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Ici la nature a imposé sa loi avec la présence de onze vallons et par conséquence la présence de méandres
Ainsi ici l’aqueduc serpente au gré des méandres . mais il faut savoir que les Romains sont des personnes qui veulent imposer leur loi à la nature et ainsi parfois le canal ne suit pas la courbe de niveau jusqu’au fond du vallon. Car les architectes romaines après une étude,approfondie ont décidé de couper au plus court en construisant un pont aqueduc
Ici la zone autour de Remoulins était assez difficile car l’implantation d’un aqueduc allait posait des problèmes au librator
en effet il fallait serpenter de courbe en courbe de niveau . Si cela fait l’économie d’ ouvrages d’’art en en diminue l’importance, cela rajoute de la longueur et tend à réduire une pente déjà très faible.
Nous allons suivre cet cheminement en partant d'Uzès en se dirigeant vers Nemausus
Voici l alpha
Gard Uzes Bassin Regularisation Val d eure Mkt Pont Gard 2021
Découvert en 1991 par une équipe, d’archéologues amateurs, uzétienne, ce bassin est une vanne maçonnée, dont la partie opérationnelle occupe une dizaine de mètres carrés. Il régulait le débit de l’eau dans l’aqueduc à des fins diverses, aussi bien pour faciliter son entretien que pour réguler l’eau compte tenu des besoins en aval. Le préposé manœuvrait des vannes pour réguler le flux, le détourner vers l’Alzon éventuellement. Il protégeait ainsi l’aqueduc jusqu’au pont du Gard, lui-même protégé par un bassin semblable, découvert dans le début des années 1990, mais remblayé de nos jours. Ce bassin de la vallée de l’Eure, est précédé d’un canal en forme de U surmonté d’une voûte bien conservée. Sur les côtés et jusqu’à une hauteur de 1,20 m environ, il est facile de repérer la couche latérale de mortier de tuileau qui assurait l’étanchéité des parois. A la sortie du bassin, sur le côté gauche, on remarque un badigeon rougeâtre, dénommé « malthe », étalé en surface.
Le Pont de Roc Plan Aval
Il est près d 'Uzes et entre les communes de St masimin et Argilliers
Le Pont de Lône
Ici on découvre un des tronçons de l' aqueduc sous la forme d'une série d'arches qui se developpe sur plus d'un kilomètre et demi.
La première partie, appelée "Pont de la Lône",se trouve pres de la RD Uzès Remoulins, que l'aqueduc devait franchir avec l'ouvreage des Menestiere ajourd'hui disparu. Ici la série d'arches se développe sur 250 mètres, atteignant une hauteur maximale de 6,60 mètres.Ce tronçon qui change trois fois de direction est tout à fait remarquable pour plusieurs raisons.
Le Pont de Font Ménestrière
Ce pont se trouvait sur un col en amont du pont du gard . Pourquoi ne pas avoir utilisé des conduites forcées en plomb avec siphon comme cele s'est fait ailleurs ? Le mystère reste complet Ce pont similiare à son grand frère a disparue durantr le Moyen age car il servit de carriere car sa constrution mal éffectuée s'est surement ecrouléee
Le Pont Roupt
Ce tronçon se trouve en amont du pont du Gard Le pont Roupt (rompu) se présente sous la forme de trois longueurs formant un "S" bien visible sur une vue aérienne. Il totalise une longueur de 310 mètres et comportait 37 arches dont la plus hautes hissait le sommet de la canalisation à 8,10 m Le pont Roupt (rompu) se présente sous la forme de trois longueurs formant un "S" bien visible sur une vue aérienne. Il totalise une longueur de 310 mètres et comportait 37 arches dont la plus hautes hissait le sommet de la canalisation à 8,10 m. Sur les morceaux restants des pieds-droits de la canalisation, on peut voir les traces de la couche de peinture roug
Le pont de la combe Roussière
Le pont, trop proche de la route, a disparu, lui aussi transformé en carrière. Il ne reste du monument que les culées amont et aval construites en petit appareil de moellons taillés dans la molasse.Ce pont devait atteindre 25 mètres de hauteur, environ ; il était plus haut que les arènes de Nîmes et s’étendait sur une centaine de mètres. Pour passer d’une culée à l’autre, emprunter le sentier en pente douce, 10 mètres avant la culée amont sur la gauche.
Ensuite nous non dirigeons de la Combe Roussière à la Sartanette
C’est par un virage à angle droit sur la gauche, que l’aqueduc poursuit son parcours, en partie enterré dans la garrigue.Les concrétions détachées des parois gisent sur le fond du canal qu’elles obturent en partie. Cent mètres, après un détour sur la droite, on découvre un sondage réalisé par
Dhombre qui, en 1844, avait exploré quelques tronçons de l’aqueduc entre Nîmes et le pont du Gard dans le but d’en réutiliser une partie pour capter l’eau du Gardon et la conduire jusqu’à Nîmes.Le pont de la Sartanette apparaît au fond du vallon, à 300 ou 400 mètres de nous. Les pierres prélevées ont laissé leurs empreintes sur les concrétions.
Le sentier, parallèle à l’aqueduc, se situe sur la courbe de niveau des 64 – 65 mètres. Il suit le versant un peu raide mais ne présente pas de danger.
Plus haut, à droite, se situe la grotte préhistorique de la Sartanette ; en contrebas, sur la gauche, le vallon dans lequel nous allons descendre. L’accès est facile et nous évite de marcher sur le pont romain de la Sartanette qui n’est pas un viaduc.
Le Pont de la Sartanette
– A partir de la D 981, que l’on quitte à la hauteur du panneau d’entrée “ Remoulins ” (ce panneau est placé à un bon kilomètre du bourg), soit 500 m de marche facile pour atteindre le pont.
Le pont de la Sartanette, a été restauré en 1998, est formé d’une seule arche de 4 m d’ouverture. Le monument laisse voir la diversité de sa structure : tout venant à l’intérieur, moellons de molasse bien taillés en parement. Le pont de 32 m se comporte comme un verrou dans la partie médiane du vallon. L’aqueduc poursuit son chemin en aval dans la direction du nord-ouest vers le ponceau. C’est un itinéraire à éviter, car périlleux pour le visiteur et pour l’ouvrage qu’il faudrait escalader. On doit redescendre vers la route et s’engager dans la vallée suivante pour atteindre ce monument compact, d’aspect inattendu.
Ensuite nous allons au ponceau
On se trouve alors dans le sixième vallon, celui du Ponceau. Il suffit de suivre le sentier ascendant. Un “raidillon” de moins de cent mètres et nous voyons sur le sol deux traces parallèles bien caractéristiques, ce sont les parois de l’aqueduc. Le ponceau se découvre à quelques mètres sur la droite.
Le ponceau
Découvert en 1987 par les archéologues du CNRS, il se comportait eu simple mur de soutènement.C ‘est un monument de dimensions réduites, mais nécessaire pour pour le passage aux eaux de ruissellement.
Ses dimensions sont les suivant 2,5 mètres de haut en son milieu, 25 mètres de long, il s’appuie sur le fond du vallon. Ses trois arches de petites dimensions, limitées par des piédroits rigides surmontés de grandes dalles.
Découvert en 1991 par une équipe, d’archéologues amateurs, uzétienne, ce bassin est une vanne maçonnée, dont la partie opérationnelle occupe une dizaine de mètres carrés. Il régulait le débit de l’eau dans l’aqueduc à des fins diverses, aussi bien pour faciliter son entretien que pour réguler l’eau compte tenu des besoins en aval. Le préposé manœuvrait des vannes pour réguler le flux, le détourner vers l’Alzon éventuellement. Il protégeait ainsi l’aqueduc jusqu’au pont du Gard, lui-même protégé par un bassin semblable, découvert dans le début des années 1990, mais remblayé de nos jours. Ce bassin de la vallée de l’Eure, est précédé d’un canal en forme de U surmonté d’une voûte bien conservée. Sur les côtés et jusqu’à une hauteur de 1,20 m environ, il est facile de repérer la couche latérale de mortier de tuileau qui assurait l’étanchéité des parois. A la sortie du bassin, sur le côté gauche, on remarque un badigeon rougeâtre, dénommé « malthe », étalé en surface.
Tiré de ce Site
La persévérance de Jean-Pierre Beaumont lui a permis de découvrir un monument des eaux du plus grand intérêt. Il s’agit d’un bassin de régulation du débit des eaux qui est tout à fait semblable à celui qui a été identifié dans le quartier de la Balozière en amont du pont du Gard. Grâce à un double système de vannes aménagées dans le canal de transfert vers Nîmes et dans un canal de décharge qui aboutissait dans l’Alzon, il était possible de contrôler la quantité d’eau envoyée vers Nîmes. En cas de grosse crue de la source, le surplus d’eau était automatiquement écrêté et dirigé vers la rivière voisine. Le bassin – de dimensions modestes : 2,18 m x 2,96 m x 1,62 m – n’avait qu’un volume de 10,45 m3. Il était entouré par un trottoir périphérique qui permettait au préposé à la manutention des vannes de se déplacer aisément. L’ensemble était aménagé à l’intérieur d’une pièce à laquelle on accédait par une porte que nous restituons dans le mur nord du bâtiment. Du côté de l’Alzon, le canal de fuite et le flanc ouest du bâtiment étaient renforcés par deux massifs de maçonnerie contemporains de la construction initiale. Ces deux massifs étaient reliés entre eux par un arc qui enjambait le canal de fuite. Le canal de transfert reconnu en amont et en aval du bassin avait un extrados plan. Ainsi transformé en chemin surélevé, il facilitait l’accès au bassin lorsque les crues de l’Alzon rendaient impraticable le fond de la vallée d’Eure.