Venise 1704 Mortiers en bronze Venise Musée Naval
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Le mortier est une pièce d' artillerie posée sur un affut lui donnant un angle incurvé toujours supérieure à 45° C'est une arme connu depuis la fin du Moyen-Âge comme pièces d'artillerie de siège à tir courbe
Il fut et est utilisé en soutien de tir indirect de linfanterie pour lancer de obus sur des cibles ne pouvant être touchés par le tir direct des pièces d'artillerie classique nottament derriere un obstacle naturel ou artificel comme un batiment
Les mortiers sont parfois lourds et difficle à depa&lcé c'est pour cela qu'ils sont souvent utilisés comme artillerie de place ou de siège Durant la seconde moitié du XVIIe siècle, ils commencent à être montés sur des navires spécialisés pour effectuer des bombardements de villes côtières
Avant le XIXe ils étaient en Bronze matériau qui fut remplacé par la Fonté dcourant XIXe siècle.
Durant la 1e guerre et surtout la 2e Guerre Mondiale le Mortier va s'alléger nottament sous l'impulsion des Français avec les matériels Brandt .il est ainsi mis en oeuvre par l infanterie et utilisé pour son propre appui feu Il est simple à mettre en œuvre, étant essentiellement constitué par un tube un trepied et une plaque de couche Il peut aller à ces calibres de 120mm pour les portiers servi par l infantrie à des calibres plus important nottament dans les troupes russe lorsqu'ils sont automoteurs.
Les mortiers des XVIIe et XVIIIe siècles sont des pièces de gros calibre - 10 ou 12 pouces qui sont en bronze ou en fer Le projectile tiré par cet engin est appelés bombesTtié sur un angle de tir d'environ 45°, il retombe donc presque à la verticale. ecrasant et explsant sur son objectif
Les mortiers jusq'à la fin du XIXe sont munis de tourillons,ou fixés à leur plaque de base selon un angle donné . Copmme actuellement la bombe atteint sa cible en faisant varier la charge de poudre propulsive.
Mais jusqu'au milieu du XVIIIe siècle nottament pour les mortiers français le tir se fait "à deux feux". Les servants mettent le feu à la fusée de la bombe avant de déclencher le départ du coup ratique dangeureuse surtout si la mise à feu de la charge échoue entrainant l explosion de la bombedans la pièce
Ensuite on changera de methode avec le tir "à un feu" qui voit la fusée de la bombe est directement allumée lors du départ du coup par les gaz enflammés de la charge propulsive.
Les accidents de ce type avaient entrainé une publication en 1756 une instruction qui préciser que le bombardier-chef doit veiller à "compter le nombre de la fusée pour mesurer la durée, afin d'ordonner à propos feu au mortier" e : si la mise à feu de la charge échoue, la bombe risque d’exploser dans le mortier. Dans le tir "à un feu" qui remplace cette méthode, la fusée de la bombe est directement allumée lors du départ du coup par les gaz enflammés de la charge propulsive.