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Cet ouvrage a été projeté en 1932 Il se compose de 3 blocs Il était prévu  de le doter d'une tourelle de mortiers de 81 mm et de deux entrées sur l'arriére lors d'une deuxieme tranche de travaux Sa mission interdire toute incursion par la  vallée de la Sauer en liaison avec l'ouvrage du Four-à-Chaux.

 

il possède un bloc d'entrée  défendu par 2créneaux pour fusil mitrailleur ensuite nous trouvons 3 blocs Pour faire la différence actuellement entre le bloc 1 et 2 il suffit de regarder la facade Celle avec les pylones electriquque correspond au bloc 1

 

Entrée

 

Bloc 1

Bloc 2

 

il possède un bloc d'entrée  défendu par 2créneaux pour fusil mitrailleur ensuite nous trouvons 3 blocs Pour fair ela différence actuellement entre le bloc 1 et 2 il suffit de regarder la facade Celle avec les pylones electriquque correspond au bloc 1
Voyons les blocs
Bloc 1 :il possède 1 créneau pour jumelage de mitrailleuse Reibel 1créneau pour jumelages de mitrailleuse Reibel ou canon antichar de 47 mm et 2 cloches GFM type A
Bloc 2 :il possède 1 créneau pour jumelage de mitrailleuse Reibel 1créneau pour jumelages de mitrailleuse Reibel ou canon antichar de 47 mm et 2 cloches GFM  type A
Bloc 3  :il possède une cloche observatoire d'artillerie VDP (Vision Directe et Périscopique)   ou O12 travaillantt au profit de l'Ouvrage du Four à Chaux 2 cloches pour jumelages de mitrailleuse Reibel 1 cloche GFM type A
L'usine électrique était équipée de deux groupes électrogènes moteur Renault de 40 CV
Son numéro d'abonné au réseau téléphonique de la fortification Maginot du petit ouvrage de Lembach était O 550

165e RIF

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Il était armé par des elements du 165e RIF avec 4 officiers et 58 hommes
En 1940 le Commandant de l'ouvrage  était le Capitaine Drouin qui avait comme adjoint le Sous lieutenant Allonas . Le génie était sous la responsabilité du Lieutenant Ferrandon puis PadovaniNous ne connaissons que les noms des responsables du Bloc  2 et 3 qui sont Bloc 2 : Lieutenant Schoen et Bloc 3 : Lieutenant Champenois
Durant la bataille de France  il sera la cible de l 'artillerie et de l' Aviation allemandes  mais il resistera sans trop de dommage jusqu'au 18 juin 1940  Sous l'occupation, il fera l'objet d'expériences de destruction sur le béton, les galeries et les cuirassements.Ces destructions seront réparées par le Génie français après 1945.