent dites chaque jour.
Ensuite le corps avant St Denis fit un Crochet par ND de Paris Mais comme rien n avait été prevu suite à la mort brutale du roi le pauvre roi Henri IV n'avait de place prévue. Son cercueil fut donc déposé à la hâte sur des tréteaux dans le caveau des cérémonies (crypte d'Hilduin). Henri IV fut inhumé sans tombeau, sans mausolée. Son cœur fut placé dans l’église Saint-Louis du collège des Jésuites de la Flèche.
Nous trouvons à St Denis un monument postérieur datant de 1840 rappellant sa présence à Saint-Denis, composé du moulage d’un buste d’après un modèle de B. Tremblay et d’un autre moulage imité du monument funéraire de Christophe de Thou.
Par contre subsiste un reste charnel du roi sa tête, qui en 2011 retourne à Saint-Denis rejoindre sa première épouse, Marguerite de Valois, la fameuse « Reine Margot » elle aussi inhumée à Saint-Denis où une plaque rappelle sa présence

Sa seconde épouse, Marie de Médicis, fut inhumée dans la cathédrale de Cologne, puis rapatriée dans la basilique Saint-Denis, tandis que son cœur était placé, comme pour celui de son mari, dans l’église Saint-Louis du collège des Jésuites de la Flèche, et ses entrailles dans la chapelle des Trois Rois de la cathédrale de Cologne.
A Saint-Denis, la présence de la souveraine est rappelée par une épitaphe en vers commandée pr alexandre Lenoirr. Les cœurs des souverains furent brûlés durant la révolution mais les cendres, conservées, furent replacées dans les niches des monuments.