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Guerre d'Indochine (III) :Maquetland.com:: Le monde de la maquette



 
   

 
     

 

 


Guerre d'Indochine (III)

Article écrit par : Claude Balmefrezol

Mis en ligne le 27/04/2007 à 22:15:34






La guerre d'Indochine 1946-1954 III° partie

  

Mars 1947 à fin 1950

La réoccupation de l'Indochine: mars 1945 à février 1947.
Le 9 mars 45, la France est évincée  d'Indochine par un coup de force japonais. Profitant de cette situation le Vietminh, ligue nationale vietnamienne créé en Chine par le parti communiste indochinois, s'est installé au Tonkin après la capitulation du Japon. Il s'empare du pouvoir à Hanoi et prend la tête d'une vague de nationalisme qui submerge tout le pays jusqu'à Saigon. Le 2 septembre, son leader Ho Chi Min proclame la République Démocratique du Vietnam.


Ho Chi Min (1890 -1969) l'Oncle Ho

De Gaulle et le gouvernement provisoire de la République Française décident alors de rétablir la souveraineté de la France en Indochine par une action militaire. Il a auparavant affirmé son intention, par une déclaration du 24 mars 1945, d'accorder aux divers territoires une autonomie interne dans le cadre d'une fédération indochinoise. Lorsque le corps expéditionnaire français commandé par le général Leclerc commence à débarquer à Saïgon début d'octobre 45, il  trouve le pays dans une situation confuse et compliquée. Le Vietminh soutenu par la majorité de la population est déjà installé au pouvoir et dispose d'une armée improvisée de 50 000 hommes. Conformément aux décisions des alliés à Postdam, l'Indochine doit être occupée de part et d'autre du 16e parallèle; par les Chinois au Nord et les Britanniques au Sud, tous sont chargés de désarmer des troupes japonaises. Des troubles puis de véritables hostilités éclatent à Saïgon. Les Britanniques chassent  le Vietminh de la ville et étendent la zone de sécurité jusqu'à Bien Hoa.


Le général Leclerc
Dès son arrivée, Leclerc entreprend de rétablir l'ordre dans tout le Sud. Ayant tout de suite par un coup d'audace conjuré une situation menaçante au Cambodge et pris pied au sud du Laos, il  occupe les principales villes par des raids blindés spectaculaires, à la fois pour bousculer le Vietminh et frapper l'imagination des populations locales. Il s'empare ainsi de Mytho Vinh Long  et Cantho, puis il  dégage les principaux axes routiers du nord de Saigon jusqu'à Ban Me Thuot et Nha Trang. Le 5 février 46, il atteint tous ses objectifs avec peu de pertes.
La résistance vietminh est désorganisée mais elle n'est pas détruite. Les troupes  se réfugient dans la brousse et continuent la guérilla sous la conduite d'un chef énergique, Nguyen Binh. Certes, si  le corps expéditionnaire français a achevé la reconquête du terrain, la pacification reste à faire car  la guerre s'est installée dans le Sud.
 Au Tonkin le retour s'annonce plus difficile face à  l'hostilité du Vietminh et à  la présence des Chinois qui mettent le pays en coupe réglée. Il faut donc composer. Or, en dépit des apparences, les deux adversaires se trouvent en difficulté.
Les Chinois nationalistes étant à nouveau en guerre avec les communistes en Chine du Nord, les Français paraissent donc moins dangereux  sur leurs arrières. En lieu et place d'une république vietnamienne composée par un gouvernement dirigé par des communistes, ils acceptent donc par les accords du 20 février 46 que le corps expéditionnaire français relève leurs troupes. Par ce traité le Vietminh se trouve donc isolé. En effet, aucune grande puissance n’a reconnu la République Démocratique du Vietnam. De plus des partis rivaux  apparaissent, VNQDD et Dong Minh Hoi soutenus par l'occupant chinois, partis qui  lui disputent le contrôle du terrain.
Ces troupes sont en difficulté  tant au Nord qu’au Sud .Le Vietminh adopte donc pour une pause afin de consolider son pouvoir. Ces convergences d’intérêt aboutissent à la signature d'un accord entre la France et la République Démocratique du Vietnam le  6 mars 46.
Le retour des troupes Françaises

 
L'Emile Bertin        Thierry d'Argenlieu                Le Suffren
Le corps expéditionnaire français peut ainsi débarquer à Haiphong et s'installer au Tonkin.
Mais le problème de fond entre la France et la République du Vietnam n’est pas réglé. Des malentendus apparaissent  rapidement car la France veut maintenir le Vietnam dans un cadre fédéral français et faire de la Cochinchine une république autonome, alors que le  Vietminh veut obtenir l'indépendance et l'unité des trois Ky, Tonkin Annam et Cochinchine. Les conférences de Dalat puis celle de Fontainebleau ne parviendront pas à concilier les deux volontés. La seconde n'aboutit qu'à la signature in extremis d’un modus vivendi provisoire.
En fait c'est l'impasse.
 La France a de son propre chef  créé une république autonome en Cochinchine et, pendant les négociations, les activités des guérillas n'ont d'ailleurs pas cessé dans le Sud. Au Nord les Chinois sont partis et au mois de novembre 46 la tension s'aggrave entre les troupes françaises et le Vietminh.  
Le 20 novembre 1946, des incidents éclatent  et le général Valluy, successeur de Leclerc, décide de chasser les milices d’ Haiphong .
Une bataille rangée est alors livrée afin d'assurer la sécurité du corps expéditionnaire français au Tonkin. La Marine Francaise bombarde violemment la ville.  Depuis la signature du modus vivendi le Vietminh se prépare ouvertement à la guerre .
Après l’affaire d’ Haiphong, ce dernier décide de sortir de l'impasse politique par un coup de force à la japonaise. Le rapport des forces est pour le moment  favorable car il dispose de 60 000 hommes assez bien armés, contre 15 000 Français éparpillés dans des garnisons faciles à isoler


Giap en 1946
Le Général Vo Nguyen Giap, commandant en chef de l’armée Vietminh, décide d’une attaque le 19 décembre au soir à Hanoi contre toutes les garnisons françaises du Nord. Les Français prévenus au dernier moment ne  sont pas surpris. En deux mois de combats, les postes encerclés sont dégagés alors que le gouvernement de la République  Démocratique du Vietminh se replie autour de Bac Khan avec ses meilleures troupes
Alors que son conflit avec la République Démocratique du Vietnam s'installe, la France parvient à régler de manière satisfaisante le problème du Cambodge et du Laos. 
Au mois de mars 1947, le corps expéditionnaire tient solidement le Cambodge et le Laos et les principaux points. Il a réussi  à redresser une situation militaire critique au Tonkin et repris l'initiative dans toute l'Indochine.

Les Drapeaux du Cambodge et du Laos  dans l' Union Française
Mais toutefois la situation reste précaire.
De la guerre des postes et  des sectes en Cochinchine, de février 1947 à mai 1950.
Avant même d'avoir rétabli toutes les positions françaises, le général Valluy adopte le 10 février 1947 un plan d'action militaire. Il se propose de tout mettre en oeuvre jusqu'à l'automne  pour pacifier la Cochinchine, puis de lancer début octobre une offensive au Tonkin pour détruire le gouvernement et les troupes révolutionnaires retirées dans le Réduit Tonkinois, zone autour de Bac Khan et Thaï Nguyen.
Le premier but à atteindre étant l’élimination du Vietminh de Cochinchine et de saper la présence du même Vietminh  au Tonkin.
Les troupes françaises de l'Indochine du Sud du général Nyo forment le gros du corps expéditionnaire . Elles obtiennent le ralliement des deux principales sectes politiques ou religieuses de la région, à savoir les Caodaïstes et les Hoa Hao, mais ils ne parviennent pas à mettre fin à la guérilla.
Sur le terrain nous trouvons 500 postes destinées à contrôler de terrain, postes qui  absorbent la majorité des effectifs. Les forces mobiles trop peu nombreuses  pourchassent les rebelles insaisissables et s’épuisent à cette tâche. Il devient évident début juin que l'on ne pacifiera pas l'Indochine avant l'automne. Malgré cet échec, le général tient à son projet qui est de frapper le Vietminh à la tête au Tonkin à la fin de la saison des pluies. Mais le gouvernement français hésite et  penche pour  un offensive de paix proposée par le Haut-Commissaire Emile Bollaert. Le général Valluy avait estimé que 20 000 hommes étaient nécessaires pour obtenir un succès décisif, mais on ne lui en accorde au moment  venu que 12 000;  et encore faut  il prélever 4 bataillons en Cochinchine.
Il décide de lancer son offensive  mais avec une ampleur limitée. En effet, au lieu d’encercler toute la zone, on se contentera de l'investissement partiel du réduit vietminh.
L'opération "Lea " est déclenchée le 7 octobre 1947. Elle débute par le largage de trois bataillons parachutistes sous les ordres du colonel Sauvagnac sur Bac Kan et Bao Bang, opération qui a pour but de surprendre l’ennemi. En même temps, deux colonnes terrestres s’efforcent  d'isoler le réduit par une manœuvre en tenaille. La colonne Beauffre, forte de  8 000 hommes, fonce sur Lang Son, Cao Bang et Bac Kahn. La colonne Communal, avec ses 4 000 hommes, se dirige vers le delta par la rivière Claire. Au nord-ouest le bataillon du colonel Lhermitte boucle l’issue jusqu’au Fleuve Rouge.
Le 19 novembre général Salan engage ses troupes dans une nouvelle  opération, nom de code « Ceinture ». L'effort principal est mené par trois groupements agissant de manière concentrique vers Thaï Nguyen. Cette action est complétée par la présence de quatre autres groupements de  forces  établies à la périphérie de la zone d'opération, afin d'empêcher  tout adversaire de sortir de celle-ci. Le groupement parachutiste Sauvagnac est largué le 26 novembre en plein cœur de la zone ennemie.
Pendant trois mois les troupes françaises fouillent  tout le réduit. Avec des colonnes mobiles sur le terrain elles pourchassent  les unités Viet et remportent des succès incontestables.
Le gouvernement révolutionnaire est au bord de l'effondrement.
Au début 1948, les opérations sont interrompues fautes d'effectifs suffisants, mais à Paris le Gouvernement  Français décide de choisir une voie pour trouver une solution au conflit: c’est la solution Bao Daï  qui prévoit de consolider le pouvoir de Bao Daï en Cochinchine, laissant le Vietminh s’installer au Nord. Jusqu’en 1950, le Haut Commandement Français va lui aussi avoir comme obsession de défier le Vietminh sur ses terres, en l’attaquant à outrance et en le privant des ressources du Delta. Le pays alors se détournera des rebelles pour rejoindre l’Union Française. Mais au sein même du Haut Commandement les avis divergent: offensive dans le Tonkin ou sanctuarisation du Delta en empêchant  toute infiltration vietminh, le privant ainsi de sessources de recrutement et de ravitaillement.
Faut-il donner la priorité à la Cochinchine ou au Tonkin ?
C'est ainsi, qu'en janvier 1948, les renforts envoyés au Tonkin sont ramenés à Saïgon. Ce retour permet de déclencher au Sud de grandes opérations dont le Haut Commandement attend beaucoup avec l’opération « Véga » dans la Plaine des Joncs.
Mais le nouveau commandant français, le général Boyer de Latour, décide d’abandonner ces grandes opérations qui souvent ne donnent aucun résultat. Il revient à la pacification méthodique du Delta basé sur l'action des forces territoriales dispersées sur toute  la surface du pays et celle des forces mobiles engagées seulement dans les petites opérations engagées  sur renseignement.
Il porte aussi son effort sur des postes de sécurité placés sur des axes routiers en développant le système des tours de garde. La pacification en  Cochinchine fait des progrès lents mais réels. Fin 1948, le nouveau Commandant en chef, le général Blaizot, décide que le problème est au Tonkin et qu’il faut agir rapidement. A l’automne 1948 une offensive contre le réduit vietminh est préparé mais des difficultés logistiques et politiques obligent à lancer deux opérations mineures dans le Delta: « Ondine » et « Pégase ». À la suite des accords Auriol Bao Daï  signés le 8 mars1949,  le Haut-Commissaire, Léon Pignon, décide de reporter l'effort militaire dans le Sud mettant ainsi fin, avant qu'elle n'ait commencé, à la grande offensive prévue au Tonkin dans la Plaine de Joncs.


Les Crabes dans la Plaine des Joncs
Pendant cette période, le Vietminh, libre d’action au Nord, se ressaisit et réorganise son dispositif en augmentant les forces régionales chargées de mener la guérilla.
Il crée en mars1948 une organisation décentralisée du commandement, des interzones où le ou Khu au nombre de cinq. Il adopte la stratégie de la guerre longue. Son Plan de guerre comporte une phase de défense stratégique caractérisée par une guérilla, le temps de créer un corps de bataille capable de mener une guerre de mouvement.
Dans une seconde, la guérilla et la guerre de mouvement vont se poursuivre de pair, pour user l'ennemi jusqu'au jour où le rapport de forces permettra l’activation de la troisième phase qui sera la contre-offensive générale.
 Au début de 1949, le vietminh  multiplie ses actions de guérilla au Tonkin contre les positions françaises de la Lao Khy et de la Route Coloniale 4 (RC4).
Il s'infiltre profondément vers Vinh Yen pour établir ses liaisons avec le Than h Hoa et ouvrir une brèche dans le dispositif français.
Pour mettre fin aux divergences entre le Haut-Commissaire et  le Commandement en chef, le général Revers envoyé en mission en 1949 estime qu'une victoire par les armes est désormais impossible.
Mais on peut espérer redresser la situation pour négocier dans des conditions favorables. En fait la plus grande menace vient de la Chine qui est en passe de voir la victoire des communistes de Mao Ste Dong. Il faut reporter l'effort militaire au Tonkin et abandonner les hauts plateaux et la haute région. Pour étoffer ce dispositif , le général  Alessandrini, commandant des troupes françaises en Indochine du Nord, décide de quadriller le Delta par une série d'opérations méthodiques menées d'octobre 49 à mai 1950. Le vietminh ne lui oppose que peu de résistance mais contre-attaque en montagne aux frontières du Tonkin et du Laos.  
La campagne de Lê Loi contre la région de Hoa Bin permet de dégager un couloir de 50 km reliant Yen Bray à Phu Nho, permettant d’isoler le pays Thaï du delta. Pour la première fois, la première grande unité combattante Vietminh, la Brigade 308, est engagée. Les parachutistes français doivent intervenir énergiquement pour dégager ou reprendre les postes de PHo Lu , Nghia Do et Dong Khé.
L’arrivée des premiers chinois sur la frontière en décembre 1949 modifie la situation.
La République Démocratique du Vietnam sort de son isolement. Elle peut être aidée militairement par la Chine qui commence d’ailleurs à équiper et entraîner des unités.

Mao Ze Dong ( 1893-1976) Le grand Timonier
Le Gouvernement français a depuis quelque temps renoncé à une victoire militaire et cherche une issue honorable au conflit, en essayant de créer un  État vietnamien associé à l’Union française. Les États-Unis apportent une aide matérielle. Ainsi après cinq ans de guerre, le Corps Expéditionnaire n’a pas réussi à imposer la paix.
D’une rébellion locale et  faiblement armée, il va devoir affronter un ennemi équipé et soutenu par toutes les forces du monde communiste.
 La tragédie de la route coloniale 4 (1° au 7 octobre 1950)
         
Localisation des affrontements de la RC 4
Au début de l'année 1950, la situation militaire se stabilise. Le dispositif français s'étend de manière discontinue sur la majeure partie de l'Indochine, à partir des bases de Saigon, Tourane Haiphong. Il tient le Cambodge, le Laos, le pays Thaï, le Sud Annam et la zone côtière du Tonkin avec l'appui des populations locales. Il occupe la plus grande partie de la Cochinchine, la plaine côtière d'Annam de Dong Hoi à Faï Foo, et depuis peu  le delta Tonkinois. Mais de vastes régions restent entre les mains du vietminh  de Cao Bang  à la pointe des Camau. Le gouvernement de Ho Chi Minh se réfugie dans les zones montagneuses de Thaï Nguyen. Dans ces régions il crée une armée régulière, une administration et une économie rudimentaire. Le Vietnam que le corps de légionnaires français ne peut occuper entièrement se trouve donc  partagé entre zone vietminh et zone contrôlée par les français.Toutefois entre ces zones la limite reste floue.
Le Vietminh se noie aussi dans la masse  et est présent au milieu des zones contrôlées  par les Français. Les adversaires sont dès lors imbriqués mais sans le savoir. Cette guerre est  une guerre sans front.
La population paysanne est prise en otage par les deux camps. A compter de septembre 1950;  la République Démocratique du Vietnam réussit grâce à la Chine à mettre sur pied un véritable corps de bataille fort de  six divisions (cet effort de réarmement va durer jusqu'en 1953). Cette montée en puissance n'ébranle pas à la confiance des français, sûrs de leur suprématie. Pour le commandement,  le Vietminh n’est pas de force à lutter et à soutenir une offensive d’envergure. Il n’est tout juste bon que pour des actions de guérilla.
Le rapport du Général Revers avait recommandé l'abandon des postes de la frontière chinoise, devenus inutiles et coûteux.
Seul Bak Kan a été évacué à en  août 1949. Aussi le Haut Commissaire Pignon et  le général Carpentier commandant en chef décident, le 2 septembre 1950, d’évacuer Cao Bang mais de compenser ce retrait par l'occupation de Thaï Nguyen.
Le général Carpentier réussit à évacuer début d'octobre via la RC4 ; mais le 18 septembre le poste de Dong Khé sur la RC 4 est enlevé par le Vietminh.
 
Cao Bang   Don Khé
L’opération est tout de même déclenchée le 1er octobre. Le groupe Lepage  fort de quatre bataillons, doit se porter au-devant de la garnison forte de trois bataillons. Mais 25 bataillons ennemis se concentrent sur la zone. Le commandement estime que le groupement Lepage est capable de tenir tête à cette force trois fois supérieure. Par inconscience il décide même d’engager ses réserves sur un autre théâtre d’opération. Giap lance ses troupes  et détruit le groupement Lepage qui monte à la rencontre du Groupement Charron  qui à son tour subit le même sort. Le général Carpentier  qui n'a plus de réserves  assiste impuissants à l'écrasement de ces troupes anéanties avant d’avoir pu former un regroupement de ces sept  batallions. Frappé de stupeur et cédant à la panique, il décide d’abandonner précipitamment Lang Song, Lao Kay et Ha Binh. Malgré les pertes (4 800 morts ou disparus) le désastre est surtout d’ordre moral.

       
1° . 2° .3° BCP
Pour résoudre cette crise, il est décidé de faire appel à un homme providentiel. Le général de Lattre de Tassigny est nommé Haut Commissaire et commandant en chef.
   


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