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Renault B1 Bis Saumur Boussole Saumur



Le Renault B 1 et B1 Bis.  Bousolle d'orientation
English Version

 
4° DCR

 

 

Tout équipage de char char a besoin de moyens d orientation lorsqu'il se trouve dans un environnement clos La bousolle permet de se diriger  

 

La Grande guerre était tout juste terminée que les Etat-Majors commencèrent à tirer les leçons de celle-ci et à bâtir des plans pour le futur suivant le vieil adage latin Si Vis Pacem Parabellum.
En juillet 1919 les études et les projections prévoient que le char du futur devra être un char de combat pouvant accompagner et appuyer les fantassins mais aussi pouvoir combattre un autre char.
En janvier 1921 le programme de juillet 1920 est profondément modifié il ressort de cette étude que la construction d'un char de bataille devant accompagner l'infanterie doit être lancée. La commission présidée par le général Buat se met donc au travail. C'est un char de la classe 13 t devant un canon de 75 en casemates mais aussi une tourelle armée de mitrailleuses. L'équipage devait être au nombre de deux ou trois hommes.
Divers constructeurs se mettent sur les rangs et quatre prototypes sont construits.
Le S.R.A. Schneider Renault Type A.
Le S.R B. Schneider Renault Type Bs.
Le F.A.M.H Forges et aciéries d’Homécourt (Saint-Chamond).
Le F. C. M..
Il apparaît rapidement que le char proposé ne pouvait rester dans les limites du tonnage imposé. Donc les quatre chars ne furent pas retenus de même que le char proposé par la firme Delaunay Belleville. Mais déjà les futurs éléments du char B. étaient en place.
Chenilles enveloppantes
Canon en casemate.
Tourelle centrale.
En 1925 une nouvelle directive pour le char de bataille qui allait devenir le char B voit le jour. À la suite de l'expérimentation de divers prototypes il fut décidé de tirer les leçons de ces tests pour lancer la définition d’un nouvel engin. Renault construisit rapidement une maquette en bois au début de 1926. La construction de trois prototypes fut décidée le 8 janvier 1926. Tous les industriels ayant participé à l'aventure dès le début doivent participer à ces constructions sous la direction de Renault maître d'œuvre du projet.
Ce char en plus de sa mission de détruire les chars ennemis devait aussi apporter une protection aux fantassins. Son coût élevé devra toutefois limiter le nombre d'engins à construire. La construction de trois prototypes décidée en 1926 ne fut pas commencée avant le 13 mars 1927 et encore il devait tenir compte des spécifications portées sur le programme de la direction de l'infanterie de 1926.

 


Poids 19 22 t
Armement Canon 75 plus mitrailleuses
Radio
Vitesse moyenne 15 km heure
Equipage 4.
La construction traîne en longueur ce qui fait que ce n'est seulement quand janvier 1929 que le montage des premiers prototypes fut terminé. La mise au point finale fut elle aussi très longue et ce n'est qu'en avril 1930 date à laquelle le char du déclarer bon pour le service qu'il pouvait être envisagé une production en série.
Ce char avait une Chenille enveloppante de 63 patins la caisse était divisée en deux séparée par une cloison avec une porte la chambre de combat pouvait accueillir 4 hommes
le chef de Char en tourelle
le mécanicien pilote à l'avant gauche
Le culassier mécanicien
Le servant radio.
Dans la casemate chaque homme avait un rôle bien déterminé. Le chef de char était assis sur le siège levé dans la tourelle et il avait à diriger le char et en même temps armer et mettre en œuvre les 2 mitrailleuses 75 Châtellerault MAC Mdle 1928. Le mécanicien pilote était chargé de conduire le char et de pointer le canon de 75 grâce au système Naeder. Il devait aussi assurer le fonctionnement des deux mitrailleuses qui se trouvaient à droite du char sous l’armement de 75. Le mécanicien culassier était assis sur un faux plancher et devait alimenter le canon de75. Le servant radio assis sous le chef de char devait assurer le fonctionnement du poste de TSF.
Le char tractait une remorque citerne contenant deux réservoirs de 400 l et pouvait aussi emporter six hommes. Le prototype débuta ses essais début 1930 .Ils durèrent jusqu'à la fin de 1930.
Les tests révélèrent les défauts de l'engin.
Tourelle inadaptée à remplacer par une nouvelle tourelle armée d'un canon de 47mm.
Faible de blindage.
Suite à la modification du programme de 1926 de nouvelles spécifications furent apportées.
Le char devait être plus rapide.
Avoir un armement puissant.
Être mobile de tout terrain.
Résister aux nouvelles armes antichars.
Et avoir de bons moyens radio.
Ces nouvelles directives entraînent de facto la hausse du coût unitaire de l'engin à construire mais c’est. Le prix qu'il fallait payer pour avoir un char de bataille efficace
Tous les prototypes furent donc transformés. Les tests décelèrent les défauts de l'engin et entraînent l'abandon de certains éléments du char comme la remorque et des mitrailleuses fixes.
Le projet du char de bataille étant figé reste à passer à la phase industrielle du projet. Il fallut attendre toutefois octobre 1932 pour enregistrer les premières commandes les choses traînent en longueur (manque de crédits et conférence sur le désarmement) ce n'est qu'en mars 1934 que la première commande de B. un fut notifiée. Le 6/4/1934 le char fut commandé et les premiers engins furent livrés en 1936.
Le B. un était un char armé en casemate d'un canon de 75 ABS Mdle 1929 et une mitrailleuse. La tourelle était une ST2 identique au char D1 équipée d'un canon de 47 mm 3A34 plus une Mitrailleuse MAC 7.5 Mdle 1930. Le moteur situé à l'arrière du châssis était un Renault six cylindres dérivé d’un moteur d'avions de 250 chevaux. Le blindage maximum était de 40 mm. Renault était chargé du montage final du char.
En avril 1934 20 B1 furent à nouveau commandés et d'autres commandes affluent. Le 29 avril 1935 pour aider Renault. FCM fut chargé de la fabrication de cette série de 35 véhicules.
La tourelle ne donnant pas satisfaction ce fut la tourelle AP X. 1 fut montée (c est la même que celle du char Somua S35) La commande fut réceptionnée entre décembre 35 et juillet 1937 le 1° bataillon fut déclaré opérationnel le 29 janvier 1938
le char B. 1 bis.
Divers projets sont lancés comme le B2 B3 BB mais les politiques préfèrent partir d’un engin existant et de l'améliorer au lieu de créer de toute pièce un nouveau char de bataille
Ainsi est né le B.1 bis. En 1935 on décide de surblinder les prototypes du char B. 101 et 102 en passant le blindage de 40 à 60 mm. Le résultat fut s jugé satisfaisant et le 8 janvier 1936 une première commande de 35 engins est passée. Cet engin fut appelé le B1 bis. Comment différencier entre autre rapidement un B1 d’un B1 bis. Visuellement les deux engins sont à peu près pareils saufs que à l'arrière il n'y a plus le crochet de remorquage et sur les côtés les grilles de protection de la ventilation sont modifiées pour mieux aérer le moteur.
Par contre ce qui ne se voit pas il y a une hausse de blindage. Le nouveau moteur Renault
6 cylindres à 307 chevaux délivre 1900 tours/mn et la tourelle qui possède un canon de 47 SA 35 Vo 650 mètres secondes armées aussi d'une tourelle Mac de 75. La première commande fut suivie d'autres commandes se qui porte le total de ceux-ci à 1178
Tous les engins ne furent pas livrés suite aux événements de juin 1940. Le nombre de B.1 et B 1 bis en service est assez flou en avril 1940 il y aurait eu 314 engins livrés en juin 40 65 autre engins avait été livré par les usines.
On arrive donc à un total avoisinant les 401 engins
le B. un bis reçoit un numéro de série qui débute par le numéro 201 alors que les B1 avaient numéro de série commençant par la série101. Les Français essayèrent de modifier certains engins pour les adapter à des tâches spécifiques nous trouvons entre autres pêle-mêle un transporteur de fascines des protections de patins contre les mines et des essais d'amélioration de l'autonomie mais ces chars étaient trop précieux et peu nombreux pour que l'état-major distraie des engins pour faire des modifications.
Utilisation du char B 1 bis
les chars équipent les divisions cuirassées à raison de deux bataillons de DCR. Le matériel avait une réputation d’invulnérabilité et nombre d'engins furent récupérés par les Allemands qu'ils utilisèrent à différentes tâches (on parle d’environ 165 engins récupérés par les Allemands) soit ils furent réutilisés en l’état après modif du tourelleau soit ils furent modifiés de façon plus radicale
Les modifications les plus connues sont le char B 1 bis lance-flamme, le char auto-école, et la transformation du char B 1bis en automoteur 105 mm. Quelques chars auraient été livrés aux Italiens. Ce char a continué de combattre durant toute la guerre sous toutes les latitudes car nous en trouvons en Russie. En 1944 les Français purent récupérer certains engins qui combattirent contre les poches de l'Atlantique. Il fut alors décidé de modifier un engin pour le transformer en démineur. L'atelier AMX transforma donc un B1 Bis1 débarrassé de sa tourelle
en engin démineur qui possédait à l'avant trois rouleaux mis en oeuvre par un treuil pesant 5 t Mais les essais ne furent pas concluants et l’engin fut abandonné
Les derniers avatar du B1 bis furent le B1 Ter et l ARL 44
Je ne puis que vous conseiller la lecture de 2 ouvrages récents le premier qui vous apportera beaucoup d infos malgré sa taille le T
rackstory N°3 de P Danjou et le B1 au combat volume plus important chez Histoire et Collections
Coté Internet le s
ite incontournable d Antoine Misner
Utilisation du car B1 bis par les Allemands ou les Italiens
L'occupant Allemand récupéra un certain nombre de B1 Bis qui seront employer à des fins de police dans les Balkans (7° SS Prinz Eugen)
Environ 160 B1 Bis furent réutilisés par les Allemands, la version la plus connue étant la version lance-flammes appelation Allemande : Flammwagen auf Panzerkampfwagen B-2 (f).
Ce lance-flammes est monté à la place du canon de 7.5 Cm en casemate, 60 B1 bis furent équipés de cette arme, on le trouve au sein de la 21° Pz.Div., mais aussi dans la S.Pz.Kie. 223.
Le chassis du B1 Bis sera utilisé également pour y monter le canon 10.5 Cm leFH18 (16 exemplaires construits) sont appelation Allemande : 10.5 Cmm leFH 18/3 (s) Auf Geschutzwagen B-2 (f), il équipera la 26° Pz.Div. (La I./Pz.Art.Rgt (mot.) 93)
On trouve également une version école sur base du chassis du B1 Bis, la tourelle est purement supprimée : Fahrschulwagen B2 (f).
A la Libération en 1944, une dizaine de B1 Bis seront utilisés par les troupes francaise notamment au 13° Dragons et combattrons en avril 1945 sur l'Atlantique contre la poche de Royan.
Les troupes italiennes ne recurent que 4 B1 bis qui furent utilisés pour test seulement
Caractéristiques
Poids 31.5 t
Longueur 6.37m
Largeur 2.5m
Hauteur 2.79 m
Garde au sol 0.48m
Blindage Maximum 0.60mm
Equipage 4
Moteur Renault 300 CV 6 cylindres
Vitesse max 28 km/h
Autonomie 180 Kms
Armement
1canon de 75 avec 74 coups
1 mitrailleuse MAC 7.5 mm en casemate
1 Canon de 47 mm SA35 avec 50 coups
1mitrailleuse Mac 7.5 en coaxiale




Je remercie toute l’équipe du Musée des blindés de Saumur pour leur aide et leur accueil

Autres Photoscopes (Others Walk Around )    1   2    3   4   5   6   7 + B1 interieur

 

The B1 and B1 Bis
4th  DCR

 

 


The Great War had just ended the state Majors began to draw lessons from it and building plans for the future following the old adage Latin  Si Vis Pacem Parabellum.
In July 1919 studies and projected that the tank of the future should be a tank can accompany and support the infantry but also could fight another char.
In January 1921 the program of July 1920 he was profoundly changed to the study, the construction of a battle tank to accompany the infantry should be run. The commission, chaired by General Buat therefore goes to work. This is a tank of Class 13 t with a 75mm gun in casemate, but also a turret armed with machine guns. The crew was to be two or three men.
Various manufacturers were intreressed and four prototypes are built.
The S.R.A. Schneider Renault Type A.
The S.R B. Schneider Renault Type Bs
The FAMH ironworks and steelworks of Homécourt (Saint-Chamond).
F C. M..
It quickly becomes clear that the Tank proposed could not remain within the tonnage limits imposed. So four tanks were not selected as the tank proposed by the firm Delaunay Belleville. But already the future elements of char B. Were in place.  
Caterpillars wrapper
Gun in block house.
Central turret.
In 1925 a new directive for the battle tank, which would become the B tank  was put forward. As a result of experimentation with various prototypes it was decided to learn from these tests to launch the definition of a new vehicle. Renault built quickly a wooden model in early 1926. The construction of three prototypes was decided on January 8th  1926. All the manufacturers that participated in the adventure from the outset must participate in these constructions under the direction of Renault contractor for the project.
This char in addition to its mission to destroy enemy tanks would also provide protection to infantry. Its high cost will, however, limit the number of vehicles to be built. The construction of three prototypes decided in 1926 was not begun before March 13th  1927 and yet it must take into account the specifications included in the programme of the the Direction de l Infanterie in 1926.

 


Weight 19/ 22 t
Weaponry Canon 75mm an MG
Radio
Average speed 15 km / hr
Crew 4.
The construction dragging on so that it is only when in January 1929 that the assembly of the first prototype was completed. The final preparation was also very long and it was not until April 1930 when the tank was OK for service and he could be producted in factory
The tank has caterpillars  of 63 runners wrap the body was divided into two separated by a partition with a door of the room battle could accommodate 4 men
The chief of tank in  turret;
The pilot in the front left
The mechanic provider (culassier )
The radio.
 In the blockhouse every man has a clearly defined role. The chief of tank was sitting on the seat up in the turret and he had to lead the tank  and at the same time arming and implement the 2 Châtellerault MAC 75 Mdle 1928 MG. The locomotive driver was responsible for driving the tank and pointing the 75 mm barrel thanks to the system Naeder. It should also ensure the functioning of the two MG that were at the right under the iunder the  75 mm . The mechanic provider (culassier ) sat on a false floor and had to supply the 75mm during fire. The radio as the sitting head of char should ensure the functioning of the post of TSF.
The tank has also  a trailer tank containing two 400 l tanks and could also carry six men. The prototype testing began early 1930. They lasted until the end of 1930.
The tests revealed defects in the equipment.
Turret  unsuited to be replaced by a new turret armed with a 47mm cannon.
Poor shielding.
Following the amendment of the 1926 program new specifications were made.
The tank should be faster.
Having a powerful weapon.
Being mobile in all- terrain.
Resisting the new anti-tank weapons.
And get good radio.
The new project  entail de facto increase the unit cost of the equipment  It is the price to  had to pay  if we want  an effective battle tank
All prototypes were thus transformed. Tests detect some defects and cause the abandonment of certain elements as the trailer tank and the MG under the gun.
The project of battle tanks being frozen remains to move to the industrial phase of the project. It was not until October 1932, however, to register the first orders
Things drag on (lack of funds and disarmament conference) it was not until March 1934 that the first order of B1 was notified, and on April 6th 1934 the first tank was commissioned and the first machines were delivered in 1936.
The B1 was a tank armed with a 75mm ABS Mdle 1929 gun in blockhouse  and MG. The turret ST2 was identical to the D1 equipped with a 47 mm 3A34  gun an MAC 7.5 Mdle 1930 MG. The engine at the rear of the chassis was a Renault six-cylinder engine derived from an aircraft 250 horses. The shielding maximum was 40 mm. Renault was responsible for the final assembly of the tank.
In April 1934 20 B1 were again ordered orders and other affluent. On April 29th  1935 to help Renault. FCM was responsible for the production of this series of 35 vehicles.
The firts turret was abandonned for the turret AP X. 1 was rising (the same as that of the Somua S35) The order was delivered between December 1935 and July 1937 the 1st  Battalion was declared operational on January 29th  1938
The B. 1 bis.
Various projects are launched as B2 B3 BB but policies prefer start from an existing equipment and improve rather than create a new battle tank
Thus was born the B.1bis  In 1935 it was decided to put an apply armour on N°101st and 102nd  prototypes passing armour from 40 to 60 mm. The result was deemed satisfactory  and on January 8th  1936 an initial order of 35 units is passed. The vehicle was called the B1 bis. Differentiating among others quickly B1 of a B1 bis. Visually the two vehicles are roughly the same except that in the back there are no more the tow hook and sides grids protection ventilation are modified to better ventilate the engine.
However but not visible is an increase of armour The new Renault engine
6-cylinder delivers 307 HP 1900 rpm and the turret that has a 47mm SA 35 gun V° 650 metres also armed in coaxial with a Mac 7.5mm MG. The first order was followed by other orders bringing the total of those at 1178
All machines were not delivered after the events of June 1940. The number of B1 and B 1bis in service is quite vague In April 1940 there were 314 machines delivered  an in June 1940 65 other have been supplied by factories.
That means we have a total of approximately 401 machines
The B.1 bis receives a serial number that starts with the number 201, while the B1 had serial numbers beginning with the série101. The French tried to change some vehciles to suit specific tasks like
fascine carrier
protections skates against landmines and testing of improved autonomy but those tanks were too precious  and in little numerous for the headquarters distract gear to make tests.
The B 1 in Regiments
Tanks fitted to the armoured divisions on the basis of two battalions by DCR. The material had a reputation for invulnerability and many vehicles were recovered by the Germans they used to different tasks (we talk about 165 devices recovered by the Germans) or they were reused in the state after modification of the turret or they were changed in more radical
Changes the best known are the char B 1 a flamethrower, the driving school, and the transformation of char B 1a in SPG 105 mm. Four tanks have been delivered to the Italians. This tank continued to fight throughout the war at all latitudes, as we find in Russia. In 1944 the French were able to recover some tanks, which fought against pockets of the Atlantic. It was then decided to change  an B1bis  in minesweeper
The latest episode in the B1 bis were the B1 and Ter ARL 44

 I can read 2 books on the first bring you a lot of information  here
Trackstory the No. 3 P Danjou
B1 in combat in larger volume History and Collections
Internet
site inescapable d Antoine Misner
Using as a B1 by the Germans or the Italians
The occupant German recovered a number of Bis B1 to be used for purposes of police in the Balkans (7th  SS Prinz Eugen)
Approximately 160 B1 Bis were reused by the Germans, the most famous being the flamer appelation German: Panzer Flammwagen auf B-2 (f).
This flamer is mounted in place of cannon 7.5 Cm in bunker. 60 B1 were equipped with the weapon, it is found within the 21st Pz.Div. Also in the S.Pz.Kie. 223.
The chassis of B1 Bis also will be used to mount the gun 10.5 Cm leFH18 (16 units being built) are appelation German: 10.5 Cmm leFH 18 / 3 (s) Auf Geschutzwagen B-2 (f), it will equip the 26th  Pz. Div. (The I / Pz.Art.Rgt (mot.) 93)
There is also a school based on the chassis of B1 Bis, the turret is purely removed: Fahrschulwagen B2 (f).
At the Libération in 1944, a dozen B1 Bis will be use by French troops including 13th  Dragoons  in the fights in April 1945 over the Atlantic from the pocket of Royan.
The Italian troops received 4 B1, which were used to test only

Technical data

Weight 31.5 t
Length 6.37m
Width 2.5m
Height 2.79 m
Guard ground 0.48m
Shielding Maximum 0.60mm
Crew 4
Motorization
Renault Engine 6 cylinder 300 hp
Speed  28 km / h
Autonomy 180 Kms
Weaponry
1canon of 75 with 74 shots
1 machinegun MAC 7.5 mm bunker
1 Canon 47 mm SA35 with 50 strokes
1mitrailleuse Mac 7.5 in coaxial




I thank the entire team at the Museum of armoured Saumur for their help