Ravenne Santa Maria Maggiore
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La construction de l''église santa Maria Maggiore est attribuée selon le Liber Pontificalis dell’Agnello (. 900-950), à l'archevèque Ecclesiius en charge vers. 522-33), Celui ci était deja membre du clergé de la basilica de san Vitale et il est d'ailleurs représenté dans la mosaique de cette basilique.
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| Ecclesius représenté dans cette mosaïque |
Selon l’erudit Girolamo Rossi (XVI sec.), Ecclesius avait pour édifier cette église fait don de l'habitaiton partenelle . on retrouve ces histoires de donation dans nombres d'eglise de Ravennes comme la basilica Ursiana (Duomo). Au XIIIe l'eglise fut la proriété de la famille Sassi, et ensuite des celle des Polentani; Au XIV elle fut la paraoisse des Morigia (XVII sec.),Rasponi del Sale.
L'eglise originale avait un plan en croix latine et elle fut mainbtes fois remaniés. Le campanile remonte au ’XIe
Parmis les parties originales de l ancienne église figurent les colonnes corinthiennes et l abside . Des études font appartenir ces restes à une tour faisant partie d'un complexe palatial ayant appartenu à Galla Placidia,
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Cette église avait elle aussi un décor de mosaique très riche mais elle tomba en ruines au XVIe les degats furent aggravés par des mouvements de terrain
Elle fut entièrement reconstruite mais en plus petit aux frais de la ville entre 1669-79, sous la forme d'une eglise classique avec une nef et 2 travées décorées en style baroque par l 'architecte Camille Morigia
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A l intérieur de l'eglise ont trouve les tombeaux de l'eveque Ecclesius de l’architecte Camillo Morigia (1743-95) qui est enterré dans la nef centrale par contre son cénotaphe se trouve dans une travée. le tombeau de Gamba Ghiselli (1724-88) La famille Raspondi et Monaldini ont réutilisés un sarcophage romain .
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On trouve aussi des peintures nottament celle de la Madonna dei tumori, et celle de San Paolo che visita Sant’Agnese in carcere (Luca Longhi)
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| Madonna dei tumori | San Paolo che visita Sant’Agnese in carcere (Luca Longhi) |
Au XIX l 'Eglise fut convertie en depot lapidaire et elle ne fut rendue au culte que durant le XXe siècle