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SO 6000 Triton Le Bourget



SO 6000  Triton Le Bourget
English Translation

Avec l'Autorisation de Daniel Bechennec


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Suite à la fin de la 2e Gueere Mondiale l'arpmée de l air française peut mettre en ligne pléthore d 'avions tona ceux des alliés de la coalition anti-hitlérienne, ( USA Grande-Bretagne et même l'URSS  ) que ceux du vancu  Cela va couvrir  pratiquement le besoin immédiat de l'armée de l'air et de l'aviation de la marine nationale mais la suite est plus compliquée car  ces avions souvent ne correspondent  pas  vraiement aux ambitions des dirigeants politiques et militaires du pays. Immédiatement après la fin de la guerre avec l'Allemagne, la france entamme une série de guerres coloniales, pour essayer  de garder l'empire colonial et et, d'autre part, la France veut redevenir a principale puissance de l'Europe continentale, profitant des circonstances En effet  l'Allemagne et l'Italie ne compter plus pous grand chose et  l'Angleterre, est la vassale de l'Amérique.
Une grande partie des avionneurs français - fonctionnaires, propriétaires et directeurs d'entreprises, avec leurs bureaux d'etudes  ont des ambition et des idées probablement encore plus fortes que celles des politiciens et des généraux.
Cependant, si les ingenieurs et bureau d'études étaient prts a travailler  il en allai tout autrement des industriels dont la «corporation» s'est avérée être divisée en deux camps en fonction de l'identité de la personne en question, soit collaborateurs oit membre de la Résistance. La grande majorité du personnel à la disposition de l'industrie aéronautique française en 1945 avait  collaboré avec les Allemands pendant les années d'occupation et, en vertu des lois françaises de l'époque, ils faisaient l'objet de poursuites pénales.
Mais tous espéraient que si le gouvernement français voulait avoir l'armée la plus puissante du continent, il pardonnerait cette erreur Et  cela s'est avéré vrai. De plus, dès le début, les Français ont commencé à utiliser activement non seulement du matériel allemand capturé du marteirle allemand francisé et des «spécialistes capturés». priés de collaborer à leur tour avec les Alliés
Car dans le domaine des moteurs à reaction des missiles des canons les Alliés donc la france avaient besoin decet apport
La France est désespérément derrière non seulement les Britanniques, les Américains et les Russes, mais même les Japonais et les Italiens. Et même des Hongrois! Bridée par la dfaite de 1940 les projets français sont tous restés dans les carton Si en 1939 la France, avait  commencé à développer ses mteur  le seul projet  le projet final Rateau-Anxionnaz GTS-65 n'a pas abouti

Mais pour lees francais  les cerveaux et matériels allemans étaient disponibles. En zone d'occupation Française en Allemagne, il y avait des bases d'avions à réaction de la Luftwaffe, et même certaines industries. Bienque moins chanceuses  que les les équipes  anglaises et surtout américaines, les services secrets français ont pu faire main basse sur des bijoux  de technologie et de spécialistes
Le principal  trophée fut le turboréacteur Jumo 004B, développé par la société de moteurs de la société allemande "Junkers" et produit depuis 1943 en série. Deux de ces moteurs motorisaien le Me 262A Schwalbe.
En 1943, la société française SNCASO (Société nationale des constructions aéronautiques du sud-ouest ou Sud-Ouest, devenu la Société nationale de l'industrie aéronautique du Sud-Ouest) a commencé à concevoir le premier avion à réaction français, qui était censé avoir le turboréacteur Rato-Antsion GTS -65.
Selon la version officielle française, les travaux se sont déroulés  secrètement  Aussi immédiatement après la guerre, le gouvernement français a commandé cinq prototypes.
Le premier avion, appelé Triton SO6000 , n'a été achevé qu'en 1946. mais son le moteur Rateau-Anxionnaz GTS-65, mais avec le Jumo 004B  allemand
Il vola le 11 novembre 1946, . Ainsi commenca l'ère de jet pour l'aviation française.
Le deuxième prototype a été utilisé pour les tests statiques. Trois exemplaires supplémentaires ont été installés, fabriqués en France, sous licence des moteurs anglais Rolls-Royce Nene 101 avec une poussée de 2200 kgf. Les tests se sont poursuivis jusqu'en 1952.



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Moteur Jumo 109 004 B